Ethan est ce qu’on pourrait appeler “un gentil garçon”. Il est rempli de bonnes intentions, veut bien faire afin de ne décevoir personne et de rendre tout le monde heureux. Malheureusement, sa maladresse naturelle peut parfois lui jouer des tours et compromettre ses intentions pourtant honorables. Pour l’anniversaire de sa mère, par exemple, il lui avait offert la robe qu’elle portait le jour-même. La seule différence dans ces deux robes, pourtant parfaitement identiques et achetées au même endroit, était leur taille. Le pauvre Ethan avait réussi à la prendre deux tailles au-dessus car, au moins, elle serait à l’aise. Un peu comme un pyjama. Pas vraiment le but recherché dans une tenue de soirée…

Une autre chose qui le dessert dans la vie de tous les jours est sa naïveté enfantine. Vous pouvez lui sortir la plus grosse énormité qui soit qu’il le croirait sans porter de jugement sur votre affirmation. Lorsqu’Internet avait dévoilé le fameux “gland de lait”, Ethan s’était inquiété de ne l’avoir jamais expérimenté et a même été voir un médecin afin de s’assurer qu’il n’était pas malade. Il n’avait pas eu le réflexe de taper dans Google afin de vérifier qu’il ne s’agissait pas de simples trolls.

Ajoutons à cela une mauvaise mémoire et un sens d’observation digne de la vision de Gilbert Montagné, et nous avons le parfait portrait d’un type un peu simplet, peut-être même idiot. Enfin, aux premiers abords. Ethan n’est pas stupide, il est même loin de l’être. Cependant, il ne porte pas grand intérêt à tout ce qu’il voit et entend. Si les autres peuvent parler pendant des heures d’un crop-top qu’une jeune fille avait porté, lui ne va juste voir… Rien du tout. Il s’en fiche éperdument de ce que les autres portent ou ce qui peut choquer les plus vieux comme les plus jeunes. Il vit sa vie, il ne prête attention qu’aux choses importantes pour lui.

Sa simplicité naturelle est en revanche du pain béni pour ses proches. Il se contente de peu, tant et si bien que lui acheter son dessert préféré suffit à le combler de bonheur. Nul besoin d’organiser une fête gargantuesque avec des milliers de pierres précieuses et le nouvel Iphone en guise de cadeau pour son anniversaire. Une simple soirée en compagnie des personnes qu’il chérit est à ses yeux un présent bien plus précieux. Les souvenirs de bonheur sont bien plus que tout le matériel qu’il pouvait s’obtenir lui-même dès qu’il le voulait.

Le jeune policier est également du genre à s’attacher très rapidement aux personnes avec qui il s’entend. Très extraverti, il est d’une facilité déconcertante pour lui de créer des liens avec les autres. Instaurer une ambiance amicale est un véritable jeu d’enfant, sans même y penser ou le vouloir.

On pouvait aisément comprendre pourquoi, en connaissant tous ses traits de caractère, les gens le comparent sans cesse à un petit chiot. Joueur, loyal, l’air un peu bête… C’était Ethan tout craché.

Le seul moment où son enfant fait place à l’adulte est lorsqu’il tient une arme entre ses doigts. Parfaitement conscient qu’à ce moment précis, des vies sont en jeu. Il prend très à cœur son métier, tant et si bien que tout le sérieux dont il est capable n’est visible qu’avec un pistolet dans ses mains.

Également, l’un des rares moments où son sérieux se mêle à sa joie de vivre est lorsqu’il court, qu’il boxe, qu’il fait de la musculation. Il prend un grand plaisir à se muscler, bien qu’il ne considère que le sport qu’une dépense d’énergie. Et de l’énergie, il en a ! Pas besoin de Red Bull ou de Monster, il est la boisson énergisante à lui seul. Alors le sport, c’est le moyen ultime pour lui de se fatiguer. Pas de chance pour lui, ça ne peut pas l’aider à avoir un corps d’athlète. Il a beau s’entraîner des jours et des semaines, son corps reste ce qu’il est : mince avec quelques muscles sculptés sans grande prétention.
Par ailleurs, il a bien un sport préféré et c’est tout simplement le ski. Partir à la montagne, observer la neige tomber du ciel, s’émerveiller devant la nature tout en se dépensant : voilà la définition du bonheur. Ajoutez-y quelques-uns de ses proches, et vous avez l’homme le plus heureux du monde. C’est petit qu’il a commencé ce sport, dans les montagnes françaises. Avoir des parents fortunés, ça aide…

Est-ce qu’il est du genre petit ? Au vu de son caractère, on s’attendrait à un petit homme, des yeux aussi grands et lumineux que ceux d’un enfant et l’air un peu bêta. On pourrait même imaginer des dents du bonheur.
Pourtant, il n’est rien de tout ça. Enfin, presque. Ni grand, ni petit, il est dans une moyenne pour les jeunes hommes de son âge. Il peine à dépasser le mètre quatre-vingt, il ne lui manque que deux petits centimètres. Et on dirait que son poids lui fait la même blague. Il y est toujours : à deux doigts d’atteindre la dizaine du dessus, mais il reste à 69 kg. Enfin, étrangement, ça ne le dérange pas vraiment.
Et qu’est-ce que ça dit tout ça ? Eh bien, qu’il est dans la longueur. Il a un peu d’épaules, c’est vrai. C’est là pourtant la seule chose qui vient casser cette droiture presque effrayante. Tout fin, tout fin il est. De grandes jambes, de grands pieds - c’est qu’il chausse du 46 - et des grandes mains. Seules ses oreilles sont toutes petites. Pareillement, son nez est le prolongement de son corps : fin et long. Un peu comme son visage. A croire que les personnes qui l’ont designé avaient une ligne directrice et qu’ils s’y sont tenus. Pas de gras, non, ça casserait sa droiture. Pas trop de muscles non plus, ça serait trop le sculpter et il n’est pas Apollon. Voilà, juste de quoi souligner ici et là qu’il fait un peu de sport, ce sera bien assez. Et puis, pas trop de poils. C’est que c’est un blondinet, ses poils disparaissent aussitôt lorsque les rayons du soleil s’affairent sur sa peau claire. Imberbe. C’est le mot. Sur les jambes, sous les aisselles, un peu entre la raie des fesses et bien sûr sur hum… Enfin, pas sur le torse ni sur le menton, ce serait de trop. Et puis, rien ne sort ni des oreilles ni du nez, ça viendrait rajouter du volume. Pareil, pas de boutons. Pas de points noirs. Tout lisse, il est. C’est ça, il est lisse.
Alors pour contredire le travail de ses créateurs, il s’amuse à exprimer toutes sortes d’émotions. Ses sourcils, tous droits, s’arquent, se tordent, se froncent en permanence. Sa bouche, c’est à la fois un sourire solaire et bienveillant - avec des dents toutes droites évidemment - qu’une moue boudeuse et renfrognée. Des plis sur le nez, une fossette sur sa joue droite, un petit grain de beauté au-dessus du sourcil… S’il peut donner à son corps de l’expression, des sentiments, il le fait. Il n’est pas du genre à ne rien exprimer, bien au contraire : son corps, c’est son terrain de jeu. Il se blesse, il se gratte, il s’écorche, il prend des coups de soleil, il pèle, il rougit, il tremble… Sa palette, son histoire : c’est sa chair, sa peau. Plus tard, il aura ses propres tatouages naturels desquels il pourra raconter ses aventures à ses petits enfants.
Quoi d’autre ? Ah oui, il est blond. Aux yeux bleus. Ah les blagues sur les aryens, il en a entendu. Et des jeunes filles qui crushaient sur lui aussi - avant qu’elles passent dans leur phase dark Sasuke.
Oh, et cet accent prononcé ? Pas d’inquiétude, il est étranger. Enfin, pas vraiment. Mais il a vécu à Londres pendant une grande partie de sa vie, alors l’accent britannique a un peu de mal à partir…

Comment ça, étranger mais pas trop ? Eh oui, il est en réalité né aux Pays-Bas. Pendant ses petites années, si petites qu’on ne se souvient de rien quand on grandit, il y a vécu. Puis après deux ans, ils sont partis : lui, ses parents et ses deux grandes sœurs. Où ça ? Au Royaume-Uni bien sûr ! Son accent britannique ne sort pas de nulle part puisqu’il vient tout droit de Londres, la ville d’origine de son père.
Des parents, fortunés, qui viennent des Pays-Bas et plus particulièrement d’Amsterdam ? Évidemment, ils connaissaient bien les Maaiers. Ils étaient même assez proches. De bons clients. Et alors que l’entreprise devait se délocaliser, s’affranchir du pays pour s’implanter à l’internationale, ils décidèrent avec l’accord de la Famille de partir pour Londres. Quoi de mieux qu’un pays anglophone à deux pas de leur maison ? Et pourquoi pas étendre l’influence des Maaiers, tant qu’ils y étaient ? Enfin, ça, c’était dans les papiers. Mais jamais ils n’avaient parlé d’une organisation mafieuse à d’autres concurrents, trop pressés de voir leur empire économique s’effondrer. Quel genre d’empire, direz-vous ? Un empire financier. Visa.
Enfin, à côté, nous avons Ethan. Ce jeune bambin qui cache son pénis pour faire croire qu’il est comme ses sœurs - Lara et Romy, pour les nommer : une fille. Il n’avait, à l’heure actuelle, pas grand chose d’un futur héritier d’une puissante entreprise. Ce petit blondinet aux yeux bleus, à l’inverse, regardait le monde de sa grande maison. Trop grande pour la proximité qu’il avait avec ses sœurs. Le destin a fait qu’il s’entendait à merveille avec elles. De grands complices. Et jamais il ne leur en avait voulu de l’avoir habillé avec un sac poubelle avec des trous ou même de lui avoir fait boire une boisson plus que douteuse au vu des mélanges expérimentaux de Lara ou Romy. Elles étaient tout simplement fan de la naïveté de leur petit frère, et de sa grande malléabilité. Enfin, elles étaient souvent punies. On n'humilie pas un homme. Même s’il n’a que deux ans.

L’école maternelle ? De grands pleurs, des grosses larmes, des grands cris, des gros gestes. Une véritable drama queen, cet Ethan de trois ans et demi. Il ne voulait pas quitter sa mère, trop peureux de voir d’autres êtres humains qu’il ne connaissait pas. Elle avait beau le rassurer, lui dire qu’elle et son père avaient fait attention à ce qu’il soit placé dans la meilleure école - et la plus chère - de tout le pays, ça ne suffisait pas à calmer sa crise de larmes. Il fallut au moins une bonne demi-heure pour qu’il daigne lâcher sa mère et qu’elle puisse enfin se rendre au travail. Et alors que sa professeure pensait qu’il allait être le petit garçon le plus timide de la classe, il s’avérait qu’il était au contraire celui qui rassemblait les autres. D’un naturel extraverti, il allait piquer les crayons des filles, faisait semblant de faire sa sieste - ce qui était stupide puisqu’après il était terriblement fatigué et dormait presque debout - et faisait le beau en montrant ses prouesses : il pouvait faire le papillon avec ses mains ! Il était tout simplement devenu ami avec l'entièreté de sa classe en moins d’une semaine. Et au cours de sa vie de jeune écolier, il avait déjà eu trois petites copines. Ses parents pensaient qu’au lycée, il allait être un vrai tombeur. Bon sang, ce qu’ils étaient loin de la réalité.

L’ambiance à la maison, de retour des cours de petite maternelle, c’était que de la joie. Pas besoin de parents quand on avait deux grandes sœurs. Elles l’aidaient à faire ses devoirs, le gardaient quand leur mère et leur père étaient occupés ailleurs. Avoir deux filles, l'une âgée de 5 ans et l’autre de 7 ans, ça aidait. Lara, c’était la plus vieille, par ailleurs. Il leur arrivait très souvent de s’endormir devant la télévision, après avoir fait réchauffer les plats préparés par la nourrice.

En grandissant, il avait besoin de plus que de l’imagination et de l’énergie pour réussir dans la vie : il fallait travailler. Savoir lire, compter, écrire devenaient ses grands défis en tant que futur intellectuel. Pas vraiment, en réalité. Il avait toujours un mot pour rire, une raison de pourchasser ses camarades, et même de faire exprès de parler néerlandais pour rendre confus ses amis. Parce qu’évidemment, ça parlait essentiellement néerlandais à la maison. Ses parents voulaient qu’il soit bilingue au minimum.
Et alors qu’il travaillait sur ses devoirs, il préférait jeter des crayons sur Lara ou dessiner sur les devoirs de Romy. S’en suivait une course poursuite à travers toute la maison, et bon sang ce que c’était dur de le trouver ! Des millions de cachettes et un petit bonhomme qui courait partout. Mais quand elles le trouvaient, la vengeance était terrible ! Lara retenait le petit diable quand Romy s’empressa de chercher la trousse de maquillage de sa mère. Et ensemble, ils se dessinaient sur le visage. Le rire naïf de leur petit frère était le son le plus doux du monde à leurs yeux, et elles voulaient absolument continuer à le faire rire. Alors, ça piquait les habits de maman. Et ça agissait comme des femmes. Et c’était si drôle qu’ils continuèrent malgré l’interdiction posée par leur mère. Et à force de les surprendre à agir ainsi, et surtout Ethan, leurs parents commencèrent à se poser des questions. Les Barbies étaient pour ses sœurs, alors pourquoi jouait-il avec elles ? Le maquillage, c’était pour les filles, qu’est-ce qui n’allait pas chez lui ? Et si, plus tard, il était… Pas tout à fait hétérosexuel ? Il n’en fallait pas plus pour que ses parents, un peu vieux jeux et surtout homophobes, l’entrainent dans le bureau d’un pédopsychiatre qui s’était échiné à leur expliquer qu’il n’y avait rien d'anormal dans ce comportement. Il se garda bien de leur dire qu’au final, qu’il soit homosexuel ou non, ça n’était pas leurs affaires. Mais l’argent, ça aide bien à se taire…

En voie de “guérison” de ses déviances psychologiques, Ethan poursuivit ses petites études tout en ayant des rendez-vous réguliers avec son pédo-psychiatre. Toujours fanfaron, il avait bien du mal à se concentrer sur ses notes. Il préférait s’amuser, danser, sauter sur les tables. Il faisait rire ses camarades, et combien même il perturbait les cours, il restait un enfant agréable à vivre. Toujours souriant, avec le mot pour rire ou des grands yeux émerveillés, ses professeurs arrivaient à lui trouver des qualités malgré les interruptions répétées lors de leurs leçons.
Lorsque son comportement était rapporté auprès de ses parents, les punitions tombaient. Il devait faire des devoirs supplémentaires, abandonner ses jeux-vidéo pour plusieurs soirs ou bien était privé de desserts. Ethan se fichait bien de tout ça du moment qu’il pouvait toujours s’amuser avec ses sœurs et ses amis. Il ne se contentait pas de grand-chose déjà à l’époque, ayant une imagination débordante et trouvant de quoi s’amuser avec n’importe quoi.
Évidemment, cet état d’esprit de joyeux luron ne lui permit pas de briller par les notes. Très peu studieux, il ne faisait pas le fier aux réunions parents-professeurs. Les bulletins témoignaient de son manque de sérieux malgré les efforts des parents. Enfin, surtout de la nourrice. Il obligea presque sa mère à prendre un congé pour pouvoir se concentrer sur son manque de sérieux. Mais force de constater qu’il ne s’améliorerait jamais. Il avait beau ne pas être stupide, il devait malgré tout travailler plus que les autres pour obtenir des notes moyennes. Alors, il préférait faire ce pour quoi il avait un don inné : les relations. Ses parents finirent par abandonner par manque de temps, et malgré des notes pas franchement brillantes, il passait toujours aux classes supérieures. Nul doute que quelques billets étaient glissés dans les poches des écoles…

Un retour à ses terres d’origine l’amenait à rencontrer son premier amour. Un mois d’hiver, en plein New Amsterdam, il rencontra cette jeune fille en larmes, dans la rue. Elle était devant une sorte de gros bâtiment en reconstruction qui s’avérait être une école. Il s’était amouraché d’elle au premier coup d'œil. Elle était si belle avec les yeux bouffis et le visage déformé par les larmes. Leur amour de jeunes adolescents de douze ans ne dura qu’un mois puisqu’il dut rentrer au Royaume-Uni. Ce voyage n’était qu’un voyage d’affaires de ses parents. Des discussions d’adultes et des négociations étaient en cours, semblait-il. Malgré tout, afin qu’elle se souvienne de lui pour toute sa vie, il lui offrit son bonnet. Espérait-il qu’il serait suffisant pour faire perdurer leur amour…

Ses années scolaires suivirent assez bien ses premières années. Il se concentrait sur ses proches et ses relations, quant à ses notes… Ce n’était un secret pour personne qu’il était admis aux classes supérieures uniquement grâce à l’argent de ses parents. Cependant, ça ne semblait déranger personne. Ami avec toute l’école, il fut élu chef du bureau des élèves et ce chaque année. Un vrai leader né, il organisait des soirées, des escapes games, et d’autres activités pour rapprocher tout le monde et passer un maximum de temps avec ses amis, qu’ils soient proches ou non.
A la fin de ses années lycée, il dut prendre une décision malgré tout. Vers quoi devait-il se diriger ? Légèrement poussé par ses parents mais également par son sens de la justice, il décida de rejoindre l’école de police. Et la chanson n’était pas la même qu’au début de sa vie. Discipline était un mot d’ordre… Jusqu’à l’arrivée d’Ethan qui mit tout le monde dans une humeur plus détendue. Et surtout, il se fit remarquer par ses brillantes capacités physiques. En effet, Ethan a toujours été d’un dynamisme à toute épreuve et le sport fut un de ses exutoires de ses surplus d’énergie. Alors, en alliant sa précision, son endurance et sa force, il fut l’un des meilleurs étudiants de sa promo…
C’était sans compter les examens écrits. Rares étaient les notes à dépasser les 5/20. Heureusement, son esprit d’équipe, sa coopération, son physique et ses performances au tir suffirent à lui obtenir le diplôme - sans l’aide de ses parents, semblait-il.

Avec une sœur avocate, Lara, et l’autre artiste, Romy, Ethan rejoignit les jeunes diplômés de la famille. Tous promis à un avenir brillant.
Le Zygomar ne le reflétait pas vraiment… De retour à New Amsterdam - pour de bon, ses parents l’ont placé chez les Wanhoop en juin 2032. Chose qui aurait dû être facile. Ce n’était sans compter Ethan et sa maladresse. Des problèmes administratifs l’empêchèrent de rejoindre correctement l’équipe pour la simple et bonne raison que sa carte d’identité était périmée. 24 ans, fin collectionneur de peluches, et son manque d’organisation lui faisait obstacle.
C’était pourtant bien le cadet de ses problèmes car il n’avait qu’une chose en tête : retrouver son amour d’enfance. Kassie. Avec quelques informations données par ses parents et l’aide de ses sœurs, il réussit à la retrouver. “Par hasard”.
Sous l’euphorie du moment, ils passèrent la nuit ensemble très vite. L’amitié n’était pas faite pour eux. Les étoiles brillaient trop fort pour s’encombrer d'amitiés. Les premiers mois qui suivirent leur romance étaient remplis de papillons dans le ventre et de nuits échauffées sous les draps. Cette relation se répercuta par ailleurs positivement sur sa carrière. Heureux dans sa vie personnelle, il ne put que s’épanouir dans sa vie professionnelle. Malheureusement, le soleil ne brille pas toujours au zénith et lorsqu’il découvre qu’elle trafique de la contrebande pour les Eindhoven, il se retrouve dans une situation compliquée. Très amoureux, il ne se voit pas la quitter en connaissant les raisons de ces reventes. Malgré tout, il travaille pour la police et partager sa vie avec une trafiquante…
Kassie prit la décision pour eux de rompre. Après plusieurs breaks suite à cette découverte, c’était la décision la plus sage.

Célibataire, le nouveau flic de la ville risque de faire parler de lui. Mais probablement pas pour les bonnes raisons...