OWL
Vous souhaitez réagir à ce message ? Créez un compte en quelques clics ou connectez-vous pour continuer.
-29%
Le deal à ne pas rater :
DYSON V8 Origin – Aspirateur balai sans fil
269.99 € 379.99 €
Voir le deal

Aller en bas
Johannes Leeuwenhoek

Fiche de personnage : fiche personnage Espace personnel : espace personnel Âge : 33 ans Groupe : Wanhoop
Johannes Leeuwenhoek Patriarche des Wanhoop

Patriarche des Wanhoop
ton image en 550x150
Johannes Leeuwenhoek
ton image en 140 x 140en vrac
Nom : Leeuwenhoek (se prononce léérevouk)
Prénom :  Johannes (se prononce io-anne)
Date de naissance : 12 avril 1998 (33 ans)
Nationalité & origine : Néérlandaises
Sexualité : Hétérosexuel
Groupe : Wanhoop
Rang :  Conseiller/Bras Droit
Zone de résidence : Quartier Van Gogh, territoire des Wanhoop

Caractère


Johannes est quelqu’un de simple, d’authentique. Ses proches peuvent lire en lui comme dans un livre ouvert - et c’est au plus grand damn de Johannes qui n’a pas une grande maîtrise de ses émotions.
Très premier degré, il ne saisit pas toujours l’ironie et le sarcasme. Heureusement pour lui, son franc-parler peut déstabiliser celui qui essaie de l’avoir par le second degré.

On peut malgré tout distinguer deux aspects de sa personnalité.

Le premier concerne le Johannes qui n’a pas traversé les épreuves de la vie, l’enfant qu’il est toujours, le spontané de sa personnalité qu’il ne peut réprimer. C’est ainsi qu’il est avec ses amis, ses proches. Quand il n’est pas Number One ou le Bras Droit des Wanhoop. C’est alors un gars bordélique, qui ne sait pas ranger et qui perd sans cesse tout ce qu’il avait en mains.
Un blagueur qui a le goût de vivre, un gosse qui adore les jeux sous toutes leurs formes : jeux vidéos - il a poncé tous les jeux rétros d’avant l’inondation, notamment les GTA -; jeux de société - il est mauvais perdant aux cartes - ; jeux de rôle - c’est un acteur né !.

Son second aspect c’est celui que sa vie lui a forgé. C’est le tueur à gage, c’est le mafieux. Dans le travail, Number One est méticuleux, soigneux. Tuer, c’est sérieux, ça doit se faire dans le respect de la vie humaine.
Habitué à la cruauté humaine, Johannes ne montre pas une goutte de sensibilité face à la torture, à la barbarie. Toujours aussi direct quand il doit faire passer quelqu’un à la casserole, sa personnalité glaciale mélangée à sa spontanéité naturelle a été souvent son alliée.
Il est très bon dans le maniement des armes, notamment son petit Glock 27 qu’il ne quitte jamais.
L’ennemi, la victime, peut souvent penser qu’il n’a alors aucun talon d'Achille et que rien ne pourra faire vriller le Number One… Pourtant il n’y a pas une journée où Johannes ne pense pas à sa fille. Son plus grand regret et désespoir est de ne pas avoir été à ses côtés en tant que père.

Un point commun qui lie ces deux aspects de sa personnalité est la grande importance qu’il accorde à la liberté. Il ne supporte pas l’enfermement, les limites, la privation.

Il parle parfaitement l’anglais et l’allemand.
Il est terrifié par les insectes. Plus ils sont petits, grouillants, inconnus, plus il se pétrifie.

Il adore la natation et ne loupe jamais les jeux Olympiques d'été pour soutenir les champions de natation. Tous les matins, quand le soleil ne se lève pas encore - et que Johannes n'a pas une gueule de bois trop prononcée - il fait un saut à la piscine du quartier pour commencer sa journée.
C'est un grand fan du kitsch également. L'imprimé léopard de sa veste et son papier peint rétro de sa cuisine en témoigne. Il adore ce qui has-been, dépassé, trop coloré. Il adore les détails qui dérangent dans l'ordre.

Physique

Qui est le Diable qui a eu l’idée de mettre les encadrements des portes aussi bas ? Du haut de ses 1m95, Johannes manque de se cogner le front sur les embrasures  chaque fois qu’il passe une porte.
Élancé, avec des épaules osseuses et pointues, il n’y a vraiment que l’aspect vertical de sa silhouette qui l’handicape au quotidien. Vraiment, un homme comme lui qui aime se tenir droit, devant se baisser pour changer de pièce, il y a de quoi se péter la colonne vertébrale - son kiné a d’ailleurs eu souvent affaire à Johannes, mais pour d’autres raisons.
Un corps sec et mince, dont les épaules sont les attributs physiques les plus virils dont Johannes a été doté, ce dernier ne paraît sinon jamais embêté de cette taille. Au contraire, il a une maîtrise de son corps parfaite. Il sait comment s’asseoir pour être à l’aise - navré pour ses voisins, Johannes a besoin de s’installer en écartant ses jambes, quitte à empiéter sur la place des voisins dans les transports en commun. Et tout dans sa démarche transpire ce contrôle et cette assurance. Une veste souvent posée sur les épaules, flottant derrière lui telle une cape royale lorsqu’il avance dans la rue.

Toutefois, si on s’approche du visage poupon de Johannes, dont les traits légers sont contrastées uniquement par le nez droit qui tranche son visage, on se rend compte qu’il n’est pas simplement cette grande perche assurée. Le noisette de ses yeux doux luit souvent d’une lueur amusée. Sûrement est-ce la façon dont son âme d’enfant s’est matérialisée.
Ce visage est encadrée par des mèches châtains, tombant jusqu’aux épaules de Johannes. Parfois cette chevelure est sauvage, prenant place selon les caprices du vent. Parfois Johannes s’efforce à la dompter en la maîtrisant en une queue basse. Il prend soin de ses cheveux, et est en fier. Cette crinière lisse est le reflet du quotidien de Johannes et de sa personnalité. ll aime en prendre soin mais surtout, il les attache lorsqu’il doit se concentrer, les mordille lorsqu’il est nerveux, retire ses fourches lorsqu’il s’ennuie...

Évidemment, avec autant de surface, la peau pêche de Johannes est un terrain de jeu pour les tatoueurs. Ainsi, dans le creux de ses reins, un papillon est marqué à vie sur la peau de Johannes - une erreur de jeunesse en étant ivre.
La date de naissance de sa fille est également inscrite à jamais sur le poignet droit de Johannes.
Ces tatouages accompagnent les diverses cicatrices de Johannes, vestiges et marqueurs de sa vie de tueur à gage. Sur bras et jambes on peut prêter attention à quelques petites cicatrices blanches, effacées. Une seule subsiste : une boursouflure blanche de la taille d’un doigt et de la circonférence d’un bouchon de liège, signe d’une mauvaise cicatrisation, au milieu de sa cuisse droite.

Le corps de Johannes est un corps qui a vécu. Aussi, il lui manque l’orteil gauche. Pas pratique pour mettre des tongues.

D’un point de vue vestimentaire, Johannes est un homme qui a du goût. Il apprécie les vêtements qui allongent sa silhouette rectiligne, comme les cols roulés, les imper et les longs pantalons noirs. Son atout est un long trench coat noir, imprimé léopard à l’intérieur.
Lorsqu’il travaille en tant que tueur à gage, il porte des gants noirs en cuirs.

Etant fumeur, Johannes dégage souvent une odeur de tabac froid. D’ailleurs, il se ronge souvent les ongles lorsqu’il n’a pas fumé depuis un moment, par stress et aussi espoir de récupérer de la nicotine.


Histoire



Le 12 avril 1998 naissait le petit Johannes, une tête chauve dont les pleurs se tarirent dès qu’il fut porté au sein de sa mère.
L’enfance de Johannes aurait fait mourir d’ennui Freud, qui n’aurait eu aucune matière pour psychanalyser des traumas. Le père de Johannes était médecin généraliste, alors Johannes le voyait peu. Toutefois, quand son père était présent, il s’investissait complétement en tant que paternel. Johannes a peu de souvenirs avec son père, mais les quelques-uns qui lui restent sont d’une qualité rare.
Sa mère était mère au foyer, et elle a éduqué son fils dans la bienveillance et la valorisation de l’enfant. Elle était souvent critiquée par les autres mères, étant soi-disant peu sévère envers son Johannes, et donc maltraitante. Selon certaines mères - Johannes les entendait dire quand sa mère le récupérait à la sortie de l’école -, sa mère le laissait faire ses caprices et érigeait son fils en enfant-roi.
Johannes aurait aimé avoir d’autres frères et sœurs. Ce qu’il n’a jamais su c’est que ses parents ont essayé d’agrandir la famille, mais sa mère n’a fait que cumuler de douloureuses fausses couches.

Concernant l’école, Johannes était le genre de gamin à faire beaucoup d’efforts pour des résultats moyens. En grandissant, cela l’aurait sûrement frustré, mais il n’était qu’un enfant, il s’en fichait. Il était fier lorsqu’il avait de bons résultats, mais la plupart du temps ce qui l’intéressait c’était de gagner les compétitions de natation avec les copains.

Johannes était adolescent le jour où l’eau a submergé sa maison.
Les vagues ont été imprévisibles, dévastatrices, assassines. A peine l’eau s’engouffra par les fenêtres de sa maison, explosant les carreaux en milliers de bris de verre coupants, que ses parents, à l’unisson, le poussèrent violemment hors du salon. Johannes passa à travers la véranda et atterrit dans le jardin. Le courant l’emporta loin de la maison qui s’effondra sous ses yeux, bâtissant la tombe de ses parents.

Johannes n’avait que 14 ans lorsque l’eau avait fini de ravager Amsterdam. Il était retourné dans sa maison, croisant sur son chemin des âmes en peine, marchant au dessus des cadavres sans les voir. Sa vie s’effondra lorsqu’il vit sa maison fragmentée, et lorsqu’il ne sut pas ramener ses parents à la vie. Il les enterra dans le jardin et chercha comment survivre.
Les évènements l’amenèrent à rejoindre une ruine, investie par un groupe d’adolescents à l’histoire similaire à la sienne. Ils se nourrissaient du peu qu’ils trouvaient. Dans ce groupe, il trouva Bram, et Bram le trouva. Bram avait un an de plus que lui, et son histoire faisait écho à la sienne. Il était l’âme blessée qui sauva la sienne, et vice-versa.
Mais Bram disparut du jour au lendemain, sans donner de raison. Et il n’y avait plus rien à manger. Le groupe n’avait plus le choix : soit ils se laissaient périr mais restaient loyaux les uns envers les autres, soient ils se noircissaient l’âme afin de vivre.
Johannes a suivi le mouvement dès qu’il aperçut le leader du groupe voler sa copine - copine avec laquelle il forniquait souvent, et dont le manque d’isolation permettait à chacun de profiter des gémissements de la dame.
Ils se volaient entre eux, et vers les autres petits groupes d’adolescents. Ils trouvaient des petits boulots au black.

Jusqu’à ce qu’un patron, un certain Hendrick Jones, ami d’Adriaan Smith, les forma pour lui en leur promettant confort de vie, et beaucoup d’argent.
Ils bougèrent de leur ruine pour une maison aux allures de manoir excentrée de la ville. Lorsqu’ils franchirent le seuil de cette maison, amaigris, débraillés, à peine lavés, le Patron leur posa tout de suite les mots :
« Je vais vous apprendre à tuer, pour moi. Je vais vous apprendre la loyauté et ce qu’on fait aux traitres. Vous aurez tout ce que vous n’osez pas vous permettre d’imaginer posséder en échange. Mais vous devrez y laisser votre humanité. Si cela vous déplaît, vous pouvez partir. »

Leur leader n’eut pas le temps de faire un pas hors de la maison qu’il se prit une balle parfaitement située entre ses deux yeux.
Johannes qui n’avait connu que la bienveillance vit ses valeurs s’effondrer. Il s’entraînait tous les jours à être le meilleur. En entraînement, un poignard le toucha à la cuisse. Pour le punir de s’être fait touché, Johannes fut enfermé et devait prier pour que le manque de soin ne l’emporte pas.
La semaine suivant, plein de rage, il déroba un pistolet et tira sans crier gare dans l’épaule de celui qui l’avait blessé. La Patron a ri de lui, car qu’il avait manqué le cœur de sa cible. Johannes lui répondit « Détrompez-vous, c’était exactement ce que je voulais. »
A 17 ans, Johannes avait complété sa formation. Il devint un tueur à gages au compte de Hendrick Jones, sous le pseudonyme de Number One : car il ne lui suffisait que d’une balle pour tuer quelqu’un.

Un jour, un de ses contrats lui demander de tuer un dealer de la famille Wanhoop. Number One s’exécuta machinalement. Lorsque le dealer s’effondra, Johannes remarqua une jeune femme terrifiée. Il venait de la sauver de l’agression de ce dealer.
Anneke.
Leur histoire d’amour démarra assez vite, comme s’ils pressentaient qu’ils n’avaient pas le temps de s’aimer longtemps. Ils se voyaient en secret, car Johannes ne souhaitait pas que son Patron apprenne l’existence d’Anneke.
Mais Anneke tomba enceinte. Et Johannes souhaitait plus que tout éduquer cet enfant. Mais être père était incompatible avec le job de tueur à gage.
Sa petite princesse naquit le 1er juin 2017.
Everdina.
Pour éviter qu’il ne lui arrive malheur, Johannes concocta un plan pour tuer son Patron. Mais ce dernier découvrit rapidement sa tentative de trahison, et lui trancha le gros orteil en guise d’avertissement lors d’une séance de torture.
Enfermé, sur le point de mourir, Johannes priait pour que sa petite princesse et Anneke puissent vivre heureuses, jusqu’à ce que ses coéquipiers débarquèrent. Ils prirent le Patron par surprise et l’assassinèrent. Ils déguisèrent le meurtre, le rendant aussi similaire que celui de Adriaan Smith 30 ans plus tôt. La presse accusa les descendantes de Geertruijd de Jonckeer, ce qui permit à ce petit groupe de tueur à gage - qui s’était auto-démantelé suite à la mot de Hendrick - d’éviter les flics pour un moment.

Johannes n’eut que deux petites années avec sa fille et sa femme avant que sa vie de tueur à gages ne le rattrape.
Esquiver la police, c’était facile.
Esquiver les Familles Mafieuses, c’était une autre paire de manches.
Il s’avérait que ce patron, Hendrick, faisait était un sous-boss des Eindhoven, et que sa mort avait pas mal secoué les différentes familles. Les Wanhoop avait recruté ces tueurs à gage, satisfait du boulot qu’ils avaient fait malgré eux.
Il ne leur restait plus qu’à recruter Johannes. Le patriarche en personne vint à sa rencontre, mais Johannes refusa de pied ferme. Il voulait une vie heureuse pour sa famille.
Sauf qu’on le menaça de révéler son meurtre à la police. Ca aurait été direction la prison pour lui. Johannes aurait été privé de liberté et Everdina aurait grandi en sachant son père être un criminel.
Johannes dû dire au revoir à sa femme et sa fille. A ses rêves. A ce qu’il était.

Johannes gravit facilement les échelons. Il devint Bras Droit du Patriarche Wanhoop en 2028. Il était loyal, une pièce importante sur l’échiquier de New Amsterdam.
Il appris que Anneke était décédée, et cela éteignit un peu plus la flamme de la vie qui l’animait.
Il est incapable d’aimer à nouveau et se contente de coups d’un soir pour assouvir ses pulsions.
Lorsque son patriarche décéda en 2028, il enquêta sur sa mort. Il l’affectionnait beaucoup, malgré tout, ce dernier ayant été comme un père pour lui. L’arrivée du nouveau patriarche le laisse blasé.
Tous les vendredis soir, il observe sa fille et s’assure qu’elle grandisse bien. Il lui envoie anonymement de l’argent tous les mois.
Aujourd’hui, il souhaite assurer la protection de sa fille, et celle des Wanhoop qu’il considère comme sa seconde famille.

Piper Yun Baek

Sam 26 Fév - 17:40
La Maire

Fiche de personnage : fiche personnage Espace personnel : espace personnel Âge : 29 ans Groupe : Civil
La Maire La Maire

La Maire
Number One au travail, dernier de la liste dans ta vie 9dp4Fiche validée

Félicitations, ta fiche a été validée par les membres du staff ! C’est à partir de maintenant que ton aventure commence au sein de OWL.
Tu es ainsi un membre de la mafia Wanhoop en ayant le rôle de Conseiller.
N'oublie pas de signer le règlement en postant le message "Lu et approuvé".
Tu retrouveras tous les liens dont tu peux avoir besoin pour t’ancrer dans l’univers du forum juste en dessous. En espérant que tu t’amuseras avec nous !

Lun 28 Fév - 22:25


Ceci est le compte administrateur du forum. Il joue le rôle d'un PNJ, le maire de New Amsterdam.

Veuillez ne pas envoyer de mp à ce compte.
Revenir en haut
Permission de ce forum:
Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum