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Elena Makarovna

Fiche de personnage : fiche personnage Espace personnel : espace personnel
Elena Makarovna Barmaid & Soldate Maaeirs

Barmaid & Soldate Maaeirs
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Elena Makarovna
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Nom : Makarovna
Prénom : Elena
Date de naissance : 25 décembre 2005
Nationalité & origine : Russe
Sexualité : Bisexuelle
Groupe : Maaiers
Rang :  soldate
Travail :  Barmaid
Zone de résidence : Territoire des Maaiers

Caractère

DESCRIPTION DE LA PERSONNALITE
Tu ne ressens rien...
Ni joie, ni tristesse et encore moins de l'empathie pour tes semblalbes.
Ce que beaucoups de personnes voient comme une bénédiction, empêchant toute souffrance de perforer l'âme, toi, tu vois ta condition comme une malédiction.

Bien-sûr, les psychiâtres ne sont pas aussi spirituels que toi, et si ta famille avaient pris au sérieux tes problêmes, les médecins t'auraient diagnostiqué un trouble de la personnalité antisociale, plus précisément de la psychopathie mélée à une alexithymie.

De prime abord, tu es une demoiselle souriante, à l'écoute, essayant toujours d'aider autrui bien que les clients du bar dans lesquel tu officies te décriraient comme étant  une personne donnant le meilleur d'elle-même dans son travail de barmaid, en discutant avec ses clients et en étant toujours gentille, même avec les personnes les plus ennuyeuses... Avec quelques moments où il t'arrive de te montrer ferme et froide lorsque quelqu'un te cassait vraiment les pieds.

Cependant, ce n'est qu'une façade, un masque que tu portes au quotidien pour t'adapter et survivre dans cette société qui te laisse complétement indifférente.
Tu es une femme froide, tu ne ressens que très peu, voir aucune empathie envers tes semblalbes. A ton grand damn, tu les vois comme des moyens pour atteindre tes objectifs, niant le fait que ce sont êtres humains à part entière... Comme l'avait dit ton père :  Tu es une manipulatrice..

N'oublie pas, tu es froide, calculatrice et maîtresse de ton comportement en toutes circonstances... Une actrice continuellement sur scène.

Cette absence de considération pour le bonheur des autres te dérange, surtout quand, retranchée derrière le comptoir de ton bar, tu apperçois tes congénaires ressentir des émotions qui semble tellement animer leurs vies alors que toi, tu es une coquille vide.
Tu les envie... Tu rêves d'être comme eux... D'être aimée et de d'aimer en retour... Tu rêves de ressentir les papillons dans ton ventre, de ressentir ton coeur se briser lorsque tu perds un proches, tu rêves d'être vivante.

Et encore, aujourd'hui, ton masque est bien ajusté et beaucoup de tes contemporains ne savent guère des afflictions de l'esprit qui t'empoisonne. Ce n'était pas le cas durant ton adolescence où tu avais bien moins de fortifications mentale.

A l'époque, tu étais une demoiselle colérique, ne savant pas gérer ta frustration.
Tu as toujours eu une vivacité d'esprit et un sens de l'observation. Tes notes étaient bonnees car tu espérais rejoindre l'université du FSB loin de ta famille... On ne peut te le retirer, tu as une intelligence scolaire.

Bon, il faut admettre que tu as du mal à t'adapter rapidement.  Tout ce que tu n'as pas étudié et préparé à l'avance te file entre les doigts et créer en toi un sentiment de panique... Tu ne sais réagir quand tu es prise au dépourvue.

Heureusement pour toi, l'école ne demande que de recracher ce que tu apprend à l'avance, ce qui t'as permis de réussir tes études.
Mais, tu usais aussi de ton esprit analytique pour nuir aux malheureux qui entravaient tes plans.
On te connaissait pour être une brute, intimidant tes camarades de classe dérangeants... Tu peux être extrêmement violente.

Tu faisais en sorte que tes mauvaises actions passaient inaperçues en t'assurant que tes brimades et actes violents ne se produisent jamais en présence des professeurs ou du personnel scolaire.

En leur présence, tu peaufinais les prémices de ton masque de jeune femme aimable et altruiste, arborant une politesse raffinée et associant cela à des résultats scolaires impeccables, ce qui te value d'être une des meilleures élèves de Saint-Petersbourg.

Oh, tu étais aussi une fille populaire, tu es belle et tu as toujours su user de tes charmes pour parvenir à tes fins. Malgré ta carence émotionnelle, tu ne manque pas d'intelligence sociale.

Tu avais rapidement exploité ce statut pour infliger un véritable enfer à tes victimes, tout en maintenant soigneusement ta façade d'élève modèle, maintenant la confiance du corps enseignant et éducatif envers toi... jusqu'à ce que ça soit découvert et que tu te fasse virer de ton premier lycée.

Heureuseent pour les camarades de classe de ton second lycée, tu as changé de comportement afin d'éviter les ennuis et une nouvelle raclée de tes parents.
Heureusement pour toi que l'enseignement secondaire est obligatoi en Russie, sinon tu aurais vite était déscolarisée.


Mais, il y'a autre chose...Qu'est-ce qui t'as fait changer de comportement ? La foi.

A cause de ta maladie, tu n'arrives guère à distinguer la différence entre le Bien et le Mal, mais un homme avait réussi à te donner un guide, une marche à suivre théorique pour ne plus faire préjudice à tes prochains... Cet homme, par l'intermédiaire d'un prêtre, c'est Jesus.

Tu es croyante les dix commandements et les enseignements du Christ te servent de boussole morale théorique. Bien que tu as déjà moult fois trasgressé leurs préceptes, tu tente d'appliquer froidement leurs prisme pour distinguer le bien du mal... En vain, parfois.

Que dire de plus sur toi ? Que tu es une femme curieuse, tu souhaites en apprendre un maximum sur le monde qui t'entoure ainsi que les personnes qui composent ce monde. Tu es une maniaque de l'hygiène, tu nettoies chaque jour tes appartements et te lave deux fois par jour... Ton apparences, tu y tiens, tu fais très attention à toi et à ta beauté.

Afin de te faire accepter par un groupe "d'amis" aujourd'hui perdu de vue et te sentir vivante, tu as développé au fil des soirée une addiction pour la cigarette... La sensation du manque te rassure sur ta condition d'humaine... N'importe quelle sensation est bonne à prendre pour toi.

Oh et comment ne pas oublier que tu peux être toxique lors de relation intime. Tu as enchainé des relations sans lendemains et des couples que tu as moult fois sabordé... Mais séduire, c'est dans ta nature.

Tu refuses la contradiction, faisant croire à tes partenaires que tous les problèmes venaient de l'autre et non de toi. Manipulation, gaslighting et utilisation des secrets pour avoir raison et dominer ton idylle.

Cependant, quand tu voyais que la personne souffrait de trop, tu la larguais. Pas par empathie pour la personne, tu t'en moque en réalité mais car c''était, selon ta grille d'analyse, ce qu'il fallait faire lors de ces situations... Toujours les mêmes scènes que tu jouais parfaitement : Crise de larmes feinte, ruptures et passage à autre chose sans le moindre remord.

Tu peux tuer. Là où les êtres huains normaux ont besoin d'un entrainement ou un conditionnement pour pouvoir prendre une vie, toi, cela ne te fait rien. Tu l'as déjà fait et tu le referas... Tu es  impitoyable.

D'ailleurs, le jour où quelqu'un te fera ressentir l'amour, le vrai, tu seras histrionique et tu n'hésiteras pas à éliminer quiconque se mettra en travers de la route de ta relation amoureuse parfaite... Là, ils verront  à quel point tu es imprévisible et déterminée.

Malgrés tout cela, tu crois que le salut est possible pour toi. Dieu est bon et miséricordieux, tu es certaines que ton esprit, bien plus tourmenté par le Diable que n'importe qui sur Terre, est une épreuve du Seigneur... Tu en es certaine, la rédemption est possible.

Au fond, tu veux être comme les autres... Tu ne demandes qu'à être aimée pour combler le trou noir qu'est ton coeur.

Physique

DESCRIPTION DU PHYSIQUE
N'importe quel client entrant dans le bar des Maaiers verra derrière le comptoir une demoiselle à la peau pâle mesurant 1m75 et à la silhouette élancée.

Son visage, beau et doux, arbore souvent une expression indifférente où une fatigue lisible transparet dans ses yeux. Ceux-ci sont de couleur marron et en forme d'amande. Ils sont froids, nulle émotion ne semble s'échapper de la mer chocolat que sont ses iris, sauf lorsqu'elle feint une émotion.
Le contours de ses yeux est maquillé de noir tout comme l'eye linner, intensifiant son regard séduisant.

La demoiselle a de longs cheveux noirs teints en mauve foncé. Lorsqu'ils sont détachés, ils lui tombent en cascade jusqu'au bas du dos, frôlant son fessier rebondi. Mais la jeune femme coiffe généralement ses cheveux en deux couettes hautes  à l'arrière de sa tête.  Une frange rideau lui barre son front.
Parfois, deux longues mèches tombent le côté de ses tempes, passant devant ses oreilles.

Celle-ci sont fines, légèremment décollées, captant les moindres murmures, et elle n'hésite pas à offrir un mot réconfortant ou une remarque pertinente à ceux qui lui demandent.

Lorsque ce client s'accoudera au bar, il verra les lèvres peintes en rouge de la barmaid se muer en un sourire avant de le saluer avec une voix douce et agréable, quelque peu charmeuse. Un léger accent russe teinte le néerlandais parfait de la jeune femme. Son haleine, qui devrait sentir la cigarette est camoufflée par un souffle de menthe qui est dû aux innombrable pastilles qu'elle avale par jour... Pourquoi ? Pour masquer l'haleine ternie par la cigarette.

Une fois la boisson commandée, la slave préparera le cocktail avec précision avant de servir la boisson demandée. L'homme pourra alors observer ses mains parfaitement manucurées, ses ongles étant colorés de vernis carmin tranchant avec la blancheur de sa peau qui recouvrait ses doigts de pianistes.

Il se peut que ce client la voie quitter son comptoir et slalomer entre les tables avec une démarche gracieuse, afin de remplir une quelconque tâche. Le soiffard verra qu'Elena porte comme tenue de travail une chemise blanche surmontée d'un gilet bleu nuit. Une cravatte rouge descend sur sa poitrine discrète, disparaissant sous son gilet fermé.
Une mini-jupe fendue légèrement des deux côtés de la même couleur s'arrêtant à mi-cuisse couvre sa taille de guêpe.
L'ensemble est assorti à des collants noirs de 20 deniers qui mettent en valeur ses longues jambes au galbe parfait, complétés par des escarpins de la même teinte.

Si jamais elle est proche de ce client, un doux mélange de notes fruitées et florales flotte autour d'elle, bien que chaque soir, elle change de parfum selon son envie.

Cependant, ceux qui l'ont vu nue lors de ses passes ont pu voir ce que ses vêtements cachaient.

La demoiselle possède une peau diaphane, témoignant de ses origines slaves. Cette blancheur contraste avec les rares grains de beauté qui parsèment discrètement son corps, des taches délicates de mélanine, visibles seulement de près.
L'un de ces grains de beauté est plus importants et se trouve sur sa jambe droite, juste au-dessus du genou. Une petite constellation orne son bras gauche, au milieu de l'avant-bras,.

Cependant, tous les détails de sa peau ne sont pas aussi subtils. Sur son omoplate droite, une marque sombre et irrégulière rappelle un souvenir douloureux : une brûlure, vestige de la guerre en Ukraine. Cette cicatrice est soigneusement dissimulée chaque jour sous une couche de maquillage.
Elena, perfectionniste et déterminée à contrôler chaque aspect de son apparence, ne permet à personne de voir cette marque qu'elle s'efforce de masquer. Elle se vexe dès que quelqu'un ose lui faire remarquer.

La jeune-femme ne supporte pas l'imperfection de son corps. Celui-ci est impeccablement entretenu. Ses jambes, ses dessous de bras, et même le moindre duvet sur son visage sont méticuleusement épilés, lisses au toucher, sans la moindre imperfection.

Makarovna maintient cette rigueur avec une précision maniaque, utilisant chaque moment libre pour s'assurer que son apparence reste impeccable. Pour elle, le contrôle de son corps est une extension de son besoin de maîtrise totale sur sa vie, un domaine où elle refuse de laisser place au hasard ou à la négligence.

Chaque détail de son apparence est calculé, soigneusement entretenu, car pour elle, son corps est non seulement un outil mais la première chose dont elle doit garder le contrôle... Elle sait que sans lui, elle n'est iren.


Histoire

DESCRIPTION DE L'HISTOIRE
Tu es morte née.
C'est que ton père te dis à chacun de tes anniversaire qui était aussi le jour de Noël.
La naissance du christ et la tienne. L'un apporte du bonheur et un sens à la vie de milliard de personnes. Toi, tu as juste été le mouton noir de ta famille.

Enfin, ça n'a pas toujours était le cas... Mais essayons de remettre de l'ordre dans tout cela d'accord ?

Tu es née le 25 décembre 2005 à 2h35 du matin à l'Hôpital Botkine. Tu es le fruit de l'union entre Alexandre Makarov et Maria Makarovna.
Ton père était un ancien spetnaz traumatisé par la guerre de Grozny, incapable de guérir de ses blessures qu’il tentait de désinfecter avec de l’alcool chaque soir.
Ta mère était une professeur de chimie dans un lycée prestigieux. Elle rêvait d'avoir un garçon, mais avoir un enfant semblait l'avoir comblée de joie... Un temps.

Vous viviez dans une petite maison confortable de deux étages en face du fleuve Neva. Durant tes premières années, cette maison était ton sanctuaire. Ta mère t’adorait, et malgré les absences fréquentes et l’ivresse chronique de ton père, tu trouvais un certain réconfort dans les moments passés avec elle.

Cependant, les choses ont commencé à changer drastiquement cinq ans plus tard, avec la naissance de ta petite sœur, Anastasia. Ta mère, qui avait toujours désiré un garçon, trouva en Anastasia une seconde chance, une nouvelle source de joie et de fierté. Dès cet instant, tu te sentis reléguée au second plan. Ta mère déversait tout son amour et son attention sur Anastasia, te laissant souvent seule, incomprise et ignorée.

C’est durant cette période que les signes de ton trouble de la personnalité antisociale ont commencé à se manifester. Tu te sentais différente, incapable de ressentir des émotions comme les autres enfants... Tu étais froide... Sans empathie...
Ta condition, mélangée à une alexithymie, rendait difficile toute expression ou compréhension des émotions, ajoutant à ton sentiment d’isolement.

À l'école primaire, tu étais la cible des moqueries et de l'intimidation. Les autres enfants semblaient instinctivement percevoir ta différence, et leur cruauté n'avait d'égale que ta solitude... Tu rendais les coups, une fille qui te harcelait s'est vue dégringolée d'un escalier... Un garçon moqueur s'est mystérieusement cogné la tête trop fort contre un mur... Tu ne ressentais aucune empathie pour eux...
Les rares moments de répit se trouvaient dans les livres et les histoires que tu créais dans ta tête, des mondes où tu avais le contrôle et où tu n’étais pas une paria.

Les violences domestiques étaient également une sombre réalité de ton quotidien. Ton père, perdu dans son alcoolisme, était souvent violent. Les disputes entre tes parents étaient fréquentes et intenses, et lorsqu'elles se terminaient, c'est souvent sur toi que son courroux se déversait.

Chaque coup, chaque cri tétait  destinée... Alors que ta soeur, ta mère disparaissait avec elle systématiquement pour se réfugier chez vos grands-parents dans ces moments afin de la préserver... Privilège que tu n'as jamais eu.

À 12 ans, tu entrais au collège dans un établissement secondaire classique de Saint-Pétersbourg.
Dès le début, tu t'es  distinguée des autres élèves, mais pas seulement grâce à tes bonnes notes. Elena; tu avais une intelligence scolaire. Tout ce que tu peux étudier, planifier en avance, tu ecxellais , mais dès la moindre interrogation surprise ou tout autres événements imprévu, tu échouais systématiquement....
L'imprévue, voilà ta hantise.


Tu ne ressents pratiquement aucune empathie pour les autres. Ce manque de connexion émotionnelle se traduit par un comportement de plus en plus agressif envers tes camarades.
Tu harcelais les élèves plus faibles, les poussant à bout avec une précision psychologique presque chirurgicale.
Tu savais exactement où frapper pour faire le plus de mal, que ce soit par des mots ou par des actions violentes. Tes victimes étaient souvent trop effrayées pour se défendre ou demander de l'aide, et toi... Tu te délectais de ce pouvoir.

En dépit de tes performances académiques, tu étais fréquemment punie pour ton comportement.
Tu accumulais les retenues, mais les sanctions n'ont que peu d'effet sur toi.
En fait,  tu usais de ces moments de solitude pour planifier tes prochaines actions. Le système de discipline scolaire ne faisait que renforcer ton sentiment de supériorité ; tu savais manipuler les adultes pour éviter les punitions les plus sévères, tout en continuant à semer la terreur parmi tes pairs.... Jusqu'à ce que tu te fasses exclure du lycée.

Tes parents n'ont pas manqué le coche et tu as prit la raclée de ta vie. Autant la douleur émotionelle, tu ne pouvais la sentir, mais la douleur physique, elle, tu la ressentais que trop bien.


Tu voudrais regretter, tu t'es déjà confessée à l'église pour ça... Autant le prêtre a cru en tes fausses larmes, autant tu étais certaine que Dieu lui, voyais ta nature... Et savoir que Jesus pourrait ne pas te perdonner t'angoisse.

Après que tes blessures se soient résorbée, tes parent ont trouvé un autre lycée pour toi. Craintive d'à nouveau te prendre à nouveau une ruée de coup et ayant fait la promesse à Dieu de changer... Tu ne fis presque aucune vague dans ton nouveau lycée.

À 16 ans, tu as commencé à fumer. C'est à la fois un acte de rébellion et une manière d'affirmer ton indépendance.
Tu te sentais adulte, mais en réaité, tu cherchais juste à ressentir des sensation physiques et le fait de fumer était devenu une nouvelle habitude qui renforçait ton image de délinquante... Habitude qui devint une addiction.

. Tu traînais parfois avec des élèves plus âgés, mais même parmi eux, tu n'es jamais vraiment devenue amie avec quiconque. Pour toi, les autres ne sont que des outils, des pions à manipuler selon tes désirs.

À l'extérieur, tu pouvais sembler être une bonne élève, mais troublée, une jeune fille avec un avenir prometteur mais à la dérive.
À l'intérieur, cependant, ta psychopathie se développait et se renforçait. Tu prenais plaisir à manipuler, à contrôler, à détruire.
Tes professeurs et ta famille ont certes remarqué que quelque chose n'allait pas chez toi, mais personne ne savait vraiment comment intervenir.

À la maison, tu vivais un enfer silencieux. dont le tenancier des lieux était ton père, un homme brisé par les traumatismes de la guerre de Grozny et l'alcool.
Chaque soir, il rentrait chez lui, titubant, l'esprit embrumé par les litres de vodka qu'il avait ingurgités. Pour lui, tu étais un rappel constant de ses échecs et de sa propre douleur.
Ta froideur, Ton regard distant, et ton comportement difficile lui rappelaient ses propres démons, qu'il tentait d'oublier dans l'ivresse. Incapable de gérer sa propre souffrance, Alexandre déversait sa colère sur elle. Les coups pleuvaient souvent sans avertissement, brutaux et implacables.

Elena, tu as appri très tôt à ne pas pleurer, à ne pas montrer le moindre vestige d'émotion qui pourrait inciter ton père à continuer.
Au fil des soirs, tu devenais de plus en plus insensible à la douleur physique, renforçant cette carapace froide qui te protégeait. Les marques sur ton corps se fanaient avec le temps et ta pratique du Krav Maga pouvait expliquer aux autres d'où venaient ces marques.

Tu n'as jamais était ecxellente au corps à corps, hormis pour dissimuler les cicatrice apposées par ton paternel,  tu as choisit ce sport pour te défendre et mieux fuir derrière... Au fond, Tu sais que tu ne fais pas le poids face à un homme ou une femme entraînée.

Par contre, les blessures laissées dans ton esprit ne faisaient que s'approfondir, ajoutant à ta maladie mentale l'alexithymie .

Pendant ce temps, ta petite sœur Anastasia, était le véritable rayon de soleil de la famille.
Contrairement à toi, elle était une enfant joyeuse, souriante, et pleine de vie. Elle rayonnait de bonheur, et sa présence apportait une chaleur que tout le monde ressentait, y compris leur mère. Maria Makarovna, autrefois partagée entre l'amour pour ses deux filles, avait désormais fait son choix.

Ta cadette était choyée, couverte d'attention et d'affection. Elle était tout ce que tu n'étais pas... Tout ce que tu ne pouvais pas être.

La différence de traitement entre les deux sœurs était flagrante. Anastasia recevait des cadeaux, des compliments, et des étreintes chaleureuses, là où toi, tu ne récoltais que des critiques, des regards méprisants, et la violence de son père. Aux yeux de ta mère, tu étais une erreur, une déception froide et distante, alors qu'Anastasia était la perfection incarnée.

Tu observais tout cela avec une indifférence glaciale. Tu ne ressentais aucune jalousie, seulement un détachement croissant envers ta famille.

Si, à un moment de ta vie, tu avais cherché l'amour et l'acceptation de tes parents, tes sentiments s'étaient éteints depuis longtemps. toi, la maison n'était plus un foyer, mais une prison, un lieu où tu devais endurer en silence jusqu'à ce que tu puisses enfin t'en échapper.

Chaque coup de ton père, chaque caresse de ta mère à Anastasia, renforçait ton mépris pour eux, et alimentait le feu intérieur de ta psychopathie...
Tu ne voyais plus ses parents comme des figures d'autorité ou d'affection, mais comme des obstacles sur ton chemin, des obstacles que tu comptais bien surpasser un jour, de manière définitive.

Puis vint la disparition.

Tout bascula pour la famille Makarov un soir glacial de décembre, peu après ton quinzième anniversaire.
Anastasia, alors âgée de dix ans, disparut mystérieusement.
Ce jour-là, elle était allée jouer chez une amie du quartier, mais ne revint jamais à la maison.

Sa disparition plongea ta famille dans un chaos total.

Ta mère, entra dans une spirale de désespoir, errant sans but entre les pièces de la maison, espérant à chaque instant voir Anastasia franchir la porte d'entrée comme si de rien n'était. Son rire cristallin, sa joie de vivre qui illuminait la maison, tout avait disparu en un instant, laissant un vide insupportable.

Ton père, réagit avec une rage désespérée. Il consacra ses jours et ses nuits à la recherche de sa fille, refusant de croire qu’elle était partie à jamais. Il interrogea les voisins, harcela la police pour obtenir des informations, et fit des descentes dans les quartiers les plus sombres de Saint-Pétersbourg à la recherche de la moindre trace d'Anastasia.
Mais cette quête était vaine. L’absence de réponses ne fit qu’aggraver sa descente dans l’alcoolisme. Ses crises de violence devinrent encore plus fréquentes, sa frustration se transformant en colère contre un monde qui lui avait enlevé sa précieuse fille.

Pour Maria, la disparition d’Anastasia signifiait la fin de tout. Elle s’enferma dans une dépression profonde, négligeant de plus en plus sa dernière fille.
Elle te considérait désormais comme une présence fantomatique.

Aux yeux de ta mère sans Anastasia, la maison n’avait plus de vie. Maria passait ses journées à regarder les photos de sa fille disparue, murmurant des prières et des mots d’espoir, implorant Dieu de lui rendre son ange... Puis, elle te lança un dimanche de Pâques :

-"C'est toi qui aurait dû disparaître."

Toi, tu observais cette désintégration avec un calme glacé. Tu ressentais la douleur de tes parents comme une abstraction distante, une sorte de spectacle cruel que la vie t'avait imposer.

La disparition d’Anastasia ne t’affectais pas comme les autres membres de ta famille. Tu ne pleurais pas, ne cherchant pas à comprendre. Pour toi, c’était simplement un autre événement dans une existence marquée par la douleur et le rejet....

Tu le voulais pourtant... Ressentir, compatir... Ëtre normale.... Ressentir le manque de ta soeur.... Être aimée par tes parents...

À l'intérieur, tu ressentais peut-être un certain soulagement.
Avec Anastasia partie, tu n'avais plus à supporter la constante comparaison, le mépris silencieux de ta mère. Mais tu comprenais aussi que cette disparition avait creusé un gouffre insurmontable dans ta famille.

La maison qui avait autrefois résonné des rires d'Anastasia n'était plus qu'un lieu de deuil et de colère. Les repas étaient silencieux, les regards évités, et le peu de chaleur qu'il restait s'était définitivement éteint.

Malgré tout, tu restais forte. Tu continuais à exceller à l'école, refusant de laisser la tragédie familiale affecter tes performances.

Lorsque tu arrachas ton diplôme, ce fut un moment de triomphe solitaire. Tes parents étaient trop absorbés par leur chagrin pour véritablement célébrer ton succès, mais cela n’avait aucune importance pour toi.

Tu avais survécue, endurée, et étais prête à poursuivre ton chemin en être solitaire que tu étais... A ton grand damn.

A l'âge de 18 ans, avec ton diplôme en poche, tu quittais Saint-Pétersbourg pour Moscou, une fois inscrite à l'académie du FSB, les services secrets russe.
Pour toi, c'était plus qu'une simple opportunité académique. C'était une évasion, une chance de te réinventer loin de l'ombre de ta sœur disparue et de la douleur de tes parents. L'académie représentait un nouvel environnement, un lieu où ta froideur et ton intelligence seraient des atouts, et non des anomalies.

Etonnement, tes parents acceptèrent de financer tes études et un logement à la capitale afin de ne plus te voir.

Lorsque tu arrivas à l’académie du FSB à Moscou, tu t'es retrouvée  dans un univers où tes talents innés et ton passé difficile allaient enfin trouver leur place. L'académie, située dans un complexe austère et hautement sécurisé, était un lieu où seuls les meilleurs et les plus prometteurs étaient admis.
Dès le début, tu te distingua par ton calme, ton intelligence stratégique, et ta détermination sans faille.

Là-bas, tu excellais rapidement dans l’art de l’espionnage. Tes années passées à observer et manipuler les autres à distance, à cacher tes émotions et à jouer des rôles, se révélèrent être des atouts précieux.

Tu maîtrisais l’art du déguisement, apprenant à te transformer complètement en une autre personne en changeant simplement ta posture, ta démarche, et quelques éléments de ton apparence. Tu devenais quelqu’un d’autre, une compétence cruciale pour tout espion, apprenant aussi à créer et à utiliser des fausses identités.

En plus des techniques de camouflage et de déguisement, tu appris à suivre des cibles sans être détectée. Tu pouvais observer quelqu’un pendant des heures, noter chaque détail, anticiper chaque mouvement, et tout cela sans jamais te faire remarquer. Ta capacité à te fondre dans l’arrière-plan, à devenir invisible, fit de toi une élève modèle dans ce domaine.

Deux de tes plus grands talents, furent le maniement des poisons et le tir à l’arme à feu, et plus particulièrement le maniement du fusil de sniper.
Tu développais une précision redoutable, capable de toucher une cible à des centaines de mètres avec une constance impressionnante. Le tir à longue distance devint presque une extension naturelle de ta capacité à observer et à calculer. La patience et la concentration nécessaires pour réussir ces tirs rappelaient tes années passées à endurer la violence de ton père sans montrer d’émotion.

Derrière le viseur, tu trouvais une sorte de contrôle, un pouvoir absolu sur la situation, un écho de la froideur calculatrice qui avait marqué ton adolescence.

Malgré tes excellentes performances académiques, tu ne fis que peu de missions sur le terrain. Les rares fois où tu fut déployée, tes supérieurs furent impressionnés par ta précision implacable, récoltant des informations sensibles, neutralisant des cibles, ou infiltrant des groupes sous des identités soigneusement construites.

Cependant, ton manque d'empathie et d'adaptabilité, déjà perceptible à l'académie, devint un problème plus sérieux sur le terrain.

Lors de l’une de tes premières missions, tu devais surveiller un diplomate étranger et recueillir des informations sur ses relations secrètes avec une organisation criminelle.
La mission, simple en apparence, prit une tournure dramatique lorsque tu découvris que la cible utilisait son influence pour protéger des enfants victimes de trafic humain.

Ton manque d’empathie t'avais poussée à ignorer ce fait et à poursuivre ton objectif, sans aucune considération pour les vies en jeu. Bien que la mission fût un succès technique, les informations que tu négligeais de rapporter eurent des conséquences désastreuses.

Cette indifférence face aux conséquences humaines de tes actions devint de plus en plus problématique.

Lors d’une autre mission, tu fus chargée d’infiltrer un cercle de contrebandiers. Tu avais réussi à s'intégrer parfaitement, mais tes supérieurs découvrirent plus tard que tu avais utilisé des méthodes extrêmement brutales pour parvenir à tes fins, méthodes qui violaient les protocoles du FSB et portaient atteinte à l'image de l'agence.
Ta froideur, qui faisait de toi une machine efficace, se révéla être un double tranchant. Tu accomplissais ces tâches, mais au détriment de l'honneur et des règles éthiques.

La goutte d’eau fut une mission où tu devais récupérer un document crucial dans un bureau d'oligarque sans attirer l'attention. Tu terminais la mission avec succès, mais tu fis en sorte d’éliminer plusieurs témoins dérangeant, alors que l’ordre explicite était de ne réaliser aucune violence.

Tu t'étais préparée  minutieusement, étudiant les plans du bâtiment, les routines des gardes, et les systèmes de sécurité. Tout était calculé, millimétré pour réussir sans attirer la moindre attention.

Mais au cours de l'opération, les variables changèrent. Des gardes supplémentaires furent déployés, et des employés du bureau restèrent plus tard que prévu.
La situation devenait instable, mais malgré ces imprévus, tu refusas de modifier ton plan initial.

Tu étais entrée dans le bâtiment, le traversant furtivement jusqu'au bureau de l'oligarque, récupérant le document, et , alors que tu allais partir tu t'es retrouvée face à deux employés qui n'auraient pas dû être là.

Ces témoins indésirables n'étaient pas prévus dans ton plan... Cela compliquait dangereusement la mission. La discrétion était une exigence, mais pour toi, le contrôle absolu de la situation l'était encore plus....

Au lieu de s’adapter aux nouvelles circonstances et de choisir une issue plus pacifique, Tu as paniquée et pris une décision radicale. Ignorant l’ordre explicite de ne pas recourir à la violence, tu éliminas les deux civils avant de t'enfuir.


Les supérieurs du FSB, bien qu'appréciant tes compétences, décidèrent que tu étais trop imprévisible, incapable de t'adapter, trop dangereuse, et surtout, incapable de respecter les lignes directrices qui régissent l'honneur et l'éthique du FSB.

À ton retour, tu as étté convoquée par tes supérieurs. Malgré tes nombreuses qualités, il devint clair que tu ne pourrais jamais pleinement adhérer aux valeurs du FSB.
Tes missions avaient prouvé que tu étais une espionne et une tueuse redoutable, mais également un risque pour l'intégrité de l'agence.
Tu étais trop encline à utiliser des moyens extrêmes, et ton incapacité à faire preuve de compassion ou à respecter les vies humaines fit pencher la balance.

Ton renvoi du FSB à l'âge de 23 ans fut un choc pour toi, non pas parce que tenais à ton poste, mais parce que ne tolérais pas l'échec.
Pourtant, tu ne montras rien. Comme toujours, tu restais froide et impassible, acceptant la décision sans un mot.
Mais au fond de toi-même, tu savais que ce n'était qu'une étape de plus dans ton parcours. Si le FSB ne voulait pas de toi, tu trouverais d'autres moyens d’utiliser tes talents.

Après Ton renvoi du FSB, tu t'es retrouvée à nouveau confrontée à un choix. Pour une jeune femme comme toi, le FSB te proposa soit l’armée régulière.en partance pour l'Ukraine soit les services secrets te "remercieraient".

Tu savais que refuser n’était pas une option. Tu acceptas ton sort avec le même calme glacial qui te caractérisait , mais avec une détermination farouche à survivre, peu importe le coût. Rapidement intégrée dans une unité de combat, tu étais envoyée en première ligne, là où le conflit était le plus violent. L’Ukraine, avec ses paysages dévastés, ses villes en ruines, et ses civils terrorisés, devint ton nouveau théâtre d’opération.

Les combats étaient intenses, les conditions de vie épouvantables, et la mort omniprésente. Tu étais quotidiennement témoin de massacres, de tortures, et de destructions sans fin. Les horreurs de la guerre n’avaient aucune limite : villages rasés, familles décimées, soldats mutilés. Les cris des blessés et des mourants hantaient les nuits, tandis que le jour, la guerre continuait sans répit.

Cependant, fidèle à ta nature, tu fis face à cette brutalité avec la même froideur implacable. Tu exécutais les ordres sans questionner, l'absence d'empathie qui avait causé ta chute au FSB tr permettais de survivre ici, où la compassion était une faiblesse mortelle.

Tu participais à des opérations spéciales, où tes compétences de tireur d’élite étaient particulièrement sollicitées.
Tu  abattais des cibles à distance avec une précision mortelle, mais tu commençais à ressentir le poids de ces actes.
Pas à cause de la culpabilité, mais parce que tu réalisais que chaque balle tirée la liait un peu plus à cette guerre que tu n’avais jamais choisie.... Et l'enfer.

L'idée de la désertion germa lentement en toi. Ce n’était pas la peur qui te motivais, ni même une objection morale, mais plutôt un besoin impérieux de te libérer de cette vie qui ne te convenais plus.

Tu savais que tu ne pourrais plus jamais te soumettre à un commandement, surtout dans un conflit aussi absurde. L’opportunité se présenta un jour, après des semaines de combats incessants.

Profitant d’un moment de chaos lors d’une retraite de ton unité, tu désertas.

Tu avais préparé ton évasion avec soin, observant les mouvements des troupes et des civils, identifiant les points faibles dans la surveillance.

Déguisée en réfugiée dont tu as volé les vêtement sur un cadavre, tu  parvins à atteindre un port clandestin contrôlé par des contrebandiers. Là, tu as réussi à te faufiler à bord d’un navire rempli de réfugiés, qui fuyaient les horreurs de la guerre pour chercher asile à l’étranger.

Le voyage fut long et périlleux. Le navire, surchargé et vétuste, traversa des eaux dangereuses, affrontant tempêtes et patrouilles militaires.
Dissimulée parmi les réfugiés,  tu jouais ton rôle à la perfection.
Tu avait appris à devenir invisible, à te fondre dans la masse, et c’est ce que tu fis. Les jours passaient, marqués par la faim, la maladie, et la peur constante d’être interceptés.

Arrivée à New-Amsterdam,Tu t'es retrouvée confrontée à une réalité bien plus crue que ce que tu avais imaginé. Cette ville portuaire, un refuge pour les exilés, les fugitifs, et les marginaux, n'offrait aucune sécurité ni stabilité.

À peine les pieds posés sur le sol, toi et les autres passagers furent confrontés à une bande d'hommes armés. Ces hommes n'étaient pas des autorités venues vous porter secours, mais des membres du gang des Eindhoven, une organisation criminelle locale connue pour ses activités brutales et ses trafics en tous genres.

Leurs regards étaient froids, calculateurs, et ils n'avaient aucune intention de laisser partir les réfugiés. En un instant, tu te retrouvas désarmée, capturée. Ton passé d’espionne et de soldat ne te fus d’aucune aide face à cette force armée qui n'hésitait pas à utiliser la violence pour asseoir son pouvoir.

Sans ménagement, on t'a embarquée avec les autres, enfermée dans une pièce obscure et insalubre. Les jours suivants, tu compris vite la véritable nature de la situation. Les Eindhoven n’avaient aucun scrupule : ils faisaient commerce de vies humaines, vendant les captifs comme des marchandises.
Pour eux, tu n’étais qu’un produit de plus à écouler. Ton physique attirant  te rendait particulièrement prisée sur le marché noir.

Quelques jours plus tard, tu as été amenée de force dans un entrepôt sordide, où tu as été présentée à un groupe d'acheteurs, chacun cherchant à acquérir un "nouveau jouet."
Leurs regards la scrutaient avec une avidité répugnante. Tu te tenais droite, les yeux glacés, refusant de montrer la moindre peur ou faiblesse, même si la situation était désespérée.

Finalement, un homme en particulier, vêtu de vêtements coûteux mais dégageant une aura de corruption, fit une offre substantielle. Cet homme, un magnat local aux pratiques douteuses, t'achetas sans sourciller.
Dans la même nuit, tu asimmédiatement été transférée dans sa demeure, une villa opulente cachée derrière de hauts murs contrastant avec la misère du port voisin.
Là, tu as été enfermée, traitée comme un objet, un esclave sexuel destiné à satisfaire les désirs de cet homme.

Les semaines qui suivirent furent une épreuve de survie... Chaque nuit, tu devais endurer les abus de cet homme, ton corps utilisé contre ta volonté.
Cependant, malgré ces souffrances, ton esprit restait aiguisé. Tu observais tout, mémorisait les routines, les faiblesses de ton geôlier, et attendant patiemment le moment opportun pour agir. Tu n'étais pas une victime passive; tu étais une prédatrice attendant son heure.

Après des semaines de captivité, tu vis enfin une opportunité se présenter. Une nuit, alors que ton geôlier était particulièrement ivre et imprudent, tu profitais de son état pour retourner la situation.

Au préalable, tu avais saisit un couteau de cuisine que tu avais réussi à subtiliser et à cacher dans sa chambre. Lorsqu'il s'approcha de toi avec ses intentions habituelles, tu es passée à l’action.

Tu as planté la lame dans son cou, sectionnant l'artère avec un calme glacial. Ton geôlier, pris par surprise, ne put que balbutier un cri étouffé avant de s'effondrer, baignant dans son propre sang.

Sans perdre un instant, Tu as fouillé rapidement la maison, récupérant de l'argent, des vêtements, et tout ce qui pourrait lui être utile pour ta fuite. Avec le temps, tu connaissais désormais les failles de la sécurité de la villa, et avec l’adrénaline de la liberté retrouvée, tu quittas les lieux avant que quiconque ne découvre le corps....

Cette expérience t'avais traumatisée, tu nourissait une haine vicérale pour les Eindhoven... Mais maintenant, tu étais libre... Mais sans le sous.


Les jours passaient, et toi, sans papiers, sans argent, te rendis vite compte que tes compétences d'espionne et de tireur d'élite ne servaient à rien ici. Tu étais une étrangère dans un monde indifférent, luttant simplement pour survivre.

Au début, tu as tenté de te faire embaucher dans des petits boulots : serveuse dans des bars miteux, plongeuse dans des cuisines sordides, mais la demande était faible et la concurrence rude.

Tes maigres revenus ne suffisaient même pas à te payer un toit chaque nuit.
Tu dormais parfois dans des abris de fortune, ou dans des coins obscurs de la cité, là où personne ne viendrait te chercher. Le froid, la faim, et la fatigue devinrent tes compagnons constants, terappelant que, malgré toute ta force et ta résilience, tu étais humaine, soumise comme n'importe quel animal aux besoins les plus basiques.

Poussée par le désespoir, tu  fis un choix que n'aurais jamais envisagé auparavant, surtout avec ton expérience avec les Eindhoven.... La prostitution.

Dans cette ville où les règles étaient floues et les lois facilement contournées, ce métier était une voie rapide pour gagner de l'argent. Au début, tu avais hésitée, répugnée par l'idée de vendre ton corps. Mais l'alternative, mourir de faim ou succomber à la rue  était encore plus terrifiante. Le souvenir de ta force intérieure, de ta capacité à endurer, t'étais revenue en tête.

Tes premières passes furent pas terribles, mais au fur et à mesure que ton physique attirait des clients, quelque chose d'inattendu se produisit... Quelque-chose qui était horrible, mais te permit de survivre.

Toi, qui avais toujours vécu dans la froideur et la répression émotionnelle, découvrit une forme de plaisir dans cet acte de soumission physique.
Pour la première fois, tu te laissais aller à ressentir pleinement les sensations de ton corps, les caresses, les baisers, les pressions. Là où d'autres auraient pu ressentir de la honte ou de la douleur, tu y trouva une certaine forme de sensation....  Là où ton psychisme t'avait fait défaut, coucher te faisait ressentir, le temps d'une passe, des sensations corporelle.

Nuit après nuit, Tu te vendis dans les ruelles sombres et les hôtels miteux de New-Amsterdam. Tes clients étaient variés : des hommes et des femmes solitaires, des marins de passage, des âmes perdues cherchant une connexion éphémère.

Pour chacun d’eux, tu jouais un rôle différent, s'adaptant à leurs désirs tout en gardant le contrôle de la situation. Tu n’étais pas simplement un corps à louer; tu restais une manipulatrice, utilisant ta froideur et ton intellect pour tirer le meilleur parti de chaque transaction.

Mais au-delà de l'argent, ce métier t'avais offrert quelque chose de plus profond. Les sensations physiques, la chaleur des corps, le toucher, étaient à tes yeux une forme d’ancrage à la réalité, un moyen de ressentir ta propre existence dans un monde froid.

Loin de t'attacher émotionnellement à tes clients, tu te servais de ces moments pour expérimenter, pour sentir quelque chose, pour exister pleinement, même si ce n'était que pour quelques minutes.

L'argent que tu gagnais, bien qu'insuffisant pour te sortir de la misère, te permit de survivre. Cela te payait  un lit de temps en temps, un repas chaud, ou un verre d'alcool pour oublier la difficulté de ta vie. La prostitution était pour toi un moyen de continuer à avancer, de ne pas sombrer totalement....

Mais cet argent te servait surtout à apprendre le néerlandais. Une association pour les migrants offraient des cours de langue pour quelques euros, alors tu as vite franchit le pas et t'es mise à l'apprentissage du néerlandais avec le sérieux dont tu faisais preuve à l'école

Cependant, chaque nuit, après avoir quitté tes clients, tu te retrouvais seule, face à toi-même. Les sensations physiques, bien qu'intenses, ne suffisaient pas à combler le vide que tu ressentais à l'intérieur. La guerre, la mort, la trahison, et maintenant la vente de ton corps, tout cela formait un poids que tu portais seule, sans jamais se plaindre.

Ta misérable vie prit un tournant inattendu lorsque tes activités nocturnes attirèrent l’attention de la famille Maaiers... Toi,, avec ta beauté glaciale, ton intelligence acérée, et ton passé mystérieux car tu sortais de nul part... Tu es devenue rapidement un sujet d’intérêt.

Un soir, après une énième nuit à vendre ton corps, tu as été approchée par un homme discret qui semblait en savoir plus sur toi que la plupart de tes clients.
Il te proposa un rendez-vous avec "La Marquise," une femme bien placée dans les Maaïers.

Intriguée mais méfiante, tu acceptas. Le rendez-vous eut lieu dans un lieu isolé, loin des regards indiscrets, où tu rencontras plusieurs femmes armées, qui te jugeaient du regard.

La Marquise, une femme d’âge mûr au regard perçant, interrogea l'étrangère que tu étais encore avec une curiosité calculée.
Durant cet entretien, tu révélas ton passé d’espionne au FSB, ta maîtrise des poisons, et ton expérience en tant que tireuse d’élite en Ukraine.
Les femmes présentes comprirent rapidement que tu n’étais pas une prostituée ordinaire... Tu possédais des compétences rares et précieuses, des compétences qui pourraient être d’une grande utilité pour la famille.... Tu serais sûrement un outil, mais cela ne dérangeait guère tant qu'il y'avait un bon samaire.

Après un moment de silence, la Marquise te proposa de travailler pour les Maaiers. Elle t'offrit un poste dans leurs rangs, te promettant protection, stabilité financière, et une place dans leur empire.

En échange, tu devais mettre tes talents au service de la famille, espionner, éliminer des cibles, et continuer à dévoiler les secrets de clients influents. Pour la première fois depuis longtemps, tu ressentais une forme de reconnaissance dont tu avais cruellement besoin, une valeur qui allait bien au-delà de ce que tu avais connu jusqu'ici.

Quelques mois plus tard, après avoir prouvé ta loyauté et ton efficacité, tu as demandé à tes supérieurs un travail plus légal afin d'occuper les moments où tu n'avais pas de mission et d'avoir une couverture.
Tes supérieurs t'ont alors transférée au "RedLips," un bar contrôlé par les Maaiers. Cet établissement était à la fois un lieu de plaisir pour les habitants de New-Amsterdam et une façade pour les activités plus sombres de la famille.

Elena, épuisée par ta vie de prostituée, tu as accueillie avec soulagement ce nouveau rôle de barmaid. Bien que ce travail fût moins dégradant à tes yeux, il te permettait de rester proche de tes semblalbles et de continuer à récolter des informations.

Derrière le comptoir, tu servais les clients avec un doux sourire, écoutant discrètement leurs conversations, notant mentalement chaque détail qui pourrait être utile.
Tu n'étais pas qu' une simple serveuse, tu étais une espionne, utilisant chaque interaction pour obtenir des informations sur les affaires, les trahisons, et les faiblesses des hommes influents qui fréquentaient le bar. ta capacité à manipuler et à jouer des rôles s’avérait encore plus efficace dans ce nouvel environnement.

Malgré ton changement de poste, on te confiait  des missions plus sombres étant donné que l'on te confiée des missions d’assassinat.
Tu avais accepté ces missions sans remord. Chaque cible éliminée était un pas de plus vers ton intégration complète au sein de la famille.
Tu ne ressentais ni remords ni pitié; chaque vie que tu prenais était un moyen de solidifier ta place au sein des Maaiers et d’accroître ton influence.

Ta spécialité restait le tir de précision, mais tu expérimentais également d’autres méthodes, plus subtiles, en utilisant tes connaissances en poisons pour tuer sans laisser de traces... Tu évitais le corsps à corps, car tu étais une piètre combattante au contact. Tu compensais par des pièges qui ralentissaient ou empêchaient ceux qui essayaiient de t'attraper... Du moins, quand tu planifiais tes coups.

Tu détestes le hasard et les surprises, quand tu ne peux guère planifier un combat, tu es bien moins efficace.

Aujourd'hui, tu vis désormais une double vie. Tu es à la fois  la barmaid du RedLips, charmante, solaire mais discrète, servant des verres tout en écoutant et aidant les clients.
Mais tu es aussi un des assassins impitoyables des Maaiers, traquant et éliminant ceux qui se mettaient en travers du chemin de la famille. Cette vie dangereuse te convenait parfaitement.... Tu ressentais des sensations fortes... Tu ressentais... Tu vivais enfin....

Cependant, au fond de toi, Elena, tu savais que cette vie ne pouvait durer indéfiniment. Les jeux de pouvoir au sein des Maaiers, les risques liés à tes missions, et les secrets que tu accumulais finiront un jour par te rattraper.

Il te manquait toujours quelque-chose... Tu n'étais pas aimée. Tu as envie que l'on t'apprécie, que quelqu'un t'aime, fasse battre ton coeur... Que cette personne ouvre ton coeur cadenacé par cette maudite maladie... Tu as besoin de ça... De validation de tes supérieurs... D'avoir une âme soeur...

Mais pour l’instant, tu continuais à avancer, toujours prête à saisir la prochaine opportunité, à jouer ton prochain rôle, et à survivre dans un monde où seule la force et la ruse permettaient de rester en vie....

Grâce à la famille, tu as un apartement en territoire Maaïers. Celui-ci est très propre, rangé de manière maniaque et ta garde-robe est bien plus remplie que ton frigo. Dans une boite à violon, bien que tu ne saches jouer d'aucun instrument de musique, se cache ton fusil de précision et ses accessoire.

Tu as désormais une famille à servir... Un but... Il ne te manque que l'âme soeur pour être complète.

Sam 3 Aoû - 13:43
Kassie Orange Nassau

Fiche de personnage : fiche personnage Espace personnel : espace personnel Âge : 20 ans Groupe : Civil
Kassie Orange Nassau Actrice en herbe

Actrice en herbe
Elena Makarovna : Le diable dans la bouteille 9dp4Fiche validée

Félicitations, ta fiche a été validée par les membres du staff ! C’est à partir de maintenant que ton aventure commence au sein de OWL.
Tu es ainsi une soldate/Barmaid faisant partie des Maaeirs.
Tu retrouveras tous les liens dont tu peux avoir besoin pour t’ancrer dans l’univers du forum juste en dessous. En espérant que tu t’amuseras avec nous !

N'oublie pas d'aller signer le règlement ainsi que de finir de remplir ton profil (notamment la signature).

Mar 20 Aoû - 21:17
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