Nom : Saionji
Prénom : Kumiko
Date de naissance : 22 octobre 2007
Nationalité & origine : Japonaise
Sexualité : Bisexuelle
Groupe : Eindhoven
Rang : Soldat
Zone de résidence : Les pillotis
Caractère
DESCRIPTION DE LA PERSONNALITE
Kumiko est une jeune femme déterminée, voir entétée, possédant une résilience à toute épreuve. Ce trait de caractère est dû au fait qu'elle est animée par sa volonté de protéger sa petite sœur, Hanako.
La loyauté de Kumiko envers sa famille est inébranlable, et elle est prête à surmonter tous les obstacles pour assurer le bien-être de sa petite sœur.
Cependant, cette engagement profond pour sa cadette peut vite se retourner contre elle, car, non seulement c'est un levier pour la faire chanter mais en plus, la colère peut rapidement la submerger si quelqu'un touche à sa petite soeur, ce qui l'ammène à faire des choix précipités et donc, stupide.
Sa colère est froide et se traduit par soit des remarques singlantes soit, si cela touche des sujets sensibles, des accès de violences physique
L'ainée des Saionji aspire à la stabilité et recherche la sécurité pour elle et sa famille. Bien qu'elle s'adapte facilement à toute situation de combat, la demoiselle a parfois du mal a accepter le changement dans sa vie courant. Elle peut avoir du mal à articuler ses pensées et ses sentiments verbalement.
La japonaise est une personne pragmatique, ancrée dans la réalité, qui compte sur sa propre autonomie et débrouillardise.
Depuis l'orphelinat, elle est attentive à son environnement et reste à l'affût de menaces potentielles. Elle accorde donc une attention aux détails et les utilise pour prendre des décisions éclairées. (Sauf quand cela touche Hanako).
En tant qu'exécutrice et protectrice au sein des Eindhoven, Kumiko fait preuve de professionalisme et tente de protéger ses compagnons de crimes.
Malgré son appartenance à une famille mafieuse, la japonaise possède une conscience du bien et du mal et des conséquences morales de ses actions.
Kumiko préfère éviter les conflits et les confrontations, mais elle est prête à faire tout ce qu'il faut pour protéger ceux qu'elle aime.
Au sein de son gang, elle éprouve parfois des difficultés à prendre des décisions qui ne correspondent guère à ses valeurs morales.
Paradoxalement, Kumiko à beau être une personne calme, c'est aussi une femme joviale prompt à rire et sourire à ses interlocuteurs. Elle est sociable bien qu'elle aime avoir ses moments de solitude.
Enfin, la demoiselle a peur de l'impuissance. Ayant été par le passé impuissante face à la perte de ses parents et ayant été confrontée à des échecs et des pertes qui l'ont laissé frustrée et en colère contre elle-même.
Cette peur de l'impuissance la pousse à s'entraîner sans relâche et à prendre des risques dangereux pour obtenir les compétences dont elle a besoin pour protéger sa soeur et ne plus jamais être démunie face aux situations.
DESCRIPTION DU PHYSIQUE
Kumiko est une femme au physique athlétique et mesurant 1m70 pour 65 kilos. Bien qu'elle paraisse fine, ses muscles sont bien déssinés sur son corps, son ventre est strié d'abdominaux, sa poitrine est discrète, ses bras sont puissants et ses longues jambes ont finement sculptées. Ce physique est dû à sa pratique intensive de sports de combat en dehors de ses boulots pour la famille Endhoven.
La japonaise a de grands yeux en amende de marrons, ils sont assez expressif et qu'elle cache derrière des lunettes de vue rectangulaires (parfois rondes) car elle est myope.
Quand elle est en mission, la mercenaire met des lentilles de contact par praticité.
De longs cheveux noirs et lisses encadrent son visage et tombent en cascade jusqu'au bas de ses homoplates, bien qu'elle les nouent en une queue de cheval haute.
Aujourd'hui, elle les a teint en vert en foncé pour se donner une apparence plus rebelle et moins sage... Et brouiller les pistes quant à sa ressemblance avec Hanako.
Son visage semble sévère à première vue, mais c'est une femme très expressive et souriante. Kumiko est la première à rire, son rire étant cristalin et contagieux.
Cela peut surprendre au vu de sa voix d'habitude calme et sèche.
L'ainée des Saionji parle peu et elle choisit toujours ses mots avec soin... Sauf quand elle est en colère.
Sa peau est pâle bien qu'elle bronze très vite lorsque le soleil arrive à percer les nuages des Pays-Bas. Quelques cicatrices éparses barrent son épaule droite, son avant-bras gauche et deux sur son ventre. Ces blessures refermées venant de combats passés.
Côté style vestimentaire, Kumiko oscille entre deux styles selon qu'elle soit en mission ou non, bien qu'elle soit souvent drapée de noir.
Elle peut très bien être élégante avec un tailleur noir, la jupe s'arrêtant à mi-cuisse, assorti à des collants noirs qui mettent en valeur ses jambes musclées, complété par des Dr. Martens ou des mocassins de la même teinte.
Ou alors, porter des vétements plus confortable comme un jean bleu foncé, un t-shirt noir assorti à un gilet bleu. Elle porte alors des dr Martens ou des converse... Tou dépend du contexte.
La japonaise se maquille peu voir pas du tout... Encore une fois, tout dépend du contexte.
Enfin, sa démarche est assurée et féminine.
DESCRIPTION DE L'HISTOIRE
Il est vrai que j’ai poignarder à six reprises ma meilleure amie, et pourtant, malgré les larmes et la culpabilité qui ronge mon cœur aujourd’hui…Je recommencerai.
Si j’ai mis fin au travail des moires sur le fil de sa vie , c’était pour rallonger celui de ma petite sœur, Hanako.
La pluie battait violemment contre la fenêtre de ma chambre de Motel, ajoutant une symphonie mélancolique à l'atmosphère déjà lourde qui m'entourait.
Je fixais mon reflet dans le miroir de la salle de bain bien petite, mes yeux fatigués cerclés de noir scrutaient mon visage pâle tacheté de rouge.
La lumière blafarde au-dessus du lavabo vacillait légèrement, ajoutant une teinte sinistre à la pièce étroite. Mes doigts tremblaient légèrement alors que j'ouvrais le robinet.
L'eau froide a jailli, brisant le silence de la pièce. Mes mains, tachées du rouge sombre de ce que j'avais fait, semblaient presque étrangères à mes propres yeux. Les gouttes d'eau froide ont caressé ma peau, créant un contraste glacial avec la chaleur qui émanait de ma culpabilité.
J'ai baissé la tête, mes yeux fatigués fixés sur le liquide clair qui se transformait lentement en un mélange de rose pâle, emportant avec lui les traces de mon crime que je tentais d’effacer.
Les gouttes rougies se mêlaient à l'eau claire, formant des spirales éphémères avant de disparaître dans le siphon du lavabo.
Un frisson m'a parcouru alors que l'eau glacée touchait la peau brûlante de mon visage. Les larmes se mêlaient aux gouttes d'eau, indiscernables l'une de l'autre alors qu'elles glissaient sur mon visage.
J'ai pris une serviette élimée, la pressant contre mon visage, tentant en vain d'effacer les traces de ma propre folie. Le reflet dans le miroir semblaient maintenant moins accusateurs… Mais je restais une meurtrière.
Pourtant, tout était écrit pour que j’ arrive à ce moment… Tout était réglé comme un engrenage que j’avais actionner des années auparavant…Dès ma naissance.
Je me nomme Kumiko Saionji et ces lignes erratiques seront sûrement mon testament pour toi, petite soeur…
Je suis née le 22 octobre 2007 à Amsterdam, plongée dans le confort d'une famille fortunée. Mon père, Akira Saionji, dirigeait l'hôtel de luxe Okura en tant que directeur adjoint, tandis que Tomoe Saionji était sa secrétaire.
Hanako, ma petite sœur, est venue au monde un an plus tard, le 8 juillet 2008.
Nous avons grandi dans le luxe, bercées par l'éducation japonaise traditionnelle et bourgeoise que nos parents avaient rigoureusement planifiée. Ils aspiraient à nous préparer à des carrières prestigieuses, créant un environnement propice à notre épanouissement intellectuel et social.
Mais l'année 2012 a tout changé.
Des inondations ont ravagé Amsterdam, emportant nos parents et plongeant la famille Saionji dans le deuil et la détresse.
L'hôtel Okura, symbole de notre prospérité, était désormais englouti sous les eaux sombres, emportant avec lui nos repères et notre vie.
Après cette tragédie, Hanako et moi, sans la moindre famille, avons été accueillies dans un orphelinat austère portant le nom de Willem III d’Orange.
Là où résonnaient jadis les échos de la richesse, règnent désormais le silence pesant de la perte et de la déchéance.
Les premières années furent difficiles. Habituées au luxe, nous avons dû nous adapter à un monde bien différent. Les robes élégantes ont cédée la place à des vêtements usés, et la politesse feutrée japonaise a été remplacée par une proximité malfaisante et au tentative d’intimidation.
Durant mon adolescence, Je me suis transformée, devenant une jeune femme rebelle. Les rixes étaient monnaie courante dans cet environnement rude, et je refusais de laisser quiconque s'en prendre à moi ou à ma cadette.
J'ai forgé ma réputation à coups de poing, devenant la protectrice farouche d'Hanako.
Mes mains, autrefois délicates, sont devenues des armes avec lesquelles je défendais ma seule famille.
L'éducation japonaise traditionnelle, autrefois confinée à des manières polies, s'est transformée en une leçon de survie. J'ai enseigné à Hanako les arts de la débrouillardise, la protégeant de la cruauté du monde qui nous entourait.
De nos 12 à 18 ans, nous avons été trimballées entre 3 familles d’accueil dans les quartiers des pilotis.
Certaines étaient de vraies ordures comme les De Jong. C'étaient une famille bourgeoise avec déjà un enfant qui, durant deux ans, ont essayé de faire des nous des bonnes fifilles obéissante sans âme à leur service... Voyant qu'on ne convenait pas, ils nous ont rendu à l'orphelinat après que j'ai malencontreusement cassé le nez de leur véritable enfant... Retour à la case départ.
Puis, il y'a eu les Vercruysse, un couple de pécheurs qui étaient au demeurrant sympathiques jusqu'à ce que la femme ne décède d'un cancer que l'homme ne tombe dans l'alcoolisme et tente de battre ma soeur... La honte pour lui de s'être fait battre par une gamine de 14 ans. (Bon, il était ivre, je l'ai tapé dans le dos avec une puel à frire...)
Résultat des courses : police appelée, service de protection de l'enfance arrivée et retour à l'orphelinat.
Heureusement, pour nous, ce calvaire prit fin grâce à monsieur Lindemans, un vieil homme qui s’est bien occupé de nous de nos 15 à 18 ans. Sans lui, je crains que notre situation aurait été bien pire.
Cependant, c'est à l'école que nous avons trouvé un refuge, un endroit où nous pouvions respirer et nous épanouir.
J’étais une jeune femme énergique et passionnée qui excellais dans les matières littéra ires tout en brillant sur les terrains de sport de l'école... En dehors des cours, je pratiquais du krav maga, du ju-jitsu et un peu de Kendo… Ces sports m’aidaient autant à me canaliser qu’à mieux cogner mes adversaires.
Ma sœur, elle, se démarquait par son amour pour les sciences, plongée dans les livres et les expériences de laboratoire. Son esprit analytique et sa soif insatiable de compréhension lui ont permis d’atteindre les meilleures notes.
Au sein de notre établissement scolaire, notre dynamique ne passait pas inaperçue. Hanako, avec son intelligence et son caractère sociable, était souvent la petite favorite, recevant des éloges et des encouragements des professeurs pour ses exploits académiques.
Je suis sincèrement fière d'elle, mais au fil des années, une pointe de jalousie s'est insinuée dans mon cœur. Elle réussissait tous ses projets sans trop d’effort alors que moi, je devais passer des nuits blanche pour espérer avoir une note correcte.
Cependant, malgré ce sentiment, nous restions soudées. On s'entraidait pour pallier aux difficultés rencontrées par chacune. Ma cadette m'aidait pour mes examens, et en retour, j'ai veillé sur elle, la défendant contre les harceleurs.
L'épreuve des diplômes a marqué une étape cruciale pour nous deux. Je suis sortie de l'établissement avec un Havo tandis qu’Hanako, elle, a décroché un VWO, consolidant sa réputation d'intellectuelle de haut niveau… Cependant, quelque chose la déprimait.
Tout d’abord, ce fut le décès de monsieur Lindemans, un arrêt cardiaque que nul n’avait pu prévoir… Et surtout pas nous…
On a donc dû retourner dans un foyer d’accueil, ce qui donna un grand coup à notre moral... Mais on a surmonté cette peine, ensemble.
Ce fut à son dix-septième anniversaire qu’ Hanako me parla de ses tourments.
C’était dans un petit restaurant que j’avais réussi à offrir à l’aide de mon job étudiant.
Notre table était seulement éclairée par la lueur vacillante des bougies sur un gâteau au chocolat
Les échos joyeux d'autres adolescents résonnaient autour de nous, mais pour ma petite sœur et moi, le monde se réduisait à nous deux, éclairées par la chaleur des dix-sept bougies.
Hanako avait soufflé sur les bâtonnets de cires à la cime embrasée avec un sourire radieux, mais dans ses yeux brillait une lueur de tristesse.
Je l'ai remarqué et l'ai tirée doucement dehors, à l'écart du brouhaha distant.
-« Qu'est-ce qui ne va pas, Hanako? »
Demandai-je, scrutant le visage de ma sœur.
Elle avait hésité un instant, puis m’avoua doucement :
-« Kumiko, je rêve de devenir médecin. Mais... je sais que ça ne sera jamais possible. On n'a pas l'argent, et sans parents, comment pourrais-je y arriver? Je ne pourrais pas aller à l’université.»
Mon cœur s’était instantanément serré. J’ai alors pris doucement les mains de ma sœur, cherchant mes mots avec soin.
-« Hanako, écoute-moi… Je ferais tout en mon pouvoir pour que tu atteignes ce rêve. Je vais trouver un boulot et je paierais tes frais d’université… Rien ne pourra t'arrêter, d'accord ? »
Les yeux de Hanako s'emplirent de larmes tandis qu'elle souriait, serrant les mains que je lui tendais.
-« Vraiment ? Tu ferais ça pour moi ? »
-« Je te le promets, sœurette. Ton rêve deviendra réalité.»
À partir de cette nuit-là, une nouvelle promesse s'était gravée dans mon cœur. J'ai juré de tout faire pour offrir à ma seule famille la chance de réaliser ses rêves.
Dès lors, pendant deux années, j'ai jonglé avec des petits boulots légaux, économisant chaque centime pour payer les études de ma petite sœur et lui offrir une vie meilleure dans cette ville néerlandaise. Mais malgré mes efforts, ce n'était jamais assez.
Alors, je me suis aventurée dans l'illégalité, qui, elle, payait mieux et nette d’impôt en plus….
J'ai commencé à travailler pour un certain "Hadès Gallagher", un barman louche qui orchestrait des affaires douteuses.
Tout d’abord, je n’étais qu’une serveuse, enchaînant les heures supplémentaires, ce qui inquiéta le patron.
Gallagher me demanda pourquoi je me tuais à la tâche et… Je lui ai tout dit… Ma situation, ma promesse à ma soeur...Tout.
Je m’attendais à ce qu’il se moque de moi, mais à la place, il semblait… Touché ? Ravi ? J’ai jamais compris ce type de toute façon.
Quoiqu’il en soi, il m’a proposé des « boulots bonus ».
Mon rôle consistait à faire du recouvrement de dette, à intimider, tabasser les mauvais payeurs et parfois à séduire de riches hommes pour les amener dans le bar de mon patron. Les contours moraux de ma vie ont pris une teinte sombre et ambiguë alors que je m'enfonçais dans ce monde interlope pour assurer un avenir à Hanako.
Chaque nuit, je m'immergeais dans les ruelles de New-Amsterdam, prête à accomplir les tâches peu recommandables qu’Hadès me confiait.
Les visages inquiets des débiteurs, mes propres mains fracassants des mâchoires, et les regards libidineux des hommes riches que je devais séduire hantaient mes nuits…
Mais je persistais, ignorant ma conscience pour la survie de ma sœur.
Les mensonges et les secrets devenaient mon quotidien, dissimulant la vérité à Hanako pour la protéger de la noirceur de ma nouvelle réalité…
A ses yeux, j’étais la grande sœur honnête, qui travaillait comme gardienne de nuit dans une entreprise qui lui a offert une place dans le campus universitaire « Karel Niessen ».
Grâce à moi, elle avait commencé un cursus en médecine… Et elle était heureuse.
Je devais lui plaire à ce Hadès, car c’est lui qui m’a appris les rudiment du tir avec un pistolet… Jusque-là, je n’avais assassiné que des bouteilles vides.
Après deux ans au service de Gallagher, j’ai cessé de travailler pour ce barman et je me suis faites recrutée par une certaine « Violette » une femme élégante qui connaissait mon ancien patron et qui ne disait pas non à user de mes services pour écouler des marchandises illicites ou tabasser des mauvais payeurs pour une paie bien plus importante que celle d’Hadès .
J'aimais bien le géant, mais cette femme payait bien mieux et me promettait des possibilités d'avenir plus interessante au sein de la pègre locale...
C’est dans ce contexte que j’ai rencontré Alicia Vangraaf, une femme qui deviendrait ma meilleure amie, mon idylle… et ma dernière victime.
Alicia et moi avions rapidement fusionné nos compétences au service des missions douteuses confiées par Violette
Nous avons plongé tête première dans l'illégalité la plus crasse, enchaînant les cambriolages, les vols de voitures, et les actes de racket impitoyables.
La complicité s'est alors tissée entre nous au fil de chaque mission, scellant notre partenariat dans l'ombre.
Au-delà des intrigues criminelles, une amitié sincère avait émergé.
Nos vies dangereuses ont créé un lien unique, forgé dans le feu des actions risquées. Les rires dans l'obscurité des ruelles désertes, les murmures conspirateurs, et les regards complices ont renforcé notre connexion, transformant l'amitié en une alliance indéfectible.
Nous partagions nos espoirs et nos rêves, nos craintes et nos regrets…
Alicia celle a qui je pouvais tout dire… Même l’existence d’Hanako.
Peu à peu, cette connexion a évolué vers quelque chose de plus profond. Des regards appuyés, des touches fugaces, des étreintes sincères et un baiser ont dessiné les contours d'une relation naissante. Les frontières floues entre amitié et romance se sont alors dissoute… Nous étions devenue un couple.
Pourtant, au sein de cette intimité, une action d'Alicia a semé les graines de la tragédie, me forçant à la tuer après deux ans de complicité…
Une nuit sombre, alors que la lueur des enseignes au néon dessinait des ombres dans les rues vides, Violette m'avait prise dans sa voiture et nous eûmes alors une discussion.
-« Kumiko. »
Avait murmuré Violette d'une voix grave. Ses yeux énigmatiques semblaient percer mon âme et une angoisse avait gelé mes tripes. Elle démarra sa voiture et le véhicule s’engouffra dans les rues de New-Amsterdam.
-« Tu as fait tes preuves en travaillant pour moi pendant deux ans, et je pense qu'il est temps de monter d'un cran. »
Elle m'a alors expliqué que je pourrais travailler pour des personnes plus sérieuses, gagner un salaire bien plus conséquent, mais surtout, elle a utilisé les mots firent trembler mon monde : "Protéger Hanako."
La simple idée de pouvoir assurer la sécurité de ma petite sœur m'a envoûtée, mais la peur m'a étreint le cœur.
-« Que voulez-vous en échange ? »
Ai-je demandé, les yeux rivés sur elle, cherchant des réponses dans son regard froid.
La femme a souri, mais il y avait quelque chose de malsain dans ce sourire.
-« Pour prouver ta loyauté à ces personnes, il faudra que tu accomplisses une tâche difficile. Il y a quelqu'un qui nous a trahie, Kumiko. »
Les paroles de Violette ont suspendu le temps.
-« Qui ? »
Ai-je demandé fébrilement, le cœur battant plus fort.
-« Alicia. »
A-t-elle répondu sans hésitation. Ma bouche s’était entrouverte, mon sang se gela… Je ne pouvais y croire.
-« Elle m’a menacé de me balancer à la police… mettant en danger tout ce que tu chéris… Si je tombe, tu tombes et ta petite sœur aussi… Tu sais ce qui te reste à faire si tu veux la protéger…. Chambre 209.»
L'annonce a glacé mes veines mais, je n’ai guère eu le temps de réfléchir longuement, la voiture s’était arrêté devant un hôtel dénommé « No tell Motel ».
Je suis alors descendue du véhicule et j’ai alors rejoins la chambre 209… La suite, je l’ai déjà écrite plus haut…
Violette était satisfaite… Je pouvais améliorer mon train de vie et celui d’Hanako en échange, j’étais désormais soldat pour une famille mafieuse de New-Amsterdam…Je bossais pour les Eindhoven.
A moi les tenues élégantes, un appartement sur les pilotis et une petite sœur heureuse…
En échange, je participe, en plus de mes activités illicite habituelle, à du trafic d’armes… D’organes… Et même d’êtres humains alors que cela me dégoute.
Je suis désormais une exécutante pour eux. Une garde du corps, gros bras, une tueuse à gage. Une arme vivante en somme.
Mais ils sont au courant pour ma sœur… Ils m’ont grâce à elle…
Hanako, tu es ma plus grande force et ma plus grande faiblesse. Par toi, ils ont ma loyauté indéfectible.
Tant que tu es heureuse et en sécurité, je donnerais mon honneur, mes poings et mon sang à la famille.
J’espère que tu n’auras jamais à lire ces lignes…
Je t’aime Hanako…
-Kumiko.
Rowan Feys
Merci pour ta fiche Kumiko
Avant de te valider, on a trois questions à te poser. On te laisse y répondre dans ta fiche et nous prévenir quand c'est fait :)
Ces questions ont pour visées d'éclairer des zones qui ne le sont pas pour nous, ou pour approfondir des endroits qui seraient intéressants à développer pour toi !
1) Kumiko et Hanako ont été en foyer puis ont eu plusieurs familles d'accueil. Mais on sait pas pourquoi ces changements, comment elle a vécu autant de ruptures, etc. N'hésite pas à développer cette partie, ce serait intéressant
2) Pourquoi Kumiko est passée de Hadès à Violette ? Y'a eu un changement, on sait pas pourquoi x)
3) Du coup quel est le grade de Kumiko chez les Eindhoven ? (petit lien qui peut t'aider : https://the-owl.forumactif.com/t6-annexe-1-le-fonctionnement-d-une-mafia)
Voilà, dis nous quand c'est bon
Kumiko Saionji
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Félicitations, ta fiche a été validée par les membres du staff ! C’est à partir de maintenant que ton aventure commence au sein de OWL.
Tu es ainsi membre de la famille des Eindhoven ayant le rang de Soldate.
Tu retrouveras tous les liens dont tu peux avoir besoin pour t’ancrer dans l’univers du forum juste en dessous. En espérant que tu t’amuseras avec nous !
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Kumiko Saionji
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