Prénom : Pieter-Jan
Date de naissance : 20/03/2008
Nationalité & origine : Hollandais
Sexualité : Hétérosexuel
Groupe : Civil
Travail : Boucher
Zone de résidence : Zone résidentielle des Wanhoops
Caractère
Pieter-Jan (plus souvent appelé “PJ” par ses proches et ses clients) est un jeune homme très avenant et souriant. Il est toujours prêt à aider et servir sa clientèle, sa famille et les personnes dans le besoin en général. Cependant, suite à cette aide, il attendra quelque chose en retour (immédiat ou non) et se rappellera de cette “redevance”. Après tout, “les bons comptes font les bons amis” comme dit le dicton…
Il aime son métier profondément. De ce fait, il ne fume pas ni ne se drogue. Le premier car cela nuirait à son sourire (utilisé pour le travail, pour être sympathique aux clients) en jaunissant ses dents et en noircissant ses doigts, qu’il utilise beaucoup pour travailler la viande. Le second car, s’il est trop perché, il risque de ne pas être présent pour le travail le lendemain et ça, il ne pourrait se le pardonner.
PJ est également propre. Il fait très attention à son hygiène, qu’il s’agisse du travail ou de la vie quotidienne. Il porte une attention particulière à sa moustache qui lui a valu des œillades et histoires d’un soir plus d’une fois.
Il ne se lance que rarement dans des relations amoureuses durables (c’est-à-dire, pour lui, des relations ne dépassant pas deux mois) car cela prend en partie le pas sur son travail. Il favorisera toujours son travail au profit d’une relation amoureuse. Cependant, lorsque la boucherie est fermée et qu’il est de sortie, il n’hésite pas à flirter avec quiconque (même avec des hommes car “c’est fun” selon lui) lui montre de l’intérêt.
Bien qu’il aime sortir, boire un verre et s’amuser, il ne le fait qu’une à deux fois par semaine car il doit se coucher tôt pour se lever tôt et ouvrir la boucherie. Il est pointilleux et intransigeant là-dessus.
Depuis sa naissance, il connaît la boucherie et le métier de boucher. Certains pourraient trouver cela rébarbatif et fermé d’un point de vue de perspective de carrière mais pas Pieter-Jan. Le travail de la viande le passionne, tout comme le contact avec la clientèle. Il connaît le nom des ses clients réguliers. Il aime la routine des personnes âgées venant acheter leur poulet rôti du dimanche ou le père au foyer qui vient chercher des chipolatas pour ses enfants, le mercredi midi. Ce qui lui donne de l’adrénaline et du piment dans son travail, c’est lorsque certains clients arrivent avec des commandes sortant de l’ordinaire ou volumineuses.
Dans son temps libre, PJ réfléchit à améliorer ses recettes et à améliorer l’échoppe ainsi que sa visibilité dans la ville, qui se base surtout sur le “bouche à oreille”. Il n’hésite donc pas à réaliser des recettes plus fantasques, sortant de l’ordinaire, pour faire parler de la boucherie. Son but ultime étant d’ouvrir une chaîne de boucheries pour laquelle il sera grand PDG et dont il délèguerait la majorité des tâches à ses subordonnés alors qu’il se la coulera douce, les doigts de pieds en éventail, l’argent coulant à flot, ses parents fiers de lui. Tel est son rêve. Après tout, en tant qu’indépendant, il vaut mieux travailler d’arrache-pied lorsqu’on est jeune et récolter les fruits de son labeur quand on est plus âgé!
PJ est également très famille. Les liens familiaux ont toujours été étroits au sein des Van der Aart. Depuis qu’il est tout jeune, Pj le ressent, ses parents ont toujours été fiers de lui. Cependant, il a ce sentiment que quelque chose leur manque, qu’il n’est pas suffisant. Il se donne donc à fond pour limiter leurs tracas et les aider du mieux qu’il peut.
Du plus loin qu’il puisse s’en rappeler, il a vécu toute sa vie dans la boucherie. De surcroît, il aime la viande: il en consomme quotidiennement et avec appétit. Cependant, il ne la consomme que complètement cuite: pas saignante, pas à point, bien cuite au minimum. Traumatisme lié à sa petite enfance mais il ne sait pas dire pourquoi. Face à une viande partiellement crue dans son assiette, des frissons le prennent, il sent comme un froid profond dans son être et il a du mal à respirer.
Autre traumatisme profond: les moustiques. En entendre un le rend presque hystérique. Il DOIT le faire disparaître de la surface de la Terre. Une rage frôlant la folie le prend jusqu’à ce que l’insecte soit pulvérisé. Lors de la recherche d’un moustique, il va inconsciemment se gratter le corps. Il est difficile, voire impossible de le raisonner lorsqu’il est dans cet état. De ce fait, comme l’incident est arrivé par le passé dans la boucherie, de nombreux attrapes-mouches ou pièges à insectes sont présents dans l’échoppe (et surtout sa chambre), à l’excès.
Pieter-Jan n’a que peu de souvenirs des inondations. Le souvenir le plus lointain dont il se rappelle est qu’il aidait ses parents dans un camp de fortune à préparer de la nourriture pour les blessés.
PJ est un jeune homme de 185 cm et pèse 95 kg. Il a le teint plutôt blanc, les cheveux bruns courts et tirés en arrière, les yeux verts et une moustache à poils courts dont il est fier. Il porte une attention particulière à cette dernière: faisant en sorte de la garder à la même longueur et peignée convenablement. Il garde toujours le sourire (travail à la boucherie oblige) et cela fait désormais partie de sa nature. Il possède une ou deux cicatrices sur ses avant-bras dûes à quelques mauvaises manipulations du fusil et de la feuille du boucher. D’autres cicatrices sont présentes sur sont ventres et son dos, liées à de vieilles démangeaisons qu’il a eu lorsqu’il fût attaqué par des moustiques à l’âge de 4 ans. Il a une carrure plus large que la moyenne et possède des muscles légèrement apparents, dûs au travail manuel qu’il réalise. Il apprécie sa silhouette dans un miroir.
En-dehors de la boucherie où il ne porte que son tablier et son calot, il porte généralement un marcel blanc, un jeans, des baskets et une veste en jeans lorsque le temps se rafraîchit. Il fait donc partie des ses personnes qui se baladent en marcel/t-shirt par 10°C. Il ne porte une veste que par temps de pluie ou de neige.
Pieter-Jan est né à Schagen, au nord-est de Bergen aan Zee, mais c’est aux alentours de Middenmeer, dans le domaine familial, qu’il passa sa petite enfance. Ainsi, il fit ses premiers pas à “‘t beetje geluk” (“Au petit bonheur”), dans la ferme de ses parents. Ceux-ci vivaient principalement de l’élevage: porcs, vaches et poulets. Cela n’était pas suffisant pour devenir de riches propriétaires terriens mais assez pour vivre confortablement et au chaud dans cette zone constamment battue par les vents. Le troc entre voisins était fréquent: ainsi, il n’était pas rare de voir des œufs échangés contre de la farine, du lait contre du sucre, des jambons contre un meuble fabriqué par le menuisier du coin,... Les fermiers et artisans voisins s’entraidaient pour éviter qu’un plus riche rachète leurs parcelles et s’enrichissent plus encore.
Pietje, père de PJ, a lui-même hérité de la ferme de son père, Pieter. Il a grandi et passé sa vie dans cette bâtisse, aidant son père aux tâches de la ferme. Il allait porter les bêtes à l’abattoir puis les carcasses à son oncle paternel, Cees, boucher sur Kerkstraat à Amsterdam: “Le porc, chérie!”. Il y avait une bonne dynamique entre Cees et Pietje: ils passaient leurs week-ends ensemble, allaient boire quelques bières dans les environs de la boucherie, mangeaient dans les restaurants à proximité (consommant la viande provenant de l’élevage de chez Pietje, et de surcroît, de la boucherie, à un prix d’amis!),...
Cela suscita une certaine jalousie de la part de Sieb, le cousin de Pietje et fils de Cees. Eux qui étaient assez proches plus jeunes, se sont vus séparés lorsque Sieb quitta la boucherie pour suivre des études de droit. Cette séparation commença légèrement plus tôt lorsque Sieb refusait de manger de la viande. Cela fût dur pour Cees qui vit en ce déménagement en résidence étudiante un exil de son fils. Sieb venait de moins en moins rendre visite à ses parents. Pietje fût donc comme un fils de substitution pour Cees, lui montrant quelques trucs et astuces de boucher: délarder convenablement une viande, désosser une carcasse, vider gibiers et volailles,... Le temps qu’ils passaient ensemble attisait la jalousie de Sieb…
C’est en passant du temps dans la capitale que Pietje rencontra Siske. Un regard, une discussion, un baiser, des ébats et c’est ainsi qu’elle devint Mme Van der Aart. Ayant une formation de comptable, elle participait à la bonne gestion des comptes à la ferme pendant que Pietje s’occupait des bêtes avec son père et de leur transport vers la boucherie. Un an et demi après leur mariage, Pieter-Jan vint égayer la maisonnée. Pietje avait 35 ans et Siske 29.
Puis, quatre ans plus tard, les inondations.
Par cette fin de printemps 2012, Pietje, Siske et Pieter-Jan étaient en déplacement chez Cees alors que Pieter était à la ferme avec Flip, le petit frère de deux ans de PJ. Alors que la petite famille déchargeait le fourgon de viande fraîche, un bourdonnement se fit entendre au loin, tel un grondement sourd. Le bruit se rapprochait, de plus en plus puissant, de plus en plus clair: des cris. Des cris d’effroi. Pietje prit rapidement PJ et sa femme alors que Cees le suivait. Ils entrèrent dans la boucherie, se mettant à l’abri. Le bruit était tout proche, des gens criaient de toute part! Puis, de l’eau. D’abord dans la rue et rapidement dans la boucherie. Ils montèrent tous à l’étage. Il était désormais impossible de fuir: un
échafaudage, emporté par le débit, bloquait la porte de l’extérieur. Les chocs provoqués par le passage de véhicules ballotés contre la façade délogèrent des briques à la base du bâtiment.
Le niveau de l’eau atteignait les 2m de haut. La surface commerciale était entièrement inondée. La famille avait réussi à sauver le strict nécessaire: de l’eau potable, la viande fraîche qui venait d’être ravitaillée et deux-trois conserves, sauvées in extremis de la cave complètement inondée. C’est Pietje qui s’était chargé de plonger dans l’eau trouble pour les récupérer. Trempé, il voulu ouvrir une fenêtre pour se sécher. Cependant, en ouvrant la fenêtre, la base du bâtiment cèda où les briques avaient été emportées et la fenêtre fût recouverte de gravats alors que d’autres recouvraient la trappe menant au toit. Les vêtements de Pietje ne pûrent jamais totalement sécher à cause de l’humidité ambiante de la bâtisse.
Piégés dans les étages supérieurs de la boucherie, sans moyens de communication ni électricité, ils restèrent une dizaine de jours enfermés, en rationnant l’eau et en se nourrissant de viande à moitié cuite à la flamme de bougies. L’eau potable vint à manquer après une semaine et Pietje, qui toussait depuis peu, commençait à être fiévreux. L’eau stagnante dans la cage d’escalier était un terrain propice à la prolifération de moustiques, actifs au mois de juin. Pendant trois jours et trois nuits, la famille ne fût capable de dormir suite aux vrombissements incessants des insectes ainsi qu’à cause des démangeaisons occasionnées par leurs piqûres. L’humidité rendait le froid plus profond dans le corps et l’âme et l’eau potable était épuisée.
À l’aube du deuxième jour sans boire, les démangeaisons et le manque de sommeil les rendant à moitié fous, Siske avec l’énergie du désespoir, frappait le mur où se tenait dix jours plus tôt la fenêtre. Après de multiples tentatives et des cris de démence, elle finit par créer une brèche, menant sur un rayon de soleil. Une équipe de sauvetage vint les secourir, ayant entendu les cris de Siske raisonner dans la rue silencieuse. Un sous-officier du nom de Haji les sortit de cet enfer. Ils furent transférés vers un camp médical militaire hors de la ville afin d’être soignés. PJ, Siske et Cees restèrent une semaine sur des lits de camp, au milieu de nombreux infortunés comme eux. Ils finirent par sortir, n’étant cependant pas tout à fait rétabli. Ils furent rapidement remplacés par de nouveaux malades car le nombre ne cessait de croître: maladies, infections, blessures, intoxications,... Le seul qui restât dans le camp fut Pietje, atteint d’une pneumonie.
Ne perdant pas de temps, la famille cherchât à retrouver Pieter et Flip qui étaient restés à la ferme. Cependant, aucun résultat. Siske et Cees avaient même trouver des profilers pour les aider à faire un croquis des deux disparus et de les afficher dans d’autres camps, au milieu de centaines d’autres disparus.
Pietje avait du mal à se remettre de ses maux. Alors que tout espoir semblait parti quant à sa survie, il fût remis sur pied trois mois plus tard. Non sans séquelles cependant: sa respiration se fît plus difficile et il ne pût plus porter de charges trop lourdes ou réaliser un travail trop intense.
Comme la famille n’avait nulle part où aller, ils restèrent au camp pour préparer les repas des malades, infirmiers, médecins et militaires stationnés sur place comme ils le faisaient en attendant le rétablissement de Pietje et le retour de Flip et Pieter. Les conditions étaient rudes mais la famille se souda d’autant plus au travers de cette épreuve.
Le camp fût fermé: le peu de malades qui restaient ont été transférés dans des hôpitaux et le personnel restant parti aider à la reconstruction de la ville. Flip et Pieter ne montrant aucun signe de vie après plusieurs mois suivant leur disparition, la famille improvisa une cérémonie funéraire pour rendre hommage aux disparus. Cependant, la tristesse de ces deux disparitions, surtout celle de Flip, laissera une marque indélébile dans le cœur de Pietje et Siske, telle une plaie béante ne pouvant cicatriser. Jamais plus le nom de Flip ne fut prononcer.
Maintenant que l’eau s’était retirée de leur quartier,ils décidèrent de repartir à la boucherie, désormais leur seul foyer.
Des rats, des champignons, de la boue recouvrant les murs décrépis et l’humidité les accueillirent dans ce qui fût “Le porc, chérie!”. Entre les petits boulots à décrocher par-ci, par-là et la rénovation, PJ allait à l’école mais avait peu d’attention de retour à la maison. C’était surtout sa mère qui travaillait car Pietje avait du mal à assumer sa nouvelle situation. Il n’assumait pas sa nouvelle condition physique et ne parvenait pas à garder ou terminer les tâches physique qu’il entreprenait. Cela dura un an.
Une fois la boucherie à nouveau fonctionnelle, les activités pouvaient reprendre. Ainsi, Cees s’occupait principalement du travail manuel, malgré son âge, et Pietje travaillait à la préparation de la viande. PJ commença son aide à la boucherie à ce moment-là. Les hommes travaillaient à la boucherie et Siske tenait les comptes et continuait des petits boulots sur le côté. Heureusement pour eux, certains contacts de Cees, éleveurs et abatteurs, pratiquaient toujours leurs activités dans le sud du pays. Pour montrer ce nouveau départ, la boucherie changea de nom en “Viande art”. PJ avait 6 ans.
La vie reprenait peu à peu son rythme d’autrefois… ou presque. La misère était visible dans la rue, marquant les bâtiments et le visage des clients. Ce n’est qu’avec la fin de la reconstruction de la ville que les “affaires” reprirent dans la boucherie, en 2022.
PJ grandissant, il aidait à la vente et à la préparation de la viande, y prenant beaucoup de plaisir. Il se voyait faire des études universitaires en vue d’aider ses parents à la boucherie et de la reprendre par la suite. Il voulait combler un vide en eux, qu’il ne saurait décrire. Faire en sorte de capter plus leur attention et qu’ils soient fiers de lui.
Ce qu’il fit. À ses 18 ans, il entra à l’université de Wageningen, en Technologie de la nourriture, spécialisation viande.
Il lui arrivait d’avoir des histoires de coeur mais jamais très longues. La plus longue que PJ n’aie jamais eu fût avec Marieke, une étudiante en sciences sociales. Ils s’étaient rencontrés en première année, dans une fête étudiante. Le courant passait bien entre eux et, après plusieurs bières, décidèrent de rentrer ensemble à la résidence étudiante de Marieke où ils se donnèrent mutuellement leur virginité. Cependant, la passion que voue PJ à la boucherie a eu raison de sa relation. Son amour pour Marieke était également principalement porté par sa libido plus que par son coeur.
L’argent finançant ses études provenaient de la boucherie et d’éventuels petits boulots réalisés par Siske pour arrondir les fins de mois. De ce fait, Pieter-Jan était motivé et, malgré des moments difficiles et des rattrapages, finit par réussir.
Le vieux Cees s’affaiblissait pendant les années d’étude de PJ alors que la respiration et la capacité physique de Pietje restaient trop faibles pour pouvoir être efficace dans la boucherie. Cees, devenu comme un grand-père pour PJ, mourut dans son sommeil en 2031, alors que PJ allait terminer son cursus. Suite au décès de Cees, PJ, déjà résolu de poursuivre les traces de son père, devint l’artisan boucher du “Viande Art”, aider par ses parents. Il compte ainsi faire pour que sa famille ne manque de rien.
Katrijn De Joonckheer
Je suis Eli, une des trois fondas 8D
On va lire ta fiche, et on reviendra vers toi dès que se sera fait 8DDD
En attendant ta validation tout ça tout ça, voici le lien du discord :
Débizous et au plaisir de rp 8D
Katrijn De Joonckheer
Aevyn D-Z
Katrijn te donne des ordres en #DD2E35.
J’aurais juste quelques retours par rapport à ta fiche ! Je préfère préciser, mais tu as une excellente base et ce sont des ajustements ou des questionnements que l’on a par rapport à certaines zones d’ombres de ton personnage afin de mieux l’intégrer à l’univers de OWL. Bien entendu, tout est matière à discussion, l’idée n’est pas de dénaturer ton personnage !
Pour commencer, un petit détail mais sur ton avatar (qui est un Picrew si je ne m’abuse ?), ton personnage a les yeux marrons et non les yeux verts. Ce serait possible de modifier ou la fiche ou l’avatar ?
Ensuite, pour son caractère, ce serait chouette d’avoir de réelles qualités à son actif. Car s’il est avenant et serviable, ce n’est que par intérêt et au final il devient manipulateur. De même pour la cigarette ou la drogue, ce n’est que pour avoir une apparence “clean” auprès des gens afin d’obtenir leur confiance. Est-ce qu’il est attaché à sa famille par exemple et qu’il est serviable sans attentes en retour ? Ou est-ce que ses traumatismes liés aux inondations l’ont endurci ou au contraire rendu plus malléable par les autres ? Est-ce qu’il est du genre à l’écoute ? Extraverti ou introverti ? Ce serait chouette d’étoffer sa personnalité et de lui trouver d’autres centres d’intérêt que la viande, car j’imagine qu’il n’y a pas que ça dans sa vie. Peut-être qu’il a d’autres passions, surtout qu’il est jeune ! Est-ce qu’il est du genre fêtard ou casanier par exemple ? D’ailleurs, par rapport à son histoire et au fait d’avoir été délaissé par ses parents pour des causes financières, est-ce qu’il est devenu débrouillard dans ce cas ? Autodidacte ? Autonome ? Est-ce qu’il a été plus rapidement mature dû à ce manque parental ou au contraire en a profité pour faire les quatre cents coups pour avoir de l’attention, quitte à ce qu’elle soit négative ? Est-ce qu’il ne serait pas traumatisé de l’eau également, étant resté coincé quatre jours à cause des inondations ? Voilà je te laisse avec ces remarques pour son caractère !
Pour son physique, ce ne sont que des suggestions parce qu’en soit tu as tout dit, mais est-ce qu’il est du genre à se trouver beau ? Ou est-ce qu’il a des complexes ? Est-ce qu’il a une particularité physique un peu osef (du genre un troisième téton) ? Est-ce qu’il a un style vestimentaire particulier ? Est-ce qu’il a des tatouages, piercings ? Un signe distinctif ? Il avait quatre ans quand il est fait prisonnier de la boucherie lors des inondations : est-ce qu’il a des habitudes/gestes post-traumatiques ? Ou une maladie dont il garde des traces ?
Enfin, pour son histoire, elle est très complète ! Je voudrais simplement montrer quelques incohérences ou abus de langage. Par exemple, quand tu dis qu’ils sont restés déshydratés quatre jours, je me demande comment c’est possible qu’ils n’ont pas eu de cadavres sous les bras ? Ou comment ils sont encore tous en vie ? Peut-être qu’ils ont pu avoir accès à de l’eau potable pendant 2 jours et qu’ils sont restés 2 jours sans eau, ça me semble plus plausible. Aussi, comment est-ce qu’ils ont réparti les vivres sachant qu’ils avaient deux enfants en bas âge et une personne âgée ? Est-ce qu’ils étaient en priorité niveau ration, leur parent se sacrifiant pour eux ? Ou tout le monde était servi équitablement ?
De même, au niveau de la disparition de Flip et Pieter, comment la famille a réagi ? On sait qu’ils étaient pris d’une profonde tristesse, mais quelles ont été les conséquences de cette disparition ? Est-ce qu’ils les ont cherché ? Flip étant le fils (je suppose désiré) de Siske et Pietje, n’ont-ils pas remué ciel et terre pour le retrouver ? Ce serait chouette de développer ce côté-là car on a l’impression que ça ne leur fait ni chaud ni froid, ni crée de blessures psychologiques la disparition du fils et du grand-père. Est-ce qu’ils ont abandonné de les retrouver ? Ou ont-ils fait un enterrement ou une veillée en leur mémoire ? En dehors des difficultés financières, y avait-il des tensions avec tous ces traumatismes ? Surtout qu’ils retournent à l’endroit où ils ont failli y passer et qui a été leur prison pendant quatre jours, n’est-ce pas devenu un lieu maudit pour eux ? D’ailleurs, le traumatisme de PJ par rapport à tout ça c’est la viande peu cuite et les moustiques, mais comme il avait quatre ans, est-ce qu’il n’a pas peur de cet endroit au final ? Voire carrément du métier de boucher ? En a-t-il fait des cauchemars ? Ou est-il dans le déni ? Dans ce cas, est-ce qu’il a des gestes / réactions inconscients par rapport à cette expérience plus que traumatisante ? De même, est-ce qu’il était proche de son frère et son grand-père ? Comment leur disparition l’a touchée ?
Dans son développement personnel, est-ce qu’il a eu des amis, des meilleurs amis ? Est-ce qu’il est toujours en contact avec eux ? Est-ce qu’il a une petite amie ? Une fiancée ? Est-ce qu’ils comprennent sa passion dévorante pour la viande ? D’ailleurs, PJ n’en a-t-il jamais voulu à ses parents de l’avoir délaissé ? Quelle est sa relation avec eux ? N’en a-t-il pas un dégoût justement pour tout ce qui touche à la boucherie plus qu’une adoration puisque tous ses traumatismes et malheurs sont liés à ça ?
Pour résumer la partie histoire, ça manque d’émotions/de sentiments et de social. Tout est centré autour de la boucherie, et si elle a une place tellement importante que la vie sociale et autres centres d’intérêt n’existent plus, il faudra le justifier.
Je m’excuse pour le pavé de retours ! Si tu as la moindre question, n’hésite pas ! Ce n’est absolument pas pour te décourager mais pour au contraire, mieux cerner ton personnage et te l’approprier à 100% jusqu’au moindre détail. Tu vas devenir un.e expert.e de PJ
Encore bienvenue sur le forum !
PJ Van der Aart
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Dites moi s'il faut changer encore des éléments
Bonne lecture !
Félicitations, ta fiche a été validée par les membres du staff ! C’est à partir de maintenant que ton aventure commence au sein de OWL.
Tu es ainsi un Boucher du "Viande Art" parmi les Civils.
Si ce n'est pas fait, n'hésite pas à aller signer le règlement du forum !
Tu retrouveras tous les liens dont tu peux avoir besoin pour t’ancrer dans l’univers du forum juste en dessous. En espérant que tu t’amuseras avec nous !
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