3 participants
Fiche de personnage : fiche personnage Espace personnel : espace personnel Âge : 28 ans Groupe : Civil
Piper Yun Baek
Riche civile
T'as une tête à Poêle
18h30
Chez Piper.
Hendrick&Hadès.
OOTD(clique!)
Ce midi après avoir mangé, j’ai plongé dans un pot de beurre de cacahuète, je me suis dit que je m’étais peut-être mise dans la merde.
Voyez, depuis que je fréquente Hadès, il va et vient à la maison et je fais de même chez lui. Sauf qu’à chaque fois qu’il vient, je fais en sorte que ce soit toujours à des moments où Hendrick n’est pas là. Sauf que là, Hadès est à la maison et il se trouve que Hendrick aussi.
Alors, je ne sais pas si c’est l’un ou l’autre qui déteint sur moi, mais premier degré, je me suis d’abord dit “oh, c’est rien, ça va bien se passer!”, puis je me suis rappelée que Hendrick EST Hendrick et que Hadès EST Hadès et là j’ai coincé sur le pot de beurre de cacahuète.
- Oh merde.
L’un est une tornade et l'autre un tsunami. Les deux réunis sous un même toit: ça ne peut rien donner de bon. Mon cerveau à pensé et repensé encore et encore à une manière de les présenter l’un à l’autre sans que ce soit chaotique et la seule chose qui m’est venu en tête, c’est un dîner.
Le premier à arriver sera vite installé à table et quand l’autre arrivera: il n’y aura pas de confusion. Je dirais à Hadès que Hendrick est mon colocataire et ami et je dirais à Hendrick que Hadès est… Ahem. Comment mettre des mots sur cette relation…? Ahem…
Hadès est une personne que je fréquente en ce moment…? “La” personne peut-être? Mon petit ami? Non, parce que s’il dit non, je suis bonne pour le cercueil. Un ami proche? Oui voilà, je n’ai qu’à dire ça. C’est un ami proche. Après tout, ni lui ni moi n’avons osé mettre de mots sur ce que nous sommes… Pas que je ne veuille pas, mais j’ai peur de la vérité. J’ai peur qu’il me file entre les doigts à force d’en exiger trop…
Bon! Le plan étant trouvé, il fallait se préoccuper du repas. L’hiver n’étant pas loin, il fallait quelque chose de bon, de chaud et de revigorant. Sachant que Hadès mange pour deux, que mon appétit varie en fonction de mon humeur et que Hendrick est un flic qui doit avoir faim après le travail… Je vais faire un samgyetang! Un soupe de poulet au ginseng.
En Corée, on en mange avant l’hiver. C’est tout plein d’herbes médicinales pour bien résister au froid et aux microbes de l’hiver et ça redonne de l’énergie! Tout le monde à son propre poulet, pas besoin de demander qui veut quoi. Sans attendre, j’attrape mon manteau et sors pour aller faire les courses.
Lorsque je reviens à la maison plus tard, j’ai dans mon sac deux poulets, un coquelet et un caille. J’ai évidemment appelé ma grand-mère pour qu’elle m’explique quels ingrédients il fallait et comment est-ce qu’il fallait préparer tout ça. Evidemment, entre la farce de riz gluant et les jujubes, j’ai presque failli ne pas m’en sortir, mais… Au bout de plusieurs heures, les trois cocottes de grès qui sont sur le feu laissent échapper un fumet incroyable qui me replonge dans mon enfance.
… Lorsque je déambulais dans les couloirs de la grande demeure familiale, à la recherche de mon père ou de quelque chose d'intéressant à débusquer.
Je me souviens avoir grimpé sur le siège du bureau de mon père et n’avoir que le haut de la tête au-dessus de la surface du bureau. Tous les tiroirs étaient fermés à clé. Il n’y avait que son téléphone sur le bureau. Je l’ai décroché et mis maladroitement à mon oreille. Il y avait un long “biiiiiiiip” qui retentissait. A ce moment, j’ai pensé que mon père était fou de discuter avec ce “biiiiip” des heures durant. Puis je suis redescendue, j’ai sauté sur toutes les lattes du parquet avant de sentir l’odeur des poulets sur le feu.
Comme un chien, j’ai reniflé l’odeur jusqu’à la cuisine où Halmeoni était en train de vérifier le goût de la soupe. Alors, elle m’a fait asseoir sur un petit banc avant de me donner un tout petit bol fumant. Y’avait pas de nouilles, ni de gâteau de riz dedans, alors j’ai grimacé… Puis quand j’ai goûté: tout en moi s’est réchauffé d’un coup. Tous mes muscles, tous mes nerfs se sont détendus. C’était la meilleure sensation au monde… Celle d’être réconforté.
Je me sors de ce souvenir et baisse les feux avant d’aller installer la table sur l’îlot de la cuisine. Je mets des bols en grès, très lourds mais qui gardent bien la chaleur. Des cuillères coréennes et des serviettes de table. Pas d’autres couverts: ce plat se mange avec les mains et la cuillère. Ensuite, dans différents petits récipients, je mets les accompagnements. Il y en a une vingtaine, allant du kimchi au gamja jorim. Les ayant disposés au milieu de la table avec précision, je souris satisfaite avant d’aller vérifier le goût de chaque cocotte- le goût varie en fonction du type de volaille. Puis, enfin, je m’assois et souffle un bon coup.
Tout est prêt. Il ne me reste plus qu’à attendre que le premier passe la porte.
Voyez, depuis que je fréquente Hadès, il va et vient à la maison et je fais de même chez lui. Sauf qu’à chaque fois qu’il vient, je fais en sorte que ce soit toujours à des moments où Hendrick n’est pas là. Sauf que là, Hadès est à la maison et il se trouve que Hendrick aussi.
Alors, je ne sais pas si c’est l’un ou l’autre qui déteint sur moi, mais premier degré, je me suis d’abord dit “oh, c’est rien, ça va bien se passer!”, puis je me suis rappelée que Hendrick EST Hendrick et que Hadès EST Hadès et là j’ai coincé sur le pot de beurre de cacahuète.
- Oh merde.
L’un est une tornade et l'autre un tsunami. Les deux réunis sous un même toit: ça ne peut rien donner de bon. Mon cerveau à pensé et repensé encore et encore à une manière de les présenter l’un à l’autre sans que ce soit chaotique et la seule chose qui m’est venu en tête, c’est un dîner.
Le premier à arriver sera vite installé à table et quand l’autre arrivera: il n’y aura pas de confusion. Je dirais à Hadès que Hendrick est mon colocataire et ami et je dirais à Hendrick que Hadès est… Ahem. Comment mettre des mots sur cette relation…? Ahem…
Hadès est une personne que je fréquente en ce moment…? “La” personne peut-être? Mon petit ami? Non, parce que s’il dit non, je suis bonne pour le cercueil. Un ami proche? Oui voilà, je n’ai qu’à dire ça. C’est un ami proche. Après tout, ni lui ni moi n’avons osé mettre de mots sur ce que nous sommes… Pas que je ne veuille pas, mais j’ai peur de la vérité. J’ai peur qu’il me file entre les doigts à force d’en exiger trop…
Bon! Le plan étant trouvé, il fallait se préoccuper du repas. L’hiver n’étant pas loin, il fallait quelque chose de bon, de chaud et de revigorant. Sachant que Hadès mange pour deux, que mon appétit varie en fonction de mon humeur et que Hendrick est un flic qui doit avoir faim après le travail… Je vais faire un samgyetang! Un soupe de poulet au ginseng.
En Corée, on en mange avant l’hiver. C’est tout plein d’herbes médicinales pour bien résister au froid et aux microbes de l’hiver et ça redonne de l’énergie! Tout le monde à son propre poulet, pas besoin de demander qui veut quoi. Sans attendre, j’attrape mon manteau et sors pour aller faire les courses.
Lorsque je reviens à la maison plus tard, j’ai dans mon sac deux poulets, un coquelet et un caille. J’ai évidemment appelé ma grand-mère pour qu’elle m’explique quels ingrédients il fallait et comment est-ce qu’il fallait préparer tout ça. Evidemment, entre la farce de riz gluant et les jujubes, j’ai presque failli ne pas m’en sortir, mais… Au bout de plusieurs heures, les trois cocottes de grès qui sont sur le feu laissent échapper un fumet incroyable qui me replonge dans mon enfance.
… Lorsque je déambulais dans les couloirs de la grande demeure familiale, à la recherche de mon père ou de quelque chose d'intéressant à débusquer.
Je me souviens avoir grimpé sur le siège du bureau de mon père et n’avoir que le haut de la tête au-dessus de la surface du bureau. Tous les tiroirs étaient fermés à clé. Il n’y avait que son téléphone sur le bureau. Je l’ai décroché et mis maladroitement à mon oreille. Il y avait un long “biiiiiiiip” qui retentissait. A ce moment, j’ai pensé que mon père était fou de discuter avec ce “biiiiip” des heures durant. Puis je suis redescendue, j’ai sauté sur toutes les lattes du parquet avant de sentir l’odeur des poulets sur le feu.
Comme un chien, j’ai reniflé l’odeur jusqu’à la cuisine où Halmeoni était en train de vérifier le goût de la soupe. Alors, elle m’a fait asseoir sur un petit banc avant de me donner un tout petit bol fumant. Y’avait pas de nouilles, ni de gâteau de riz dedans, alors j’ai grimacé… Puis quand j’ai goûté: tout en moi s’est réchauffé d’un coup. Tous mes muscles, tous mes nerfs se sont détendus. C’était la meilleure sensation au monde… Celle d’être réconforté.
Je me sors de ce souvenir et baisse les feux avant d’aller installer la table sur l’îlot de la cuisine. Je mets des bols en grès, très lourds mais qui gardent bien la chaleur. Des cuillères coréennes et des serviettes de table. Pas d’autres couverts: ce plat se mange avec les mains et la cuillère. Ensuite, dans différents petits récipients, je mets les accompagnements. Il y en a une vingtaine, allant du kimchi au gamja jorim. Les ayant disposés au milieu de la table avec précision, je souris satisfaite avant d’aller vérifier le goût de chaque cocotte- le goût varie en fonction du type de volaille. Puis, enfin, je m’assois et souffle un bon coup.
Tout est prêt. Il ne me reste plus qu’à attendre que le premier passe la porte.
con Nombre Apellido.
Mar 16 Avr - 21:25
Hendrick
Lieutenant de police
Hendrick était rentré exceptionnellement plus tôt du boulot. Enfin… Il s’était fait mettre à pied pour l’après midi en tout cas. Pour la millième fois, il avait passé deux heures dans le bureau avec le commissaire à se faire sermonner, puis il avait dû rendre sa plaque et son arme. L’entendre lui dire qu’il finirait par le virer ne lui faisait plus vraiment ni chaud, ni froid. Il lui disait ça, mais ce n’était pas vraiment quelque chose qu’il pouvait se permettre, loin de là.
Dans tous les cas, pour une fois, la batterie d’Hendrick était vide. Il était crevé. Il avait passé ces dernières semaines à courir entre chez lui et chez Ethan, il travaillait beaucoup en shift de nuit et parfois enchainait les deux shifts sans vraiment prendre de pause. Pas étonnant qu’il finisse par commettre des erreurs, il avait parfois l’impression d’être sur tous les fronts au Zygomar, et pourtant il était loin d’être le meilleur lieutenant de l’établissement. Il y avait Willem. Et son ami le lieutenant Hernandez. Et en même temps, malgré son implication dans toutes ces missions, celles de ces collègues et le temps qu’il passait à fouiner où il n’aurait pas dû, Hendrick n’était pas toujours certain de faire une différence. Quand il voyait ce qui se passait parfois dans la rue, il se sentait révolté. Et c’était dans ce genre de cas qu’il intervenait en dehors de ces « heures de travail » et qu’il finissait par se faire renvoyer chez lui.
Il avait décidé de faire une sieste dans l’après-midi et puis de relancer quelques petites recherches concernant sa famille. Après sa rencontre avec son père au manoir des Maaiers, il avait eu un petit creux d’activité, mais là il se sentait à nouveau plus déterminé que jamais. Ca se voyait, sa chambre était dans un état qui soulignait son obsession. Il y avait des papiers partout étalés sur le sol, certains surlignés d’autres collés au mur et des petites pattes de mouches partout indiquai les interrogations du Lieutenant.
A priori, Piper était rentrée assez tôt ce soir car dans la soirée, il sentit une très bonne odeur en provenance de la cuisine. En général, lorsqu’il rentrait du taff, il aidait sa colloc à éplucher et couper les légumes bien qu’il s’avère excessivement nul à la tâche et qu’il avait reçu l’interdiction d’essayer de faire cuire des trucs depuis qu’il avait cramé l’intérieur d’une poêle. Mais aujourd’hui, il se laissait juste bercer par l’odeur, se concentrant sur sa nouvelle enquête parallèle.
Il comparait deux documents qu’il avait temporairement scotché sur la fenêtre de sa chambre quand il aperçut une silhouette dehors. Grande, large et qui rôdait dans le jardin. Très très suspecte… Depuis Halloween et depuis que Piper et lui avait discuté, il essayait tant mieux que mal de se montrer responsable vis-à-vis de la maison, et là… Il était persuadé que c’était le moment de montrer qu’il tenait à l’endroit et à sa colocataire. Il se promit que qui que ce soit cet étrange personne, elle ne mettrait pas un pied à l’intérieur. Pas de vol, pas de violence et pas de peur.
Pour se faire, il se glissa hors de sa chambre, saisissant une poêle qu’il avait « caché » à côté de sa porte parce qu’il devait la laver et n’avait pas eu le temps le matin même. Il allait le faire dans la soirée bien sûr mais il savait que Piper n’aimait pas qu’on laisse trainer des trucs sales et c’était pas à elle de nettoyer ces trucs à lui. Bref, il saisit l’ustensile à deux mains, un peu flippé parce que même de loin, la silhouette lui avait paru vachement grande et qu’il savait que jamais Piper n’aurait invité quelqu’un sans le prévenir au préalable.
Il rasait les murs, silencieux. C’était assez stupide, le type était dehors pas dedans, mais ça le rassurait d’agir avec prudence pour une fois. Il se rapprocha de la porte, tenant fermement le manche de sa poêle mais alors qu’il s’apprêtait à sortir pour aller voir de quoi il en retournait vraiment, la porte s’ouvrit sur le type !
Prit par surprise et le cœur cognant très fort dans la poitrine de voir un étranger réellement débarqué chez eux, venir briser le calme de leur collocation une seconde fois, il poussa un hurlement et asséna plusieurs coups de poêle à l’assaillant, espérant le décourager à entreprendre un quelconque larcin.
Dans tous les cas, pour une fois, la batterie d’Hendrick était vide. Il était crevé. Il avait passé ces dernières semaines à courir entre chez lui et chez Ethan, il travaillait beaucoup en shift de nuit et parfois enchainait les deux shifts sans vraiment prendre de pause. Pas étonnant qu’il finisse par commettre des erreurs, il avait parfois l’impression d’être sur tous les fronts au Zygomar, et pourtant il était loin d’être le meilleur lieutenant de l’établissement. Il y avait Willem. Et son ami le lieutenant Hernandez. Et en même temps, malgré son implication dans toutes ces missions, celles de ces collègues et le temps qu’il passait à fouiner où il n’aurait pas dû, Hendrick n’était pas toujours certain de faire une différence. Quand il voyait ce qui se passait parfois dans la rue, il se sentait révolté. Et c’était dans ce genre de cas qu’il intervenait en dehors de ces « heures de travail » et qu’il finissait par se faire renvoyer chez lui.
Il avait décidé de faire une sieste dans l’après-midi et puis de relancer quelques petites recherches concernant sa famille. Après sa rencontre avec son père au manoir des Maaiers, il avait eu un petit creux d’activité, mais là il se sentait à nouveau plus déterminé que jamais. Ca se voyait, sa chambre était dans un état qui soulignait son obsession. Il y avait des papiers partout étalés sur le sol, certains surlignés d’autres collés au mur et des petites pattes de mouches partout indiquai les interrogations du Lieutenant.
A priori, Piper était rentrée assez tôt ce soir car dans la soirée, il sentit une très bonne odeur en provenance de la cuisine. En général, lorsqu’il rentrait du taff, il aidait sa colloc à éplucher et couper les légumes bien qu’il s’avère excessivement nul à la tâche et qu’il avait reçu l’interdiction d’essayer de faire cuire des trucs depuis qu’il avait cramé l’intérieur d’une poêle. Mais aujourd’hui, il se laissait juste bercer par l’odeur, se concentrant sur sa nouvelle enquête parallèle.
Il comparait deux documents qu’il avait temporairement scotché sur la fenêtre de sa chambre quand il aperçut une silhouette dehors. Grande, large et qui rôdait dans le jardin. Très très suspecte… Depuis Halloween et depuis que Piper et lui avait discuté, il essayait tant mieux que mal de se montrer responsable vis-à-vis de la maison, et là… Il était persuadé que c’était le moment de montrer qu’il tenait à l’endroit et à sa colocataire. Il se promit que qui que ce soit cet étrange personne, elle ne mettrait pas un pied à l’intérieur. Pas de vol, pas de violence et pas de peur.
Pour se faire, il se glissa hors de sa chambre, saisissant une poêle qu’il avait « caché » à côté de sa porte parce qu’il devait la laver et n’avait pas eu le temps le matin même. Il allait le faire dans la soirée bien sûr mais il savait que Piper n’aimait pas qu’on laisse trainer des trucs sales et c’était pas à elle de nettoyer ces trucs à lui. Bref, il saisit l’ustensile à deux mains, un peu flippé parce que même de loin, la silhouette lui avait paru vachement grande et qu’il savait que jamais Piper n’aurait invité quelqu’un sans le prévenir au préalable.
Il rasait les murs, silencieux. C’était assez stupide, le type était dehors pas dedans, mais ça le rassurait d’agir avec prudence pour une fois. Il se rapprocha de la porte, tenant fermement le manche de sa poêle mais alors qu’il s’apprêtait à sortir pour aller voir de quoi il en retournait vraiment, la porte s’ouvrit sur le type !
Prit par surprise et le cœur cognant très fort dans la poitrine de voir un étranger réellement débarqué chez eux, venir briser le calme de leur collocation une seconde fois, il poussa un hurlement et asséna plusieurs coups de poêle à l’assaillant, espérant le décourager à entreprendre un quelconque larcin.
Mar 28 Mai - 23:49
Fiche de personnage : fiche personnage Espace personnel : espace personnel Âge : 31 ans Groupe : Eindhoven
Hadès P. Gallagher
Capo Eindhoven
Bleh.
Hadès, que dire ? Tu as été invité, et te voilà en route pour le refuge de ta dame.
À vrai dire, tu ne te poses pas mille et une question sur pourquoi elle avait l'air aussi stressée quand elle t'a demandé de les rejoindre pour un dîner tous ensemble. Tu sais juste que tu vas rencontrer son coloc, et à ton niveau, c'est suffisant.
T'as laissé le petit à Kumiko, l'une de tes amies les plus proches et aussi la soldate qui travaille sous ta coupe. Tu lui fais confiance, ce n'est pas la première fois que tu lui fourres le gamin à travers le trou dans le mur pour aller renifler la première venue - sauf que là, Piper, ce n'est plus la première venue.
Ça a commencé avec une simple carte de visite et t'as utilisé son numéro pour lui parler. En fait, Hadès, t'es chanceux, carrément chanceux même - et tout le temps.
Tu te bats sans stratégie, au gré de tes envies, au fur et à mesure que ton instinct se déploie, et ça marche ; tu choisis une femme dans le lot, tu composes avec ce que tu es capable de donner, et ça marche - du moins, tu te tentes à croire que ça marche entre vous deux.
Le passé, le futur, ce n'est pas ton truc à toi. Tu vis l'instant présent et une partie de toi s'affirme que si elle t'a invité, c'est bien qu'elle veut de toi.
Bref, le petit, elle ne l'a jamais vu, mais elle sait que tu en as un, ce n'est pas comme si tu allais le cacher après tout. Andrew t'a dit que ce dîner serait une occasion pour les présentations, puisqu'elle le fait bien avec... ? Bah en fait, t'as pas retenu son nom.
Quoiqu'il en soit, encore une fois, t'en as fait qu'à ta tête. Ce n'est pas comme si tu allais écouter un moralisateur, et pour une fois que tu peux t'acquitter de tes devoirs de père -big lol- pour retrouver une vie plus fun et vivante, tu ne vas pas t'en priver.
Le brouillard serpente entre les arbres alignés parallèlement le long des trottoirs. Les branches nues s'étirent péniblement jusqu'au sommet où percent les dernières lueurs du jour, englouties par le sommet d'un building.
L'odeur de la rosée tardive se mêle à celle des embruns marins encore imprégnés sur ton pull.
Faut dire que vestimentairement parlant, tu n'as pas fait plus d'efforts que nécessaire. Ce n'est pas un repas d'intérêt, il est essentiel que tu te montres à elle comme tu l'es réellement - sans chichi, sans fioritures ; juste en étant toi-même.
Sous tes pas à ta masse écrasante, les feuilles mouillées s'allongent sur le sol comme un tapis d'or et de cuivre qui semble sillonner un chemin jusqu'au domaine Baek.
À chaque fois que tu viens lui rendre visite, t'en reviens pas de la taille de ce machin. L'époque du bâtiment t'intrigue, faudrait que tu lui demandes de quand ça date. Tu parierais sur du 18ième siècle,... un truc comme ça.
L'éclairage automatique détecte ta présence alors que tu grimpes le chemin prédéfini qui débouche jusqu'à la porte où les vitraux laissaient percevoir la lumière chaude de l'intérieur.
L'humidité ambiante de l'automne se glisse sur la laine de ton pull et commence à te gratter la peau. T'as pas prévu ton manteau parce que t'es pas rentré chez toi après le supermarché.
Hadès, c'est soudain.
Alors que tu abaisses la poignée pour rejoindre l'intérieur comme si tu étais chez toi, une forme surgit des ténèbres en mugissant pour te ruer de coups - comme ça, gratuitement.
La surprise te fait lâcher la bouteille que tu tenais dans ta main, l'explosion de verres éclatant jusqu'au seuil de la baraque.
Là, contre ton épaule et ta clavicule, ça cogne et ça cogne - puis bordel ça ne s'arrête pas.
Sous l'assaut, tu tangues.
Ton manque de coordination dans tes pieds te fais louper la marche que tu venais de franchir, mais, pris dans ton élan, tu finis par attraper la main belliqueuse.
Tes yeux pétillent d'un éclat de défi derrière ta frange trempée de gouttelettes surmontés de ton sourire carnassier.
L'instrument récupéré, à défaut de ton cadeau, tu désarmes ton assaillant d'un coup sec, et avises de suite le problème.
Le type est en pantoufle. De merveilleuses pantoufles lapin blanc. Y en a un qui a perdu un œil. Rien qui ne vaille le coup que tu ripostes.
— Wayaaa, ça fait mal... Ricanes-tu nerveusement en frottant la zone touchée. Ça fait très mal.
C'est factuel Hadès, juste factuel. Aucune accusation ne vient ponctuer ton intervention de sous-entendu, aucune colère ne borde tes yeux, t'es simplement hilare, parce que merde, tu ne t'attendais pas à être accueilli par un vieux coup de poêle, comme à l'ancienne... mais ça te donnera une excuse suffisante pour te faire dorloter par Piper, et ça, c'est tout bénéf pour tes affaires.
Le petit gars devant toi est livide, sa couleur flamboyante de cheveux n'aidant pas à lui redonner contenance. On dirait qu'il a vu un fantôme avec ses yeux écarquillés, et toi, il ne t'en faut pas plus pour prendre la situation à la dérision.
— Hé p'tit gars, BWAHAHA, relax, je vais pas t'manger. Hadès, t'es beaucoup trop tactile, alors tu viens fourrer ton énorme bras autour de ses épaules pour te laisser presque tomber sur lui. Il n'est pas très causant, c'est toi qui l'as fait flipper comme ça ? Bah dis donc, ça bat fort par là. Fais-tu en désignant son cœur de ta paume.
Ton agaçante manière de percevoir l'information et de la verbaliser empêche toute possibilité de repli. Ce n'est pas ce que tu recherches, mais t'es comme ça, tu ne peux pas retenir ce que tu as capté chez l'autre.
— Qu'est-ce qui a ? Qu'est-ce qu't'as ? T'es qui ?
Tu pousses la poêle contre lui pour la lui rendre et avises les éclats de verre à vos pieds. Le liquide mousseux crépite sur le paillasson, faisant dégorger les feuilles séchées.
Rapidement, une odeur minérale enveloppe l'air, l'héritage jaune or se diluant dans le béton du palier.
— Awwrr, ça me fait chier, tu vois. Fais-tu en poussant l'une des brisures du bout de ta chaussure mouillée. C'était pour elle, tu vois, et pour toi aussi. T'avais même mis un nœud vert - rien de folichon, juste du bolduc que t'as demandé en supplément de la bouteille de champagne.
Ce qui te gêne le plus, ce n'est pas que tu as dépensé inutilement de l'argent pour un truc que vous ne goûterez même pas au final, c'est que tu n'as plus rien à lui offrir - et tu ne peux pas te pointer les mains vides.
— Hé. Y a pas un truc qui traîne ici que je pourrais remplacer ? Genre un truc à toi que tu me prêtes, je lui donne et je te rembourse. Vraiment, ça a l'air d'être l'idée du siècle pour toi. Raawllez entre mecs, on peut bien se rendre service, non ?
Et avec ça, les délicieuses effluves du bouillon de poulet qui annonce que Piper rôde dans les parages, vous avez intérêt à être ingénieux avant qu'elle n'arrive.
À vrai dire, tu ne te poses pas mille et une question sur pourquoi elle avait l'air aussi stressée quand elle t'a demandé de les rejoindre pour un dîner tous ensemble. Tu sais juste que tu vas rencontrer son coloc, et à ton niveau, c'est suffisant.
T'as laissé le petit à Kumiko, l'une de tes amies les plus proches et aussi la soldate qui travaille sous ta coupe. Tu lui fais confiance, ce n'est pas la première fois que tu lui fourres le gamin à travers le trou dans le mur pour aller renifler la première venue - sauf que là, Piper, ce n'est plus la première venue.
Ça a commencé avec une simple carte de visite et t'as utilisé son numéro pour lui parler. En fait, Hadès, t'es chanceux, carrément chanceux même - et tout le temps.
Tu te bats sans stratégie, au gré de tes envies, au fur et à mesure que ton instinct se déploie, et ça marche ; tu choisis une femme dans le lot, tu composes avec ce que tu es capable de donner, et ça marche - du moins, tu te tentes à croire que ça marche entre vous deux.
Le passé, le futur, ce n'est pas ton truc à toi. Tu vis l'instant présent et une partie de toi s'affirme que si elle t'a invité, c'est bien qu'elle veut de toi.
Bref, le petit, elle ne l'a jamais vu, mais elle sait que tu en as un, ce n'est pas comme si tu allais le cacher après tout. Andrew t'a dit que ce dîner serait une occasion pour les présentations, puisqu'elle le fait bien avec... ? Bah en fait, t'as pas retenu son nom.
Quoiqu'il en soit, encore une fois, t'en as fait qu'à ta tête. Ce n'est pas comme si tu allais écouter un moralisateur, et pour une fois que tu peux t'acquitter de tes devoirs de père -big lol- pour retrouver une vie plus fun et vivante, tu ne vas pas t'en priver.
Le brouillard serpente entre les arbres alignés parallèlement le long des trottoirs. Les branches nues s'étirent péniblement jusqu'au sommet où percent les dernières lueurs du jour, englouties par le sommet d'un building.
L'odeur de la rosée tardive se mêle à celle des embruns marins encore imprégnés sur ton pull.
Faut dire que vestimentairement parlant, tu n'as pas fait plus d'efforts que nécessaire. Ce n'est pas un repas d'intérêt, il est essentiel que tu te montres à elle comme tu l'es réellement - sans chichi, sans fioritures ; juste en étant toi-même.
Sous tes pas à ta masse écrasante, les feuilles mouillées s'allongent sur le sol comme un tapis d'or et de cuivre qui semble sillonner un chemin jusqu'au domaine Baek.
À chaque fois que tu viens lui rendre visite, t'en reviens pas de la taille de ce machin. L'époque du bâtiment t'intrigue, faudrait que tu lui demandes de quand ça date. Tu parierais sur du 18ième siècle,... un truc comme ça.
L'éclairage automatique détecte ta présence alors que tu grimpes le chemin prédéfini qui débouche jusqu'à la porte où les vitraux laissaient percevoir la lumière chaude de l'intérieur.
L'humidité ambiante de l'automne se glisse sur la laine de ton pull et commence à te gratter la peau. T'as pas prévu ton manteau parce que t'es pas rentré chez toi après le supermarché.
Hadès, c'est soudain.
Alors que tu abaisses la poignée pour rejoindre l'intérieur comme si tu étais chez toi, une forme surgit des ténèbres en mugissant pour te ruer de coups - comme ça, gratuitement.
La surprise te fait lâcher la bouteille que tu tenais dans ta main, l'explosion de verres éclatant jusqu'au seuil de la baraque.
Là, contre ton épaule et ta clavicule, ça cogne et ça cogne - puis bordel ça ne s'arrête pas.
Sous l'assaut, tu tangues.
Ton manque de coordination dans tes pieds te fais louper la marche que tu venais de franchir, mais, pris dans ton élan, tu finis par attraper la main belliqueuse.
Tes yeux pétillent d'un éclat de défi derrière ta frange trempée de gouttelettes surmontés de ton sourire carnassier.
L'instrument récupéré, à défaut de ton cadeau, tu désarmes ton assaillant d'un coup sec, et avises de suite le problème.
Le type est en pantoufle. De merveilleuses pantoufles lapin blanc. Y en a un qui a perdu un œil. Rien qui ne vaille le coup que tu ripostes.
— Wayaaa, ça fait mal... Ricanes-tu nerveusement en frottant la zone touchée. Ça fait très mal.
C'est factuel Hadès, juste factuel. Aucune accusation ne vient ponctuer ton intervention de sous-entendu, aucune colère ne borde tes yeux, t'es simplement hilare, parce que merde, tu ne t'attendais pas à être accueilli par un vieux coup de poêle, comme à l'ancienne... mais ça te donnera une excuse suffisante pour te faire dorloter par Piper, et ça, c'est tout bénéf pour tes affaires.
Le petit gars devant toi est livide, sa couleur flamboyante de cheveux n'aidant pas à lui redonner contenance. On dirait qu'il a vu un fantôme avec ses yeux écarquillés, et toi, il ne t'en faut pas plus pour prendre la situation à la dérision.
— Hé p'tit gars, BWAHAHA, relax, je vais pas t'manger. Hadès, t'es beaucoup trop tactile, alors tu viens fourrer ton énorme bras autour de ses épaules pour te laisser presque tomber sur lui. Il n'est pas très causant, c'est toi qui l'as fait flipper comme ça ? Bah dis donc, ça bat fort par là. Fais-tu en désignant son cœur de ta paume.
Ton agaçante manière de percevoir l'information et de la verbaliser empêche toute possibilité de repli. Ce n'est pas ce que tu recherches, mais t'es comme ça, tu ne peux pas retenir ce que tu as capté chez l'autre.
— Qu'est-ce qui a ? Qu'est-ce qu't'as ? T'es qui ?
Tu pousses la poêle contre lui pour la lui rendre et avises les éclats de verre à vos pieds. Le liquide mousseux crépite sur le paillasson, faisant dégorger les feuilles séchées.
Rapidement, une odeur minérale enveloppe l'air, l'héritage jaune or se diluant dans le béton du palier.
— Awwrr, ça me fait chier, tu vois. Fais-tu en poussant l'une des brisures du bout de ta chaussure mouillée. C'était pour elle, tu vois, et pour toi aussi. T'avais même mis un nœud vert - rien de folichon, juste du bolduc que t'as demandé en supplément de la bouteille de champagne.
Ce qui te gêne le plus, ce n'est pas que tu as dépensé inutilement de l'argent pour un truc que vous ne goûterez même pas au final, c'est que tu n'as plus rien à lui offrir - et tu ne peux pas te pointer les mains vides.
— Hé. Y a pas un truc qui traîne ici que je pourrais remplacer ? Genre un truc à toi que tu me prêtes, je lui donne et je te rembourse. Vraiment, ça a l'air d'être l'idée du siècle pour toi. Raawllez entre mecs, on peut bien se rendre service, non ?
Et avec ça, les délicieuses effluves du bouillon de poulet qui annonce que Piper rôde dans les parages, vous avez intérêt à être ingénieux avant qu'elle n'arrive.
Piper Yun Baek
Mer 7 Aoû - 5:54
Hendrick
Lieutenant de police
Hendrick n’étant pas d’un naturel très agressif, il se rendit bien vite compte que ruer de coups un bandit n’était peut-être pas la meilleure manière de l’empêcher d’entrer. Il n’eut pas le temps de s’arrêter cependant qu’une énorme main venait lui saisir la sienne, arrêtant automatiquement le mouvement de la poêle. Oh shit. Il découvrait seulement maintenant à quel point la stature de l’intrus était imposante. Il tira sur son bras mais c’était vain. En plus, le colosse lui adressa un sourire carnassier et Hendrick se fit la réfléxion que -potentiellement- il s’était encore une fois frotté à plus fort que lui. Il se souvenait d’Ethan à Halloween qui lui proposait de l’aide, de lui qui ne prenait même pas son arme à feu. Shit, pourquoi il refusait obstinément d’utiliser son arme de service pour sa propre survie ? Parce qu’il en avait plus peur qu’autre chose probablement. Parce qu’il ne voulait faire de mal à personne. Et pourtant…Alors que l’autre lui arrachait la poêle :
— Wayaaa, ça fait mal... Ça fait très mal.
Il se frotta la tête de sa main libre, et même s’il avait des raisons d’être énervé, il ne se montrait pas très hostile. Hendrick restait pas très rassuré, la main prise au piège de sa poigne. Peut-être qu’il ne se montrait pas très agressif juste parce qu’il avait bien compris que le policier n’avait aucune chance face à une montagne comme lui. Après tout, Johannes l’avait menacé aussi, tout en lui adressant un grand sourire. Le rouquin s’excusa cependant -plus par peur de l’avoir vraiment blessé que par peur de ce que le géant pourrait lui faire :
- Ooooh désolé ! Désolé !
Même si l’autre était peut-être un bandit, Hendrick n’avait jamais aimé utiliser la violence. Là, il avait surtout été pris de cours et le regrettait déjà. En plus, il savait à quel point un coup de poêle pouvait être douloureux. Le géant leva le bras, Hendrick ferma les yeux une seconde, mais ce dernier se contenta de le passer par-dessus ces épaules, écrasant le rouquin de toute sa hauteur :
— Hé p'tit gars, BWAHAHA, relax, je vais pas t'manger. Bah dis donc, ça bat fort par là.
Il avait l’impression de se faire charié par un grand frère. Hendrick n’était pas bien grand pour un néérlandais, il le savait, mais il n’avait jamais eu autant l’impression d’être minuscule. Et d’être aussi fragile. Il hocha la tête, avec une petite mine. Clairement, ce type pouvait le broyer en deux avec un seul bras, c’était une dinguerie. Et en même temps, il avait l’air trop sympa pour ça.
— Qu'est-ce qui a ? Qu'est-ce qu't'as ? T'es qui ?
Il verbalisait exactement ce que se demandait Hendrick le concernant. Si l’autre ne l’avait pas fait, c’était lui qui l’aurait interrogé. Il lui rendit sa poêle, apparemment conscient que de toute manière le rouquin ne saurait pas faire de bien grands dégâts avec ça, et le jeune homme serra l’objet contre lui, comme on aurait tenu une peluche. Il aurait vraiment du la nettoyer cette poêle mais pour le moment c’était pas sa préoccupation principale. Il voulut répondre au géant mais ce dernier poussa un râle qui l’interrompit :
— Awwrr, ça me fait chier, tu vois. C'était pour elle, tu vois, et pour toi aussi.
Pour elle ? Pour Piper ? Il ne comprenait pas, mais comme c’était naturel, d’ailleurs avant que l’autre en parle, il avait à peine remarqué les brisures de verre, il se laissa juste porter par ce que le bandit lui disait parce que forcément, ça serait la vérité :
— Hé. Y a pas un truc qui traîne ici que je pourrais remplacer ? Genre un truc à toi que tu me prêtes, je lui donne et je te rembourse. Raawllez entre mecs, on peut bien se rendre service, non ?
Hendrick hocha la tête et proposa précipitamment à l’homme, le poussant dehors :
- Fait le tour, y a une serre derrière, prend une plante. Vite !
Il était dans l’urgence parce que tout ce chahut aurait certainement été capté par Piper et qu’il n’avait pas envie qu’elle voit qu’il avait encore fait une bourde probablement. Comme un enfant qui cache la poussière sous un tapis, il tira le géant par le bras pour l’entrainer derrnière lui… Au lieu de rester et faire croire à Piper -je sais pas moi, qu’il y avait un raton laveur avec la rage qui lui avait fait peur dans le jardin, il s’engagea donc dehors. Parfait… Sa colocataire ne se douterait surement de rien…
Ils firent le tour, se fondant dans la semi-obscurité ambiante, les pantoufles de Hendrick faisant craquer les feuilles au sol. Heureusement qu’il n’était pas frileux vu son accoutrement. Le rouquin s’engagea dans la serre, et regarda autour de lui. Il n’y avait pas grand-chose… C’était bien sa veine. Puis il l’aperçut : un pot plutôt joli, contenant un fond de terre parsemé de mauvaises herbes. Alors peut-être… Il se tourna vers Hadès, lui indiquant sa trouvaille en chuchotant si fort que parler aurait fait moins de bruit :
- Peut-être ça ?
Le géant sembla s’en contenter. Super ! Première mission accomplie. Dorénavant, il fallait juste paraitre naturel… Il voulut rouvrir la maison mais il avait laissé les clés à l’intérieure… Et merde. Il sonna donc, attendant que Piper vienne les sortir de là, adressant un clin d’œil assuré au géant. Lorsque la porte s’ouvrit enfin il eut un large sourire. Sauvé !
S’appuyant sur la porte d’un air faussement décontracté, il déclara à Piper, secouant la poêle dans sa main comme s’il était normal qu’il se balade avec dans la rue et toujours accoutré de ces incroyables pantoufle :
- Hello Piper ! Je suis rentré plus tôt que prévu et j’ai croisé ce… grand… ami-?- sur le chemin, tu veux de l’aide pour faire à manger ?
— Wayaaa, ça fait mal... Ça fait très mal.
Il se frotta la tête de sa main libre, et même s’il avait des raisons d’être énervé, il ne se montrait pas très hostile. Hendrick restait pas très rassuré, la main prise au piège de sa poigne. Peut-être qu’il ne se montrait pas très agressif juste parce qu’il avait bien compris que le policier n’avait aucune chance face à une montagne comme lui. Après tout, Johannes l’avait menacé aussi, tout en lui adressant un grand sourire. Le rouquin s’excusa cependant -plus par peur de l’avoir vraiment blessé que par peur de ce que le géant pourrait lui faire :
- Ooooh désolé ! Désolé !
Même si l’autre était peut-être un bandit, Hendrick n’avait jamais aimé utiliser la violence. Là, il avait surtout été pris de cours et le regrettait déjà. En plus, il savait à quel point un coup de poêle pouvait être douloureux. Le géant leva le bras, Hendrick ferma les yeux une seconde, mais ce dernier se contenta de le passer par-dessus ces épaules, écrasant le rouquin de toute sa hauteur :
— Hé p'tit gars, BWAHAHA, relax, je vais pas t'manger. Bah dis donc, ça bat fort par là.
Il avait l’impression de se faire charié par un grand frère. Hendrick n’était pas bien grand pour un néérlandais, il le savait, mais il n’avait jamais eu autant l’impression d’être minuscule. Et d’être aussi fragile. Il hocha la tête, avec une petite mine. Clairement, ce type pouvait le broyer en deux avec un seul bras, c’était une dinguerie. Et en même temps, il avait l’air trop sympa pour ça.
— Qu'est-ce qui a ? Qu'est-ce qu't'as ? T'es qui ?
Il verbalisait exactement ce que se demandait Hendrick le concernant. Si l’autre ne l’avait pas fait, c’était lui qui l’aurait interrogé. Il lui rendit sa poêle, apparemment conscient que de toute manière le rouquin ne saurait pas faire de bien grands dégâts avec ça, et le jeune homme serra l’objet contre lui, comme on aurait tenu une peluche. Il aurait vraiment du la nettoyer cette poêle mais pour le moment c’était pas sa préoccupation principale. Il voulut répondre au géant mais ce dernier poussa un râle qui l’interrompit :
— Awwrr, ça me fait chier, tu vois. C'était pour elle, tu vois, et pour toi aussi.
Pour elle ? Pour Piper ? Il ne comprenait pas, mais comme c’était naturel, d’ailleurs avant que l’autre en parle, il avait à peine remarqué les brisures de verre, il se laissa juste porter par ce que le bandit lui disait parce que forcément, ça serait la vérité :
— Hé. Y a pas un truc qui traîne ici que je pourrais remplacer ? Genre un truc à toi que tu me prêtes, je lui donne et je te rembourse. Raawllez entre mecs, on peut bien se rendre service, non ?
Hendrick hocha la tête et proposa précipitamment à l’homme, le poussant dehors :
- Fait le tour, y a une serre derrière, prend une plante. Vite !
Il était dans l’urgence parce que tout ce chahut aurait certainement été capté par Piper et qu’il n’avait pas envie qu’elle voit qu’il avait encore fait une bourde probablement. Comme un enfant qui cache la poussière sous un tapis, il tira le géant par le bras pour l’entrainer derrnière lui… Au lieu de rester et faire croire à Piper -je sais pas moi, qu’il y avait un raton laveur avec la rage qui lui avait fait peur dans le jardin, il s’engagea donc dehors. Parfait… Sa colocataire ne se douterait surement de rien…
Ils firent le tour, se fondant dans la semi-obscurité ambiante, les pantoufles de Hendrick faisant craquer les feuilles au sol. Heureusement qu’il n’était pas frileux vu son accoutrement. Le rouquin s’engagea dans la serre, et regarda autour de lui. Il n’y avait pas grand-chose… C’était bien sa veine. Puis il l’aperçut : un pot plutôt joli, contenant un fond de terre parsemé de mauvaises herbes. Alors peut-être… Il se tourna vers Hadès, lui indiquant sa trouvaille en chuchotant si fort que parler aurait fait moins de bruit :
- Peut-être ça ?
Le géant sembla s’en contenter. Super ! Première mission accomplie. Dorénavant, il fallait juste paraitre naturel… Il voulut rouvrir la maison mais il avait laissé les clés à l’intérieure… Et merde. Il sonna donc, attendant que Piper vienne les sortir de là, adressant un clin d’œil assuré au géant. Lorsque la porte s’ouvrit enfin il eut un large sourire. Sauvé !
S’appuyant sur la porte d’un air faussement décontracté, il déclara à Piper, secouant la poêle dans sa main comme s’il était normal qu’il se balade avec dans la rue et toujours accoutré de ces incroyables pantoufle :
- Hello Piper ! Je suis rentré plus tôt que prévu et j’ai croisé ce… grand… ami-?- sur le chemin, tu veux de l’aide pour faire à manger ?
Piper Yun Baek
Jeu 8 Aoû - 17:05
Fiche de personnage : fiche personnage Espace personnel : espace personnel Âge : 31 ans Groupe : Eindhoven
Hadès P. Gallagher
Capo Eindhoven
Bleh.
Hadès, tu comprends très vite, très bien, que le petit gars en face de toi n'est pas bien agressif. Les excuses ne tardent pas, et même si tu n'en attendais pas, la quantité d'informations que tu reçois t'aide déjà à te faire une idée sur lui.
Hadès, tu marches à l'affect, à ce que tu perçois des gens et à ce qu'ils te font ressentir. Présentement, ce petit rouquin, il te plaît bien.
Sa vulnérabilité touchante active ton instinct de protection. Le même qui te permet de garder ta fratrie, ta femme et ton fils en sécurité.
Derrière sa naïveté, tu captes cependant une énergie au service de l'humour et du jeu, puisqu'il n'a pas protesté une seconde à écouter ton idée à la con et à la réaliser.
Vraiment, t'as l'impression que c'est ton mini-toi, la confiance en moins, le côté enfantin en plus - toi, dans le genre, tu serais plutôt l'ado débile qui lui montre le mauvais exemple.
En bref, t'adores ce qu'il dégage !
Et le loustic, là, il pose les mains sur ton torse. Tu l'interroges du regard avant de comprendre que c'était une tentative de te pousser à l'extérieur pour pouvoir fermer la porte, plus qu'à tâter tes muscles par curiosité.
Sa main attrape ton bras, et tu te laisses guider nonchalamment, oubliant presque que tu es pressé.
— Chouette tes pantoufles. Que tu fais en souriant, le ton absent de moquerie mais aux yeux souriants de malice.
La serre se situe à l'arrière du jardin et vous vous y engouffrez comme des voleurs. Ça ne devrait pas être interdit, mais il semblerait que lui et toi agissiez comme des bandits de l'ombre, à la recherche d'un objet de valeur - mais côté discrétion, c'est raté visiblement.
Une bruine fine aux lames pourtant tranchantes vient claquer contre le dôme en plastique dur. Le bruit de la pluie répare la faute de vos voix trop hautes.
Ton regard se perd dans ce camaïeu de verts et ce labyrinthe de feuilles, le surplus de nombreuses informations visuelles poussant tes sens à leur paroxysme. T'as envie de tout toucher, de tout regarder, de tout offrir.
L'odeur de terreau omniprésente affirme qu'une activité régulière s'entretient. Vraisemblablement, Piper aime bien jardiner.
Tu finis par apercevoir ton petit acolyte du moment sous le couvert végétal. Sa main te présente un joli pot malgré son contenant en friche, avant qu'il ne rejette lui-même l'idée.
Toi, ça t'aurait convenu, tu lui aurais seulement offert le pot.
Vos recherches semblent infructueuses, et poussez par le temps, votre démarche ne présente aucune réflexion.
De là, il te suggère autre chose qu'il pointe du doigt.
— C'te truc en haut ? T'attrapes le pot en terre cuite en penchant ton corps au-dessus de lui, l'espace comprimé restreignant vos mouvements.
Ta main se sert de son épaule comme d'un repose-bras, afin que tu puisses t'étirer un maximum et choper ta convoitise.
Bingo !
En réponse, une grosse motte d'humus tombe sur ses chaussons immaculés et le haut de ton pantalon, laissant un indice indélébile de votre chasse récente.
Comme deux enfants s'inquiétant des représailles, vous courrez dans le sens opposé pour rejoindre la porte d'entrée.
Erreur, hélas, le petit gars... Bah il n'a pas ses clés.
Amusé par la situation, tu ne peux t'empêcher de l'évoquer.
— Sérieux, t'as zappé tes clés ? BWAHAHA.
Faute d'une autre option, la sonnette retentit. Les premières fenêtres étaient trop hautes pour être atteintes, même si tu le mettais sur tes épaules et l'y propulsais. En plus de ça, aucune d'entre elles n'était ouverte - vous étiez cuits.
Les pas derrière la porte annoncent la venue de Piper avant même qu'elle ouvre le battant. Tu reconnaîtrais sa démarche entre mille, et dès qu'elle apparaît, tu t'imprimes son visage ravi de vous voir, cette toute petite microseconde, avant qu'elle comprenne ce que vous avez trafiqué.
Aussitôt, tu rejoins l'ambiance confiante. Tes cheveux trempés dégoulinent le long de ton visage déformé par un sourire exagérément assuré.
— Surprise, ahah. Que tu ajoutes après les présentations de ton déjà ami, un bras autour de ses épaules pour confirmer ses dires, l'autre en tendant le propre pot de ta propre femme dans sa propre maison en guise de cadeau de ta part.
Non, vraiment, fallait pas.
Et jamais, jamais jamais, une seule fois, tu te demandes si elle ne va pas reconnaître sa propre plante.
Hadès, tu marches à l'affect, à ce que tu perçois des gens et à ce qu'ils te font ressentir. Présentement, ce petit rouquin, il te plaît bien.
Sa vulnérabilité touchante active ton instinct de protection. Le même qui te permet de garder ta fratrie, ta femme et ton fils en sécurité.
Derrière sa naïveté, tu captes cependant une énergie au service de l'humour et du jeu, puisqu'il n'a pas protesté une seconde à écouter ton idée à la con et à la réaliser.
Vraiment, t'as l'impression que c'est ton mini-toi, la confiance en moins, le côté enfantin en plus - toi, dans le genre, tu serais plutôt l'ado débile qui lui montre le mauvais exemple.
En bref, t'adores ce qu'il dégage !
Et le loustic, là, il pose les mains sur ton torse. Tu l'interroges du regard avant de comprendre que c'était une tentative de te pousser à l'extérieur pour pouvoir fermer la porte, plus qu'à tâter tes muscles par curiosité.
Sa main attrape ton bras, et tu te laisses guider nonchalamment, oubliant presque que tu es pressé.
— Chouette tes pantoufles. Que tu fais en souriant, le ton absent de moquerie mais aux yeux souriants de malice.
La serre se situe à l'arrière du jardin et vous vous y engouffrez comme des voleurs. Ça ne devrait pas être interdit, mais il semblerait que lui et toi agissiez comme des bandits de l'ombre, à la recherche d'un objet de valeur - mais côté discrétion, c'est raté visiblement.
Une bruine fine aux lames pourtant tranchantes vient claquer contre le dôme en plastique dur. Le bruit de la pluie répare la faute de vos voix trop hautes.
Ton regard se perd dans ce camaïeu de verts et ce labyrinthe de feuilles, le surplus de nombreuses informations visuelles poussant tes sens à leur paroxysme. T'as envie de tout toucher, de tout regarder, de tout offrir.
L'odeur de terreau omniprésente affirme qu'une activité régulière s'entretient. Vraisemblablement, Piper aime bien jardiner.
Tu finis par apercevoir ton petit acolyte du moment sous le couvert végétal. Sa main te présente un joli pot malgré son contenant en friche, avant qu'il ne rejette lui-même l'idée.
Toi, ça t'aurait convenu, tu lui aurais seulement offert le pot.
Vos recherches semblent infructueuses, et poussez par le temps, votre démarche ne présente aucune réflexion.
De là, il te suggère autre chose qu'il pointe du doigt.
— C'te truc en haut ? T'attrapes le pot en terre cuite en penchant ton corps au-dessus de lui, l'espace comprimé restreignant vos mouvements.
Ta main se sert de son épaule comme d'un repose-bras, afin que tu puisses t'étirer un maximum et choper ta convoitise.
Bingo !
En réponse, une grosse motte d'humus tombe sur ses chaussons immaculés et le haut de ton pantalon, laissant un indice indélébile de votre chasse récente.
Comme deux enfants s'inquiétant des représailles, vous courrez dans le sens opposé pour rejoindre la porte d'entrée.
Erreur, hélas, le petit gars... Bah il n'a pas ses clés.
Amusé par la situation, tu ne peux t'empêcher de l'évoquer.
— Sérieux, t'as zappé tes clés ? BWAHAHA.
Faute d'une autre option, la sonnette retentit. Les premières fenêtres étaient trop hautes pour être atteintes, même si tu le mettais sur tes épaules et l'y propulsais. En plus de ça, aucune d'entre elles n'était ouverte - vous étiez cuits.
Les pas derrière la porte annoncent la venue de Piper avant même qu'elle ouvre le battant. Tu reconnaîtrais sa démarche entre mille, et dès qu'elle apparaît, tu t'imprimes son visage ravi de vous voir, cette toute petite microseconde, avant qu'elle comprenne ce que vous avez trafiqué.
Aussitôt, tu rejoins l'ambiance confiante. Tes cheveux trempés dégoulinent le long de ton visage déformé par un sourire exagérément assuré.
— Surprise, ahah. Que tu ajoutes après les présentations de ton déjà ami, un bras autour de ses épaules pour confirmer ses dires, l'autre en tendant le propre pot de ta propre femme dans sa propre maison en guise de cadeau de ta part.
Non, vraiment, fallait pas.
Et jamais, jamais jamais, une seule fois, tu te demandes si elle ne va pas reconnaître sa propre plante.
Piper Yun Baek
Ven 30 Aoû - 3:57
Fiche de personnage : fiche personnage Espace personnel : espace personnel Âge : 28 ans Groupe : Civil
Piper Yun Baek
Riche civile
T'as une tête à Poêle
18h30
Chez Piper.
Hendrick&Hadès.
OOTD(clique!)
J’en avais marre de les attendre.
Vraiment. Le repas était prêt depuis longtemps et devinez quoi? J’avais faim. Quand on pense au fait que je suis enceinte, j’ai pas attendu très longtemps avant de me dire « nique » et je me suis servie.
J’ai commencé à manger.
Après tout, s’ils arrivaient: j’aurais une bonne excuse. « Pardon, mais j’avais si faim et avec la grossesse je me sentais mal alors j’ai commencé sans vous ».
Et franchement? Je regrette absolument pas. Pourquoi? Parce qu’à ma grande surprise: j’ai hyper bien cuisiné!
Bon, c’est pas le même goût que celui de ma grand-mère, mais c’est presque ça! Alors que je mange, Galeb, mon chien vient me voir voulant goûter lui aussi. J’imagine que sa truffe à dû sentir que j’avais réussi mon plat.
-Non, non, lui dis-je. Tu as tes croquettes. Va.
Il me fixe et après de longues minutes, il obéit avant d’être soudainement intrigué par la porte d’entrée. Sur le coup je ne calcule pas vraiment ce qu’il se passe avant d’entendre un bruit métallique.
-Hendrick? T’es là? Ça va? demandé-je en me tournant vers l’étage.
Pas de réponse. Je hausse alors les épaules et continue à manger jusqu’à entendre quelque chose se briser. Mais qu’est-ce qu’il se passe là haut?
Je me lave les mains et gravit les marches pour rejoindre sa chambre.
-Hendrick, qu’est-ce que…
Après avoir poussé la porte, je me rend compte qu’il n’est pas là…
Est-ce que je deviens folle? Peut-être que c’est un oiseau qui s’est emmêlé les ailes avec … Je ne sais quoi et qui serait tombé sur un pot? Mais c’est étrange… Le bruit n’était pas celui d’un pot qui se brise.
Les pots en terre ont un son beaucoup plus grave et atténué. Ce bruit là ressemblait plus à du verre et au dernières nouvelles: il n’y a pas de pots en verre dans le jardin.
Incapable de comprendre ce qui vient de se passer, je redescend, un chouïa inquiète et me remet à manger.
C’est là que j’entends des voix. Je ne sais pas qui, ni pourquoi. Je n’arrive même pas à comprendre ce qui est dit, mais je ne le sens pas.
Me redressant, j’attrape un couteau de cuisine et m’avance doucement avant que quelqu’un frappe à la porte.
Si c’était Hendrick ou Hades, ils se seraient annoncés. Hendrick serait rentré, vu qu’il a le code et la clé de secours. Et Hades… Je lui ai déjà donné le code. Et même s’il l’avait oublié, il aurait crié mon nom pour que je lui ouvre.
Je passe le palier et finit par ouvrir un peu avant des les voir tout les deux.
Quelque chose est louche.
D’un coup, j’ouvre le reste de la porte et sors. Les deux me saluent, mais quelque chose ne va pas.
J’ignore la proposition de Hendrick et les examine. Hades tient Hendrick par les épaules alors qu’il ne le connaît pas. En plus, il dégouline de je ne sais quoi sur le sol…
… Où il y a des bris de verre. Visiblement c’est une bouteille de vin et vu les deux énergumènes, c’est aussi bien l’un que l’autre qui la ramenée tout en sachant que je ne peux pas la boire vu que je suis ENCEINTE.
Dans la main de mon monsieur, je remarque un pot que je reconnais très bien et qui déborde de terre… La même terre que je peux observer sur les chaussons de mon colocataire… Et je crois que le pompon, c’est ma poêle .
Je comprend que le bruit métallique n’était autre que ma poêle frappant Hades, sûrement.
Ma main se resserre autours du couteau de cuisine avant que mon autre main ne frotte mon visage pour finalement aller se loger contre ma hanche.
-Okay, pause… Qu’est-ce que vous foutez tous les deux avec ma plante? C’est pour ça que t’as de la terre sur des pantoufles Hendrick? Ensuite… Hades, pourquoi tu dégouline? Et enfin: quelqu’un m’explique ce que ma PUTAIN DE POÊLE fait là?
Vraiment. Le repas était prêt depuis longtemps et devinez quoi? J’avais faim. Quand on pense au fait que je suis enceinte, j’ai pas attendu très longtemps avant de me dire « nique » et je me suis servie.
J’ai commencé à manger.
Après tout, s’ils arrivaient: j’aurais une bonne excuse. « Pardon, mais j’avais si faim et avec la grossesse je me sentais mal alors j’ai commencé sans vous ».
Et franchement? Je regrette absolument pas. Pourquoi? Parce qu’à ma grande surprise: j’ai hyper bien cuisiné!
Bon, c’est pas le même goût que celui de ma grand-mère, mais c’est presque ça! Alors que je mange, Galeb, mon chien vient me voir voulant goûter lui aussi. J’imagine que sa truffe à dû sentir que j’avais réussi mon plat.
-Non, non, lui dis-je. Tu as tes croquettes. Va.
Il me fixe et après de longues minutes, il obéit avant d’être soudainement intrigué par la porte d’entrée. Sur le coup je ne calcule pas vraiment ce qu’il se passe avant d’entendre un bruit métallique.
-Hendrick? T’es là? Ça va? demandé-je en me tournant vers l’étage.
Pas de réponse. Je hausse alors les épaules et continue à manger jusqu’à entendre quelque chose se briser. Mais qu’est-ce qu’il se passe là haut?
Je me lave les mains et gravit les marches pour rejoindre sa chambre.
-Hendrick, qu’est-ce que…
Après avoir poussé la porte, je me rend compte qu’il n’est pas là…
Est-ce que je deviens folle? Peut-être que c’est un oiseau qui s’est emmêlé les ailes avec … Je ne sais quoi et qui serait tombé sur un pot? Mais c’est étrange… Le bruit n’était pas celui d’un pot qui se brise.
Les pots en terre ont un son beaucoup plus grave et atténué. Ce bruit là ressemblait plus à du verre et au dernières nouvelles: il n’y a pas de pots en verre dans le jardin.
Incapable de comprendre ce qui vient de se passer, je redescend, un chouïa inquiète et me remet à manger.
C’est là que j’entends des voix. Je ne sais pas qui, ni pourquoi. Je n’arrive même pas à comprendre ce qui est dit, mais je ne le sens pas.
Me redressant, j’attrape un couteau de cuisine et m’avance doucement avant que quelqu’un frappe à la porte.
Si c’était Hendrick ou Hades, ils se seraient annoncés. Hendrick serait rentré, vu qu’il a le code et la clé de secours. Et Hades… Je lui ai déjà donné le code. Et même s’il l’avait oublié, il aurait crié mon nom pour que je lui ouvre.
Je passe le palier et finit par ouvrir un peu avant des les voir tout les deux.
Quelque chose est louche.
D’un coup, j’ouvre le reste de la porte et sors. Les deux me saluent, mais quelque chose ne va pas.
J’ignore la proposition de Hendrick et les examine. Hades tient Hendrick par les épaules alors qu’il ne le connaît pas. En plus, il dégouline de je ne sais quoi sur le sol…
… Où il y a des bris de verre. Visiblement c’est une bouteille de vin et vu les deux énergumènes, c’est aussi bien l’un que l’autre qui la ramenée tout en sachant que je ne peux pas la boire vu que je suis ENCEINTE.
Dans la main de mon monsieur, je remarque un pot que je reconnais très bien et qui déborde de terre… La même terre que je peux observer sur les chaussons de mon colocataire… Et je crois que le pompon, c’est ma poêle .
Je comprend que le bruit métallique n’était autre que ma poêle frappant Hades, sûrement.
Ma main se resserre autours du couteau de cuisine avant que mon autre main ne frotte mon visage pour finalement aller se loger contre ma hanche.
-Okay, pause… Qu’est-ce que vous foutez tous les deux avec ma plante? C’est pour ça que t’as de la terre sur des pantoufles Hendrick? Ensuite… Hades, pourquoi tu dégouline? Et enfin: quelqu’un m’explique ce que ma PUTAIN DE POÊLE fait là?
con Nombre Apellido.
Dim 8 Sep - 20:05
Hendrick
Lieutenant de police
- Surprise, ahah.
Hendrick adorait la façon dont l’amoureux de Piper le suivait dans cette présentation moyennement convaincante. Il se sentait même rassuré par l’écrasante présence du géant à côté de lui, qui lui avait fermement poser un bras autour des épaules. Leurs quêtes à la recherche d’un cadeau pour Piper avait été courte mais le policier avait tout de suite senti une sorte de connexion avec l’homme. Il avait une aura qui poussait l’admiration d’ailleurs. Mais ce n’était rien en comparaison avec l’aura beaucoup plus menaçante de Piper qui les observait tous les deux, couteau à la main.
Si Hadès ne lui avait pas passé un bras autour des épaules, il aurait peut-être essayé de s’enfuir lorsqu’elle s’avança d’un pas sur le palier, main sur la hanche. Ils étaient foutus… Elle avait l’air d’une maman très en colère. Il voyait déjà comme elle ferait une mère formidable aussi ce qui était plutôt inspirant. Difficile de jongler entre les émotions que cette pause lui laissait.
-Okay, pause… Qu’est-ce que vous foutez tous les deux avec ma plante? C’est pour ça que t’as de la terre sur des pantoufles Hendrick? Ensuite… Hades, pourquoi tu dégouline? Et enfin: quelqu’un m’explique ce que ma PUTAIN DE POÊLE fait là?
Oups… On aurait dit une détective privée de dessin animé en pleine action ! Elle avait repéré en une seule seconde toutes les incohérences de leurs discours respectifs et leurs renvoyait tout à la figure. Hendrick baragouina bravement, tel le moulin à parole qu’il était :
- C’est pas ta plante, c’est un cadeau d’Hadès ! Ca doit être exactement la même, c’est fou ça ! Enfin pas si fou, il connait trop tes gouts c’est sûr ! Franchement c’est grave impressionnant ! Mmmmh je me disais que je la laverais bien dehors tu sais la poele ? Vu qu’il pleut très fort -ce qui explique vraiment pourquoi on est trempé d’ailleurs, je veux dire… la pluie ça mouille. Puis ça lave. Il parait que c’est… que c’est plus écologique et tout…Tu.. t’as dû en entendre parler.
Il indiqua le couteau que Piper tenait du menton comme si elle était venue faire sa vaisselle dehors. Vraiment ces explications étaient un scandale. Hendrick leva son regard ambré vers Piper mais ne parvient pas à affronter son mensonge en face plus de deux secondes. C’était un très très mauvais menteur. Les gens adoraient jouer au poker avec lui. Il craqua donc immédiatement, commençant à déblatérer un flot de paroles plus ou moins incompréhensibles toujours sur haut débit, ne s’arrêtant plus :
- BON OK J’AVOUE TOUT. J’ai pas fait la vaisselle de cette poêle depuis que je l’ai utiliser la semaine dernière. Je te jure j’allais le faire mais y avait plus de détergent. Donc je suis allez en racheter mais après j’ai oublié puis je me suis souvenu mais c’était au travail puis une fois à la maison aussi mais on regardait une série et… Bref, je l’ai utilisé pour taper Hadès avec et j’ai cassé ton cadeau. Désolé.
Il avait tellement mâché sa dernière phrase qu’il ne devait pas être vraiment possible de comprendre ce qu’il avait dit. Tel un chiot prit sur le fait, Hendrick baissa les yeux sur ces chaussures, l’air contrit. Ces deux mains se tordaient entre elles, essayant de dégager toute l’énergie qu’il ne pouvait pas utiliser là tout de suite, dans cette forme d’immobilité. Pour lui, ces explications bancales étaient parfaitement claires, et allait potentiellement le condamner à dormir à la porte -non vraiment ce n’était jamais arrivé, pas la peine de chercher à comprendre d’où lui venait cette angoisse.
S’aperçevant de la fameuse terre sur ces pantoufles, il avança un pied devant l’autre pour essayer de masquer les dégâts, se frottant les pieds entre eux en se trémoussant avec très peu de discrétion.
Hendrick adorait la façon dont l’amoureux de Piper le suivait dans cette présentation moyennement convaincante. Il se sentait même rassuré par l’écrasante présence du géant à côté de lui, qui lui avait fermement poser un bras autour des épaules. Leurs quêtes à la recherche d’un cadeau pour Piper avait été courte mais le policier avait tout de suite senti une sorte de connexion avec l’homme. Il avait une aura qui poussait l’admiration d’ailleurs. Mais ce n’était rien en comparaison avec l’aura beaucoup plus menaçante de Piper qui les observait tous les deux, couteau à la main.
Si Hadès ne lui avait pas passé un bras autour des épaules, il aurait peut-être essayé de s’enfuir lorsqu’elle s’avança d’un pas sur le palier, main sur la hanche. Ils étaient foutus… Elle avait l’air d’une maman très en colère. Il voyait déjà comme elle ferait une mère formidable aussi ce qui était plutôt inspirant. Difficile de jongler entre les émotions que cette pause lui laissait.
-Okay, pause… Qu’est-ce que vous foutez tous les deux avec ma plante? C’est pour ça que t’as de la terre sur des pantoufles Hendrick? Ensuite… Hades, pourquoi tu dégouline? Et enfin: quelqu’un m’explique ce que ma PUTAIN DE POÊLE fait là?
Oups… On aurait dit une détective privée de dessin animé en pleine action ! Elle avait repéré en une seule seconde toutes les incohérences de leurs discours respectifs et leurs renvoyait tout à la figure. Hendrick baragouina bravement, tel le moulin à parole qu’il était :
- C’est pas ta plante, c’est un cadeau d’Hadès ! Ca doit être exactement la même, c’est fou ça ! Enfin pas si fou, il connait trop tes gouts c’est sûr ! Franchement c’est grave impressionnant ! Mmmmh je me disais que je la laverais bien dehors tu sais la poele ? Vu qu’il pleut très fort -ce qui explique vraiment pourquoi on est trempé d’ailleurs, je veux dire… la pluie ça mouille. Puis ça lave. Il parait que c’est… que c’est plus écologique et tout…Tu.. t’as dû en entendre parler.
Il indiqua le couteau que Piper tenait du menton comme si elle était venue faire sa vaisselle dehors. Vraiment ces explications étaient un scandale. Hendrick leva son regard ambré vers Piper mais ne parvient pas à affronter son mensonge en face plus de deux secondes. C’était un très très mauvais menteur. Les gens adoraient jouer au poker avec lui. Il craqua donc immédiatement, commençant à déblatérer un flot de paroles plus ou moins incompréhensibles toujours sur haut débit, ne s’arrêtant plus :
- BON OK J’AVOUE TOUT. J’ai pas fait la vaisselle de cette poêle depuis que je l’ai utiliser la semaine dernière. Je te jure j’allais le faire mais y avait plus de détergent. Donc je suis allez en racheter mais après j’ai oublié puis je me suis souvenu mais c’était au travail puis une fois à la maison aussi mais on regardait une série et… Bref, je l’ai utilisé pour taper Hadès avec et j’ai cassé ton cadeau. Désolé.
Il avait tellement mâché sa dernière phrase qu’il ne devait pas être vraiment possible de comprendre ce qu’il avait dit. Tel un chiot prit sur le fait, Hendrick baissa les yeux sur ces chaussures, l’air contrit. Ces deux mains se tordaient entre elles, essayant de dégager toute l’énergie qu’il ne pouvait pas utiliser là tout de suite, dans cette forme d’immobilité. Pour lui, ces explications bancales étaient parfaitement claires, et allait potentiellement le condamner à dormir à la porte -non vraiment ce n’était jamais arrivé, pas la peine de chercher à comprendre d’où lui venait cette angoisse.
S’aperçevant de la fameuse terre sur ces pantoufles, il avança un pied devant l’autre pour essayer de masquer les dégâts, se frottant les pieds entre eux en se trémoussant avec très peu de discrétion.
Mar 24 Sep - 22:49
Fiche de personnage : fiche personnage Espace personnel : espace personnel Âge : 31 ans Groupe : Eindhoven
Hadès P. Gallagher
Capo Eindhoven
Bleh.
Eh beh, c'est qu'elle enchaîne, ta femme.
Tu la reconnais bien là, sa voix sèche de colère, son corps qui se raidit, et sa curieuse manie de ne pas savoir où mettre sa main qu'elle la flanque dans le creux de sa hanche, épousant parfaitement sa courbure.
Hadès, t'es dans un moment de plaisir exalté, en fait, tu l'observes tellement que tu l'écoutes à peine parler - enfin... crier. Non, rouspéter. T'as juste capté le nom du petit gars que tu tiens depuis tout à l'heure... Fidandanrick ! Drôle de prénom.
— Surprise,... je l'ai retrouvé ! Que tu modifies ta phrase en deux temps trois mouvements, fier de toi, mais là... C'est le drame.
- C’est pas ta plante, c’est un cadeau d’Hadès ! Ca doit être exactement la même, c’est fou ça ! Enfin pas si fou, il connait trop tes goûts c’est sûr ! Franchement c’est grave impressionnant !
Bon, la coordination, c'est pas encore ça visiblement. Faut apprendre à mieux vous connaître en passant du temps ensemble, avant d'envisager directement la télépathie.
— Ewww oué, comme il dit, je commence à te connaître Pip' wahaha. Tu choisis sa version, car elle est plus émotionnelle que la tienne qui paraît pragmatique à côté, ou plus sincère... même si ça reste un mensonge - et si tu peux gagner des points auprès d'elle, surtout s'ils sont distribués gratos comme actuellement, franchement tu les grappilles sec.
Pour la suite, t'écoutes pas le reste. Tu le laisses faire son speech en hochant occasionnellement la tête pour approuver ses dires, comme si tu soulignais toi-même son mensonge sans savoir ce que tu valides exactement.
Mais le petit gars, il en fait trop. Un moment, ta concentration revient sur lui et tu as arrêté d'approuver de la tête. En fait, tu te retiens de ne pas exploser de rire, car plus il s'allonge en explications, plus il s'emmêle les pinceaux et s'oblige à verbaliser sa pensée en arborescence.
T'as des choses à lui apprendre à celui-là, mais, dans ton cas, ça t'arrange plutôt pas mal que ce soit lui qui se farcit les explications. Avec toi, ça ne dure jamais plus de trois phrases et ta manie d'être bruyant, mais peu loquace a l'air de pas mal la frustrer.
— Ehw, respire mon gars, c'pas la fin du monde. Que tu fais tout bas, approchant Hendrick de toi dans un simple mouvement de ton bras accrocheur.
Ce n'est peut-être pas passé inaperçu pour Piper, elle est déjà visiblement au courant de pas mal de vos faits et gestes, alors elle l'est d'autant plus quand vous êtes surveillés. À tes yeux, au point où vous en êtes aujourd'hui, elle te fait penser à une gardienne de prison sévère, mais juste.
T'as bien envie de lui lancer des allusions salaces à ce sujet, mais tu décides d'aider ton nouvel ami à se dépatouiller, parce qu'il se dandine comme un enfant qui a envie de pisser - toi qui croyais qu'avec ton gamin qui a grandi, c'était fini, les couches...
— T'as préparer quoi Pip' ? Hop, tu détournes l'attention, change le sujet. Ça sent bon et j'ai la dalle.
Bon, si Hendrick est un mauvais menteur, toi t'es pas franchement le plus délicat d'entre tous.
Tu la reconnais bien là, sa voix sèche de colère, son corps qui se raidit, et sa curieuse manie de ne pas savoir où mettre sa main qu'elle la flanque dans le creux de sa hanche, épousant parfaitement sa courbure.
Hadès, t'es dans un moment de plaisir exalté, en fait, tu l'observes tellement que tu l'écoutes à peine parler - enfin... crier. Non, rouspéter. T'as juste capté le nom du petit gars que tu tiens depuis tout à l'heure... Fidandanrick ! Drôle de prénom.
— Surprise,... je l'ai retrouvé ! Que tu modifies ta phrase en deux temps trois mouvements, fier de toi, mais là... C'est le drame.
- C’est pas ta plante, c’est un cadeau d’Hadès ! Ca doit être exactement la même, c’est fou ça ! Enfin pas si fou, il connait trop tes goûts c’est sûr ! Franchement c’est grave impressionnant !
Bon, la coordination, c'est pas encore ça visiblement. Faut apprendre à mieux vous connaître en passant du temps ensemble, avant d'envisager directement la télépathie.
— Ewww oué, comme il dit, je commence à te connaître Pip' wahaha. Tu choisis sa version, car elle est plus émotionnelle que la tienne qui paraît pragmatique à côté, ou plus sincère... même si ça reste un mensonge - et si tu peux gagner des points auprès d'elle, surtout s'ils sont distribués gratos comme actuellement, franchement tu les grappilles sec.
Pour la suite, t'écoutes pas le reste. Tu le laisses faire son speech en hochant occasionnellement la tête pour approuver ses dires, comme si tu soulignais toi-même son mensonge sans savoir ce que tu valides exactement.
Mais le petit gars, il en fait trop. Un moment, ta concentration revient sur lui et tu as arrêté d'approuver de la tête. En fait, tu te retiens de ne pas exploser de rire, car plus il s'allonge en explications, plus il s'emmêle les pinceaux et s'oblige à verbaliser sa pensée en arborescence.
T'as des choses à lui apprendre à celui-là, mais, dans ton cas, ça t'arrange plutôt pas mal que ce soit lui qui se farcit les explications. Avec toi, ça ne dure jamais plus de trois phrases et ta manie d'être bruyant, mais peu loquace a l'air de pas mal la frustrer.
— Ehw, respire mon gars, c'pas la fin du monde. Que tu fais tout bas, approchant Hendrick de toi dans un simple mouvement de ton bras accrocheur.
Ce n'est peut-être pas passé inaperçu pour Piper, elle est déjà visiblement au courant de pas mal de vos faits et gestes, alors elle l'est d'autant plus quand vous êtes surveillés. À tes yeux, au point où vous en êtes aujourd'hui, elle te fait penser à une gardienne de prison sévère, mais juste.
T'as bien envie de lui lancer des allusions salaces à ce sujet, mais tu décides d'aider ton nouvel ami à se dépatouiller, parce qu'il se dandine comme un enfant qui a envie de pisser - toi qui croyais qu'avec ton gamin qui a grandi, c'était fini, les couches...
— T'as préparer quoi Pip' ? Hop, tu détournes l'attention, change le sujet. Ça sent bon et j'ai la dalle.
Bon, si Hendrick est un mauvais menteur, toi t'es pas franchement le plus délicat d'entre tous.
Mer 25 Sep - 22:06
Contenu sponsorisé
Permission de ce forum:
Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum