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Fiche de personnage : fiche personnage Espace personnel : espace personnel Âge : 26 ans Groupe : Maaiers
Olivia Maes 
Femme au Foyer
Ne faites pas attention au bordel...
Feat. Erwan
Mon esprit se concentre sur toutes ces sensations, qui me rendent folle… Je sens les vagues grandir doucement mais sûrement, me promettant une douce extase que j’ai hâte de ressentir. Sa bouche quitte mon sein pour ensuite se déposer sur mon torse… Juste en dessous, avant de descendre progressivement sans arrêter les divines caresses de ses doigts sur mes points les plus sensibles. Puis ses doigts s’aventurent en moi, et j’inspire profondément avant de lâcher un gémissement. Ma respiration se saccade à mesure que ses lèvres se rapprochent, et une de ses mains part remplacer sa bouche qui était sur ma poitrine. Il me stimule de tous les côtés, et je ne peux pas retenir mes gémissements. Mes doigts se renserrent dans ses cheveux pendant que mon autre main vient se mettre sur ma bouche pour étouffer les sons que je ne contrôle pas.
Pendant que son autre main continue sa douce torture en moi, l’autre s’empare de nouveau de mon sein avant de dévier ses caresses sur moi pour glisser sur ma jambe, pendant que sa bouche se rapproche dangereusement de mon point faible. Elle dessine les lignes de ma jambe, me laissant frissonnante sous lui, avant de dévier vers l’intérieur, et je ne peux pas retenir un long soupir de braver la frontière de mes lèvres, ainsi que mon corps de se cambrer. J’en veux encore… Ce n’est pas assez. Plus !
Puis sa main pousse ma jambe, me forçant à écarter d’autant plus les jambes, et j’ai un couinement de désir.
- Oh !
Ses lèvres sont si proches… Et je suis complètement offerte à ses attentions. Je crois que plus la soirée passe, moins je n’ai de secrets pour lui. Il commence à connaître mon corps par cœur… Sachant où titiller pour me faire tourner la tête. Je devrais m’inquiéter… Mais j’en suis tout simplement incapable actuellement. Je ne suis qu’un corps, rempli d’hormones et de désir pour lui, attentive à ses attentions et à tout ce qu’il arrive à me faire ressentir. Bordel ce mec est parfait… !
Ses doigts accentuent leur mouvements et je me cambre encore plus, un cri silencieux se formant sur mon visage pour finalement se libérer quand ses lèvres entrent en contact avec ma sensibilité. Bon sang ! Je ne savais pas que je ressentirais autant juste avec sa langue ! On va dire que ce n’est pas vraiment le truc que mes clients vont vouloir faire… C’est plutôt l’inverse d’habitude. Mais j’ai l’impression qu’il se satisfait de mon plaisir, et des réactions qu’il provoque chez moi. Je peux comprendre, mais c’est quand même perturbant. Les hommes comme lui sont très rare dans mon milieu. Alors je me laisse aller… J’en profite un maximum. Me disant que ce genre de coup ne m’arrivera peut-être plus jamais. Et mes doigts se serrent encore plus dans ses cheveux… mon visage déformé par le plaisir se redresse pour le regarder me dévorer. Oh merde cette vision… C’est tellement…
Mes gémissements emplissent l’espace de mon salon. Sans gêne… Sans honte… Et je ne peux retenir mon bassin de bouger avec lui, guidée par ce plaisir immense qui envahit mon corps… Et qui monte… encore… et encore…
- Ça m-monte… ! Ah ! Oui !
Il faut qu’il continue ! Comme ça ! Je sens les vagues grandir… me posséder de plus en plus… Et à mesure que mon corps se crispe, se tend… Je finis par exploser entre ses doigts et l’orgasme dure… Encore… et encore… tant qu’il continue… Il m’épuise… me vide… Et quand il me libère, je ne suis qu’un corps haletant dans les escaliers.
- Bordel… de merde…
Pendant que son autre main continue sa douce torture en moi, l’autre s’empare de nouveau de mon sein avant de dévier ses caresses sur moi pour glisser sur ma jambe, pendant que sa bouche se rapproche dangereusement de mon point faible. Elle dessine les lignes de ma jambe, me laissant frissonnante sous lui, avant de dévier vers l’intérieur, et je ne peux pas retenir un long soupir de braver la frontière de mes lèvres, ainsi que mon corps de se cambrer. J’en veux encore… Ce n’est pas assez. Plus !
Puis sa main pousse ma jambe, me forçant à écarter d’autant plus les jambes, et j’ai un couinement de désir.
- Oh !
Ses lèvres sont si proches… Et je suis complètement offerte à ses attentions. Je crois que plus la soirée passe, moins je n’ai de secrets pour lui. Il commence à connaître mon corps par cœur… Sachant où titiller pour me faire tourner la tête. Je devrais m’inquiéter… Mais j’en suis tout simplement incapable actuellement. Je ne suis qu’un corps, rempli d’hormones et de désir pour lui, attentive à ses attentions et à tout ce qu’il arrive à me faire ressentir. Bordel ce mec est parfait… !
Ses doigts accentuent leur mouvements et je me cambre encore plus, un cri silencieux se formant sur mon visage pour finalement se libérer quand ses lèvres entrent en contact avec ma sensibilité. Bon sang ! Je ne savais pas que je ressentirais autant juste avec sa langue ! On va dire que ce n’est pas vraiment le truc que mes clients vont vouloir faire… C’est plutôt l’inverse d’habitude. Mais j’ai l’impression qu’il se satisfait de mon plaisir, et des réactions qu’il provoque chez moi. Je peux comprendre, mais c’est quand même perturbant. Les hommes comme lui sont très rare dans mon milieu. Alors je me laisse aller… J’en profite un maximum. Me disant que ce genre de coup ne m’arrivera peut-être plus jamais. Et mes doigts se serrent encore plus dans ses cheveux… mon visage déformé par le plaisir se redresse pour le regarder me dévorer. Oh merde cette vision… C’est tellement…
Mes gémissements emplissent l’espace de mon salon. Sans gêne… Sans honte… Et je ne peux retenir mon bassin de bouger avec lui, guidée par ce plaisir immense qui envahit mon corps… Et qui monte… encore… et encore…
- Ça m-monte… ! Ah ! Oui !
Il faut qu’il continue ! Comme ça ! Je sens les vagues grandir… me posséder de plus en plus… Et à mesure que mon corps se crispe, se tend… Je finis par exploser entre ses doigts et l’orgasme dure… Encore… et encore… tant qu’il continue… Il m’épuise… me vide… Et quand il me libère, je ne suis qu’un corps haletant dans les escaliers.
- Bordel… de merde…
Never-UtopiaDim 14 Mai - 22:03
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- Paroles:
- Je parle en anglais en : #B71B89Je parle en français en : #B71B89Je parle en néerlandais en : #B71B89
Erwan Lloyd
Acteur à succès
Ses doigts se serrent dans mes cheveux, me tirant un frisson entre envie et satisfaction. J’aime comme elle réagit à mes attentions. J’aime comme elle me touche et me fait comprendre par ses gestes qu’elle apprécie ce que je fais. J’aime savoir que je lui procure du plaisir.
Sa voix est délicieuse. Sa façon de plaquer sa main sur sa bouche pour étouffer ses soupirs et gémissement est atrocement sexy… C’est grisant. J’ai beau l’avoir déjà vu être victime de son plaisir, j’ai l’impression que je ne me lasserait jamais de cette vision. Parce qu’à chaque fois, il y a des petites variable adorable qui me donne la sensation que mon esprit s’embrume et divague. Je peux sentir les frissons de sa peau, les spasmes dans ses muscles, les tremblements de ses jambes. C’est vraiment beaucoup trop sexy pour que je ne puisse lui résister. Elle est atrocement belle, à se laisser aller sous mes caresses…
Je ferme les yeux, inspirant pour accentuer le jeu de ma langue et de ma main. La deuxième reste appuyée sur l’intérieur de sa cuisse pour la garder ouverte et me permettre d’assurer un certain équilibre en plus d’un meilleur accès.
Elle continue de guider la danse par sa parole, me faisant comprendre de continuer sur la voix que j’emprunte sans arrêter. D’accentuer les mouvements, de poursuivre la douce torture. Et je la suis. Attentif à ses réactions, je ne m’arrête pas tant qu’elle n’a pas atteint le sommet de ses désirs pour moi.
Son corps se crispe. De plus en plus. Monte encore un peu jusqu’à exploser entre mes doigts. Je sens ses membres vibrer. Sa voix s’envole. Je ne veux pas que ça s’arrête maintenant. Elle est tellement belle… Je veux m’imprégner de ce moment encore un peu. Je ralentis progressivement le rythme sans pour autant parvenir à me détacher tout de suite, continuant de la caresser de ma langue, changeant parfois de mouvement pour provoquer un sursaut plus fort que les autres. La main sur sa cuisse perd son immobilité pour passer le long de sa jambe en une caresse. Puis, doucement, je retire d’abord mes doigts en ralentissant toujours plus le jeu de ma langue. Je lève les yeux vers elle une courte seconde avant d’abandonner son intimité dans un dernier baiser.
Je me redresser pour la regarder de toute ma hauteur et reprendre une grande inspiration. Elle articule doucement une phrase, haletante et un sourire fier autant que satisfait se dessine sur mon visage. Je souffle encore un coup, passant une main dans mes cheveux pour les renvoyer en arrière et me déboucher la vue. Je veux mieux l’admirer. Ils me gênent. Puis mon pouce passe sensuellement sur mes lèvres pour les essuyer.
Je me penche à nouveau, appuyant mes mains sur une marche de chaque côté de son corps pour ne pas tomber, faisant contracter les muscles de mes bras et mes épaules. J’approche de son visage puis lui adresse un sourire.
- You are a vision...
C’est la seule chose qui me vient. Et je n’ai pas trouvé d’équivalent français assez rapidement. Ou du moins pas satisfaisant. Pas assez fort pour décrire ce que je ressens sur l’instant. Elle a vraiment l’air d’une œuvre d’art qui ferait se figer n’importe qui à sa simple vue. Et cette vue, elle m’est privilégiée pour ce soir. C’est assez flatteur. Je ne pouvais pas simplement lui dire qu’elle est agréable à regarder. Elle est vraiment magnifique avec sa crinière un peu en bataille, quelques cheveux encadrant son visage à cause de la sueur. Ses yeux vairons si mystérieux et perturbant pourtant brûlant d’une flamme incroyablement aguicheuse. Ses lèvres entrouvertes pour mieux respirer.
J’approche encore pour l’embrasser doucement, lui laissant la possibilité de reprendre son souffle. Puis je me décolle pour la regarder avant de jeter un œil plus haut, vers la fin des escaliers où l’étage m’est encore inconnu.
- Tu te sens de continuer la visite ?
Je lui adresse un petit air taquin. Je vois bien qu’elle est fatiguée. Moi aussi d’une certaine façon mais visiblement moins qu’elle. Je ne la forcerai pas si elle a envie de dormir. Mais j’ai bien envie de voir jusqu’où elle veut aller. Après tout, j’ai encore de l’énergie…
Olivia Maes
Mar 16 Mai - 2:59
Fiche de personnage : fiche personnage Espace personnel : espace personnel Âge : 26 ans Groupe : Maaiers
Olivia Maes
Femme au Foyer
Ne faites pas attention au bordel...
Feat. Erwan
J’ai eu combien d’orgasmes ce soir, en fait ? Je crois que j’ai arrêté de compter. Attendez… Si c’est le cinquième round… Et qu’il m’en a donné au moins un par round… J’ai donc eu minimum cinq orgasmes… Mais il me semble que j’en ai eu deux dans la chambre d’amis… Seigneur… Si cet homme était un incube, je serais morte dans ses bras, complètement vidée de mon énergie vitale. Moi qui me considérais comme un démon de la nuit et du sexe avec mon travail de prostituée… Je me suis trouvé un rival… Non mais sérieusement ! Je n’avais jamais rencontré de gars aussi attentif ! Et il m’a clairement fait comprendre qu’il n’arrêterait pas, tant que je n’ai pas eu satisfaction ! C’est quand même fou ! C’est un extraterrestre. Il ne vient clairement pas du même monde… Et je ne dis pas ça parce que c’est un acteur super connu !!
Alors me voilà, dans les escaliers de mon duplex, haletante alors qu’il se redresse. Il était long celui-là… Il était puissant… Et je suis en train de me demander si ce n’est pas moi qui ai pris le plus de plaisir ce soir… J’ai dû mal à réfléchir… Je suis complètement groggy. Nan mais regardez-moi ce sourire ! Il a l’air tellement fier de lui que j’ai envie de le frapper et de renverser la situation pour lui faire perdre la tête à mon tour. Ok Olivia… On se calme… C’est pas une compétition. La compète, c’étaient les cocktails. Je reprends doucement ma respiration et l’observe alors qu’il dégage ses cheveux de son visage. Tss. Crâneur. Il passe son pouce sur ses lèvres d’une manière si sexy que ça devrait être autant illégal que les actions de la mafia. Aaaaah, j’ai envie de lui faire ravaler sa fierté en reprenant le contrôle ! Oui, t’es incroyablement beau ! Oui, tu es très doué ! Et oui, tu m’as donné plus d’orgasme que je n’ai eu dans ma vie jusqu’à maintenant ! Et ça m’énerve ! ...Mais en même temps, pas vraiment.
Il approche son visage du mien en souriant, avant de repasser en anglais pour me complimenter et un sourire en coin se dessine sur mon visage. Oooh ? Il n’avait pas d’équivalent en français ? C’est vraiment qu’elle est compliquée à traduire celle-là… Mmh… Peut-être… Tu es ravissante ? Tu es captivante ? Tu es un beau spectacle ? Mouais… Pas ouf. Il se penche d’avantage et ma main glisse sur sa joue alors qu’il vient déposer doucement ses lèvres sur les miennes pendant que mes paupières se ferment. C’était si doux. Si tendre. Et j’avoue que ça me perturbe un peu, mais je ne m’attarde pas plus sur cette sensation peu familière.
- Tu te sens de continuer la visite ?
Bordel mais il se fatigue jamais ?! Mais… il est comme moi en fait. Lui non plus ne peut pas se retenir. Je devrais dire non, et dire que je suis fatiguée. Mais… Il a suffi de voir ce sourire après cette question pleine de promesses pour que mon corps se réveille à nouveau ! J’aime le sexe, ce n’est pas un scoop. J’aurais beaucoup de mal avec mon métier principal si ce n’était pas le cas… Mais là… Il va me faire devenir nymphomane !!
Et malgré tout ça… Je me redresse avec lui, attrape sa main pour le tirer en haut des escaliers, pour rejoindre le lit et le pousser dessus avant de le chevaucher…
La lumière du soleil qui se fraye un chemin à travers les rideaux de la baie vitrée me réveille, et la première chose que je fais me tire une grimace de douleur. Bon sang… depuis quand s’étirer est si douloureux… ? Je crois que j’ai des courbatures partout… Et… quelque chose qui m’enserre la taille. Je tourne la tête pour voir le visage endormi d’Erwan et j’avoue que je bug un peu. On est… dans ma chambre. Pas dans la chambre d’amis. Et on l’a fait ici. Je me souviens que c’est moi qui ai pris les rênes pour le dernier round… Je voulais lui faire perdre la tête à lui aussi. Et puis on s’est endormis comme des masses après. Je pousse un soupir. Bravo Olivia… Tu enchaînes erreur après erreur avec lui… C’est pas possible… Et en même temps… je ne réfléchis plus correctement quand je suis avec lui. Mon regard se pose de nouveau sur son visage et une envie de glisser mes doigts dans ses cheveux pour les dégager de son visage se fraye de mon esprit. Mais je me retiens. Arrête de faire des erreurs. N’oublie pas. Ne pas s’attacher. Ne jamais s’attacher.
Alors… Délicatement, je me tortille pour quitter ses bras sans le réveiller. J’attrape mon kimono en soie noire préféré et descends silencieusement les escaliers pour aller dans la cuisine et commencer à préparer quelque chose pour le petit déjeuner. Mais quand je vois mon bar… J’ai un flashback de la soirée dernière. Merde… C’était vraiment incroyable.
Alors me voilà, dans les escaliers de mon duplex, haletante alors qu’il se redresse. Il était long celui-là… Il était puissant… Et je suis en train de me demander si ce n’est pas moi qui ai pris le plus de plaisir ce soir… J’ai dû mal à réfléchir… Je suis complètement groggy. Nan mais regardez-moi ce sourire ! Il a l’air tellement fier de lui que j’ai envie de le frapper et de renverser la situation pour lui faire perdre la tête à mon tour. Ok Olivia… On se calme… C’est pas une compétition. La compète, c’étaient les cocktails. Je reprends doucement ma respiration et l’observe alors qu’il dégage ses cheveux de son visage. Tss. Crâneur. Il passe son pouce sur ses lèvres d’une manière si sexy que ça devrait être autant illégal que les actions de la mafia. Aaaaah, j’ai envie de lui faire ravaler sa fierté en reprenant le contrôle ! Oui, t’es incroyablement beau ! Oui, tu es très doué ! Et oui, tu m’as donné plus d’orgasme que je n’ai eu dans ma vie jusqu’à maintenant ! Et ça m’énerve ! ...Mais en même temps, pas vraiment.
Il approche son visage du mien en souriant, avant de repasser en anglais pour me complimenter et un sourire en coin se dessine sur mon visage. Oooh ? Il n’avait pas d’équivalent en français ? C’est vraiment qu’elle est compliquée à traduire celle-là… Mmh… Peut-être… Tu es ravissante ? Tu es captivante ? Tu es un beau spectacle ? Mouais… Pas ouf. Il se penche d’avantage et ma main glisse sur sa joue alors qu’il vient déposer doucement ses lèvres sur les miennes pendant que mes paupières se ferment. C’était si doux. Si tendre. Et j’avoue que ça me perturbe un peu, mais je ne m’attarde pas plus sur cette sensation peu familière.
- Tu te sens de continuer la visite ?
Bordel mais il se fatigue jamais ?! Mais… il est comme moi en fait. Lui non plus ne peut pas se retenir. Je devrais dire non, et dire que je suis fatiguée. Mais… Il a suffi de voir ce sourire après cette question pleine de promesses pour que mon corps se réveille à nouveau ! J’aime le sexe, ce n’est pas un scoop. J’aurais beaucoup de mal avec mon métier principal si ce n’était pas le cas… Mais là… Il va me faire devenir nymphomane !!
Et malgré tout ça… Je me redresse avec lui, attrape sa main pour le tirer en haut des escaliers, pour rejoindre le lit et le pousser dessus avant de le chevaucher…
***
La lumière du soleil qui se fraye un chemin à travers les rideaux de la baie vitrée me réveille, et la première chose que je fais me tire une grimace de douleur. Bon sang… depuis quand s’étirer est si douloureux… ? Je crois que j’ai des courbatures partout… Et… quelque chose qui m’enserre la taille. Je tourne la tête pour voir le visage endormi d’Erwan et j’avoue que je bug un peu. On est… dans ma chambre. Pas dans la chambre d’amis. Et on l’a fait ici. Je me souviens que c’est moi qui ai pris les rênes pour le dernier round… Je voulais lui faire perdre la tête à lui aussi. Et puis on s’est endormis comme des masses après. Je pousse un soupir. Bravo Olivia… Tu enchaînes erreur après erreur avec lui… C’est pas possible… Et en même temps… je ne réfléchis plus correctement quand je suis avec lui. Mon regard se pose de nouveau sur son visage et une envie de glisser mes doigts dans ses cheveux pour les dégager de son visage se fraye de mon esprit. Mais je me retiens. Arrête de faire des erreurs. N’oublie pas. Ne pas s’attacher. Ne jamais s’attacher.
Alors… Délicatement, je me tortille pour quitter ses bras sans le réveiller. J’attrape mon kimono en soie noire préféré et descends silencieusement les escaliers pour aller dans la cuisine et commencer à préparer quelque chose pour le petit déjeuner. Mais quand je vois mon bar… J’ai un flashback de la soirée dernière. Merde… C’était vraiment incroyable.
Mer 17 Mai - 16:13
- Paroles:
- Je parle en anglais en : #B71B89Je parle en français en : #B71B89Je parle en néerlandais en : #B71B89
Erwan Lloyd
Acteur à succès
Olivia se redresse après avoir repris sa respiration. Elle me tire à elle, me faisant gravir les marches. Très vite, elle me pousse sur le lit pour prendre le dessus. Et je me laisse aller.
***
J’inspire par le nez en grommelant légèrement. J’ai sentit du mouvement dans mes bras. Puis plus rien. Et après, j’ai commencé à sentir mes paupières me chatouiller. J’inspire encore un peu en m’étirant. Je sens les muscles de mes bras se contracter un peu. J’ai une légère gène dans les épaules et dans les jambes mais rien de très inquiétant. Je pense que d’ici la fin de la journée les petites courbatures seront déjà partie. Peut-être même d’ici quelques heures si je fais quelques étirement. Merci le sport régulier, maintenant mon corps n’a pas de soucis à faire des efforts physique et ne pas en être très affecté.
J’ouvre enfin les yeux. Un d’abord, puis le deuxième. J’observe un peu les rayons de soleil qui entrent par les fentes des rideaux et décale ma tête pour ne plus avoir de lumière dans les yeux. La place est vide à côté de moi, visiblement mon hôte est déjà levée. Je me tourne pour tomber sur mon dos et observer le plafond. J’ai des petites souvenirs d’hier soir qui reviennent immédiatement dans ma tête. C’était vraiment… woa. Henry me ferait une crise mais bon, il n’est pas obligé d’être au courant.
Je me redresse pour m’asseoir sur le lit et étire à nouveau mes bras, les joignant vers l’avant et faisant courber mon dos. Bon, il va falloir se lever hein ? Je cherche un peu autour du lit puis me souviens que mes vêtements sont en bas. Ah. Merde… Bon heu… Je regarde autour de moi mais ne vois pas d'armoire. Hm, sûrement un dressing donc. Je me lève et me dirige vers une porte pour l'ouvrir mais tombe sur une salle d'eau. Bon, celle d'à côté alors. Je test et tombe sur le dressing de mon hôte. Elle m'en voudra pas de lui emprunter quelques vêtements, elle l'a bien fais avec moi après tout ! Je commence donc à fouiller un peu sans lui faire trop de bazar. J’ai bien envie de lui piquer un tee-shirt et une culotte mais heum… comment dire. C’est pas trop ça niveau carrure. Je vais plutôt essayer de trouver un truc de type jupe.
Quand je mets la main sur ce que je cherche, je vérifie le tissu. C’est élastique ! Ça devrait passer, ouaiiiiiis. Bon ça c’est fait. Et maintenant une écharpe. OH ! Oh celle là est fabuleuse, ça ira parfaitement -non- avec la jupe ! Je prends délicatement une magnifique écharpe blanche en plume toutes fines je la passe sur mes épaules puis la lance d’une main, dans un mouvement théâtrale dramatique pour qu’elle fasse le tour. Bon ben je suis parfais là ! La jupe me serre un peu mais ça va. Ça fera l’affaire, c’est juste pour descendre et pas qu’on me voit à poil par ses baies vitrées géantes là.
Je dévale donc les escaliers avec une certaine prudence pour ne pas abîmer la jupe. Puis j’aperçois Olivia dans la cuisine un kimono autour de son corps. J’ai un petit sourire. Elle est jolie habillée ainsi. Puis je reprends un peu mon énergie habituelle et pose une main sur ma hanche.
- Salut Olivia ! Bien dormi ?
Olivia Maes
Mer 17 Mai - 20:01
Fiche de personnage : fiche personnage Espace personnel : espace personnel Âge : 26 ans Groupe : Maaiers
Olivia Maes
Femme au Foyer
Ne faites pas attention au bordel...
Feat. Erwan
Il faut que je me recentre… que je me concentre sur ce que je fais. Le petit dej. Qu’est-ce que je pourrais faire ? Je ne sais même pas ce qu’il mange pour le petit déjeuner… Au pire, je fais de tout ? Du sucré et du salé. J’inspire profondément et commence à fouiller dans ma cuisine ce que je pourrais faire. J’ai du fromage… du bacon aussi… Des œufs, bien sûr. Et je peux faire des tartines avec de la confiture. C’est pas mal déjà ? On tient quelque chose. Je suis pas la meilleure cuisinière qui existe, mais si c’est ça, je peux me débrouiller pour faire quelque chose de pas trop horrible. J’espère qu’il n’est pas le genre d’acteur super exigeant… Enfin… Vu comme il a fini le café du Zygomar… Je pense pas qu’il le soit. À cette pensée, j’ai un petit sourire alors que je commence à m’affairer dans la cuisine pour mettre à cuire le bacon, et lancer les œufs que je vais faire en œufs brouillés.
Ce café est tellement immonde… J’arrive pas à croire qu’Hendrick n’a pas pensé à lui épargner ça alors que c’est visiblement son acteur préféré. Sérieusement… Il aurait pu demander à un collègue d’aller au Starbucks ! Il est pas si loin du commissariat en plus. C’est quand même amusant de voir comme il peut perdre ses moyens dès qu’il est touché par quelque chose.
Je me décale pour attraper les toasts et les mettre dans le grille-pain, avant de revenir sur mes cuissons. J’attrape rapidement une assiette pour y glisser le bacon cuit, ainsi que la première fournée d’œufs brouillés que je réserve, mettant un couvercle pour garder la chaleur du plat. Puis j’attrape de nouveaux œufs et d’autres tranches de bacons pour recommencer, et à ce moment-là, j’entends quelqu’un descendre les escaliers.
Je tourne la tête, et mes mouvements se figent.
…
- Salut Olivia ! Bien dormi ?
Mon regard le détaille des pieds à la tête… et de la tête aux pieds, une expression de choc bloquée sur mes traits. Une de mes jupes noires au tissu élastique, bien trop serrée pour lui… son torse nu, à moitié couvert par mon écharpe à plumes blanches. Et cette position… Visiblement très fier de ce qu’il vient de faire. Et à cette vue, je ne peux tout simplement pas me retenir. Mon regard s’illumine, juste avant que je n’explose de rire. Et je me tourne pour enfouir mon visage dans mon coude et essayer de calmer mon fou rire. Mais sérieusement ! Pourquoi il a fait ça ?! Il pouvait pas juste se rhabiller normalement ? Je ne lui en veux pas d’avoir fouiller dans mon dressing, j’ai fait la même chose après tout, mais quand même ! Une femme avec des vêtements d’homme trop grands pour elle et un homme avec des vêtements de femme trop petits pour lui, ça ne renvoie pas vraiment la même image !! Ce mec est fou !
Il faut que j’arrête de le regarder, sinon je vais cramer mon bacon et mes œufs brouillés. Puis les toasts sortent subitement, me faisant sursauter au passage. Bon sang ! Et la seule chose que je fais, c’est m’accroupir dans la cuisine, me tenant au bords du plan de travail, sans cessé de rire.
Ce café est tellement immonde… J’arrive pas à croire qu’Hendrick n’a pas pensé à lui épargner ça alors que c’est visiblement son acteur préféré. Sérieusement… Il aurait pu demander à un collègue d’aller au Starbucks ! Il est pas si loin du commissariat en plus. C’est quand même amusant de voir comme il peut perdre ses moyens dès qu’il est touché par quelque chose.
Je me décale pour attraper les toasts et les mettre dans le grille-pain, avant de revenir sur mes cuissons. J’attrape rapidement une assiette pour y glisser le bacon cuit, ainsi que la première fournée d’œufs brouillés que je réserve, mettant un couvercle pour garder la chaleur du plat. Puis j’attrape de nouveaux œufs et d’autres tranches de bacons pour recommencer, et à ce moment-là, j’entends quelqu’un descendre les escaliers.
Je tourne la tête, et mes mouvements se figent.
…
- Salut Olivia ! Bien dormi ?
Mon regard le détaille des pieds à la tête… et de la tête aux pieds, une expression de choc bloquée sur mes traits. Une de mes jupes noires au tissu élastique, bien trop serrée pour lui… son torse nu, à moitié couvert par mon écharpe à plumes blanches. Et cette position… Visiblement très fier de ce qu’il vient de faire. Et à cette vue, je ne peux tout simplement pas me retenir. Mon regard s’illumine, juste avant que je n’explose de rire. Et je me tourne pour enfouir mon visage dans mon coude et essayer de calmer mon fou rire. Mais sérieusement ! Pourquoi il a fait ça ?! Il pouvait pas juste se rhabiller normalement ? Je ne lui en veux pas d’avoir fouiller dans mon dressing, j’ai fait la même chose après tout, mais quand même ! Une femme avec des vêtements d’homme trop grands pour elle et un homme avec des vêtements de femme trop petits pour lui, ça ne renvoie pas vraiment la même image !! Ce mec est fou !
Il faut que j’arrête de le regarder, sinon je vais cramer mon bacon et mes œufs brouillés. Puis les toasts sortent subitement, me faisant sursauter au passage. Bon sang ! Et la seule chose que je fais, c’est m’accroupir dans la cuisine, me tenant au bords du plan de travail, sans cessé de rire.
Ven 19 Mai - 15:46
- Paroles:
- Je parle en anglais en : #B71B89Je parle en français en : #B71B89Je parle en néerlandais en : #B71B89
Erwan Lloyd
Acteur à succès
Enfin bref, j’interpelle Olivia pour lui demander si elle a bien dormi alors qu’elle s’active dans sa cuisine. Une main sur la hanche et l’autre qui lui fait un petit signe. Elle se tourne vers moi et ses yeux tombent à mes pieds pour remonter jusqu’à ma tête puis refaire le trajet en sens inverse. On dirait presque un scan de robot. C’est bon, elle ne m’a pas identifié comme une menace ? Ça a l’air ok. Elle ne vient pas vers moi en répétant « exterminate » après tout !
Son expression passe de la surprise au choc. Puis du choc à l’amusement. Et de l’amusement elle éclate carrément de rire. Ben quoi ? Je me penche légèrement en avant en baissant la tête pour vérifier que la jupe est parfaitement mise avec un sourire amusé. Et bien alors ? Elle est nickel cette jupe, elle me va comme un gant ! Je ne vois pas pourquoi elle rigole. Je me redresse, posant mes deux poings sur mes hanches en la regardant cacher son visage dans son coude.
- Hé hé hé.
Des toasts bondissent hors du grille-pain dans un bruit métallique et Olivia saute en même temps qu’eux. Je pouffe un peu à sa réaction. C’est super cute, quand même. Elle n’arrête pas de rire, elle a même besoin de s’accroupir en restant accrochée au plan de travail comme si elle risquait de perdre l’équilibre à tout moment. Je me regarde un peu, repassant ma main à l’écharpe pour m’amuser un peu avec.
- Je t’aurais bien piqué un haut et un string histoire qu’on soit à égalité mais… Je ne sais pas pourquoi je n’ai pas réussi à en enfiler. J’ai dû improviser, tu vois ?
Puis je sens une odeur qui commence à être un peu trop griller. Sans réfléchir, je me mets à trottiner sur demi-pointe restreignant la longueur de mes pas pour ne pas détruire sa jupe. Dans ma main, je fais tournoyer le bout de l’écharpe comme un hélicoptère, comme si ça m’aiderait à aller plus vite.
- Le bacon décède !!, m’écriai-je en me précipitant autant que me laisse la jupe vers les fourneaux.
Olivia Maes
Sam 20 Mai - 19:55
Fiche de personnage : fiche personnage Espace personnel : espace personnel Âge : 26 ans Groupe : Maaiers
Olivia Maes
Femme au Foyer
Ne faites pas attention au bordel...
Feat. Erwan
Cette situation est surréaliste ! On m’aurait dit que je me serais un jour retrouvée face à un beau gosse qui porte une de mes jupes les plus moulantes, avec un boa de plumes autour du cou, je ne l’aurais jamais cru ! Et je ne peux tout simplement pas m’empêcher de rire, me maintenant au comptoir de ma cuisine pour ne pas tomber au sol. Je n’arrive pas à me calmer, et son air fier ainsi que les toast qui bondissent dans le grille-pain, ne m’aident en rien !
- Je t’aurais bien piqué un haut et un string histoire qu’on soit à égalité mais… Je ne sais pas pourquoi je n’ai pas réussi à en enfiler. J’ai dû improviser, tu vois ?
Et je ris de plus belle ! Pas besoin de le voir pour l’imaginer sans problème. Effectivement ! Ça ne m’étonne pas qu’il n’ai pas réussi à enfiler un de mes strings ! Il ne rentrerait jamais là-dedans ! Et concernant mes hauts, il les aurait juste déformés ! Et je ne vais pas mentir, j’y tiens un peu ! Alors je suis contente qu’il n’ait pas forcé. Il doit certainement bien le comprendre, après tout, il a, lui aussi, un métier qui se base énormément sur son physique.
- Je vois très bien ! Haha !
Mon ventre me fait mal, et les contractions du rire réveillent toutes mes courbatures ! Bon sang j’ai mal ! Mais en même temps, ça fait tellement de bien ! C’était quand la dernière fois que j’ai ris autant ? Je crois que ça remonte tellement que je ne m’en souviens pas… Est-ce que c’était avec ma famille d’accueil ? … Avec ma mère ?… Je ne sais plus.
Je commence à reprendre mes esprits, me redressant, et c’est là que je le vois s’approcher en trottinant autant que le permet ma jupe tout en faisant tournoyer l’écharpe entre ses doigts.
- Le bacon décède !!
Oh non là c’est trop ! Mon rire repart de plus belle, et je dois sortir de la cuisine pour respirer un peu.
- Mon dieu… les paparazzis donneraient des milliers pour un cliché de ce moment !
Rapidement, je passe ma main sous mes yeux pour essuyer mes larmes de rire avant de me tourner vers lui. J’avoue qu’il me surprend énormément… Ce n’est pas vraiment le genre d’attitude que j’imaginerais d’un acteur ultra connu. Comment dire… J’ai l’impression de bien plus me prendre au sérieux que lui… alors que je suis moins légitime de le faire. Je ne suis qu’une pauvre orpheline endettée jusqu’au cou. J’inspire profondément, calmant enfin mon fou-rire, avant de revenir dans la cuisine pour reprendre le contrôle de ma préparation de petit-déjeuner. Je le contourne, ma main glissant le long de ses reins pour récupérer l’ustensile de ses mains.
- Laisse moi faire… Vas récupérer tes vêtements et t’habiller. Plus longtemps tu restes dans ma jupe, plus tu vas me la déformer. Et ça m’ennuierait un peu…
- Je t’aurais bien piqué un haut et un string histoire qu’on soit à égalité mais… Je ne sais pas pourquoi je n’ai pas réussi à en enfiler. J’ai dû improviser, tu vois ?
Et je ris de plus belle ! Pas besoin de le voir pour l’imaginer sans problème. Effectivement ! Ça ne m’étonne pas qu’il n’ai pas réussi à enfiler un de mes strings ! Il ne rentrerait jamais là-dedans ! Et concernant mes hauts, il les aurait juste déformés ! Et je ne vais pas mentir, j’y tiens un peu ! Alors je suis contente qu’il n’ait pas forcé. Il doit certainement bien le comprendre, après tout, il a, lui aussi, un métier qui se base énormément sur son physique.
- Je vois très bien ! Haha !
Mon ventre me fait mal, et les contractions du rire réveillent toutes mes courbatures ! Bon sang j’ai mal ! Mais en même temps, ça fait tellement de bien ! C’était quand la dernière fois que j’ai ris autant ? Je crois que ça remonte tellement que je ne m’en souviens pas… Est-ce que c’était avec ma famille d’accueil ? … Avec ma mère ?… Je ne sais plus.
Je commence à reprendre mes esprits, me redressant, et c’est là que je le vois s’approcher en trottinant autant que le permet ma jupe tout en faisant tournoyer l’écharpe entre ses doigts.
- Le bacon décède !!
Oh non là c’est trop ! Mon rire repart de plus belle, et je dois sortir de la cuisine pour respirer un peu.
- Mon dieu… les paparazzis donneraient des milliers pour un cliché de ce moment !
Rapidement, je passe ma main sous mes yeux pour essuyer mes larmes de rire avant de me tourner vers lui. J’avoue qu’il me surprend énormément… Ce n’est pas vraiment le genre d’attitude que j’imaginerais d’un acteur ultra connu. Comment dire… J’ai l’impression de bien plus me prendre au sérieux que lui… alors que je suis moins légitime de le faire. Je ne suis qu’une pauvre orpheline endettée jusqu’au cou. J’inspire profondément, calmant enfin mon fou-rire, avant de revenir dans la cuisine pour reprendre le contrôle de ma préparation de petit-déjeuner. Je le contourne, ma main glissant le long de ses reins pour récupérer l’ustensile de ses mains.
- Laisse moi faire… Vas récupérer tes vêtements et t’habiller. Plus longtemps tu restes dans ma jupe, plus tu vas me la déformer. Et ça m’ennuierait un peu…
Mer 24 Mai - 22:31
- Paroles:
- Je parle en anglais en : #B71B89Je parle en français en : #B71B89Je parle en néerlandais en : #B71B89
Erwan Lloyd
Acteur à succès
J’attrape le manche de la poêle et la soulève d’un coup pour le mettre hors des plaques. Ça commence à vraiment sentir le cochon grillé cette affaire ! Je tourne la tête vers mon hôte, l’air un peu hagard sans savoir quoi faire d’autre avec ce truc pendant qu’elle essaye de se calme. Elle souffle puis passe ses doigts sous ses yeux. Ah ouais elle a tellement rigolé qu’elle en pleure ? Je devrais lui piquer des affaires plus souvent moi.
Quand elle arrive enfin à se calmer, elle revient enfin dans sa cuisine pour venir me sauver de son bacon des ténèbres là. Je sens ses doigts fins glisser dans le bas de mon dos et j’ai un petit frisson. Je hausse un sourcils. Hmhm ? Je suis pas trop dans le mood là tout de suite, j’avoue que mon esprit est un peu plus focalisé sur la bouffe a sauver. Mais je ne nie pas que mon corps a eu une petite vibration à son toucher.
Elle récupère sa poêle pour reprendre sa cuisine en main en me disant qu’elle s’en occupe.
- Vas récupérer tes vêtements et t’habiller. Plus longtemps tu restes dans ma jupe, plus tu vas me la déformer. Et ça m’ennuierait un peu…
- C’est vrai que ça serait dommage de l’abîmer...
D’abord ma voix est un peu soucieuse avant que mon expression change. Je glisse un doigt sous son menton pour lui faire relever la tête vers moi, adoptant un sourire charmeur.
- Mais avoue que je suis très attirant vêtu ainsi.
Je fais glisser le bout de son écharpe en plume sur sa joue, juste pour l’embêter. Puis je m’éloigne un peu. Bon où sont mes fringues ? On a dû les balancer un peu partout dans la pièce hier et j’avoue que je me souviens pas spécialement des endroits. Je commence à lorgner les coins de l’appart pour essayer de les trouver.
Olivia Maes
Mer 24 Mai - 23:27
Fiche de personnage : fiche personnage Espace personnel : espace personnel Âge : 26 ans Groupe : Maaiers
Olivia Maes
Femme au Foyer
Ne faites pas attention au bordel...
Feat. Erwan
Quand je le vois, complètement perdu avec la poêle dans les mains, je me rends compte que les célébrités qui ne savent pas cuisiner ne sont peut-être pas vraiment un mythe, mais probablement bien la réalité. J’ai peut-être été trompée par sa simplicité ? Quand on le voit, là, on n’imaginerait pas qu’il est un acteur super populaire avec une cuillère en cristal dans la bouche…
J’attrape donc la poêle pour prendre la relève, lui indiquant d’aller se rhabiller pour éviter d’abîmer ma jupe. Ce n’est pas ma préférée, mais ce serait jeter l’argent par les fenêtres que de la jeter juste parce qu’elle ne me va plus à cause de sa plaisanterie. Ou alors je la lui donne~ Et il pourra la mettre à d’autres occasions ! Hihi ! Nan, je plaisante ! Alors que j’éteins le feu de la plaque de cuisson, déposant le bacon dans l’assiette libre avant de faire de même avec les œufs brouillés, son petit ton soucieux quand il acquiesce me fait doucement sourire. Mais reprenant soudainement un air charmeur et joueur, son doigt glisse sous mon menton pour attirer mon regard dans le sien.
- Mais avoue que je suis très attirant vêtu ainsi.
Il fait glisser les plumes de l’écharpe le long de ma joue et mon sourire s’élargit. Cet homme est un enfant. Actuellement, il me fait un peu penser à Johannes. Ce sourire, cette manière de séduire en taquinant, sans avoir honte de montrer sa fierté. Je crois que j’attire les hommes ayant de l’égo. Tu me diras, ce n’est pas si étonnant que ça.
Il s’éloigne et j’ai un petit rire.
- J’avoue, j’avoue. J’hésite même à t’emmener avec moi ce soir pour faire ma tournée des bars~ Je suis sûre que tu ferais carton plein~
Je me tourne vers lui, pendant qu’il cherche ses vêtements, et quand je croise son regard, je lui fais un clin d’œil. C’est une blague bien sûr. Jamais je ne l’emmènerai faire le trottoir avec moi. Il attirerait bien trop l’attention. Et puis, je sais qu’il est contre cette facette du monde. C’est un super-héros féministe après tout. Ce serait complètement incompréhensible qu’il accepte, même pour la blague.
Le petit-déjeuner étant prêt, je m’étire un peu, et grimace de douleur en sentant mes courbatures lancer. Maintenant que j’y pense… Je vais trinquer ce soir… Je passe ma main sur mon visage. Quelle erreur de le faire autant de fois hier, alors que je suis obligée d’enchaîner ce soir… Et les douleurs ne seront pas parties d’ici-là…
J’ouvre mon réfrigérateur pour sortir le beurre et les quelques pots de confiture que j’ai. Fraise… cerise… orange et mirabelle. Et pose le tout sur le bar qui me sert de table à manger. J’apporte les deux assiettes, prenant par réflexe celle où le bacon à un peu trop grillé.
- C’est prêt. N’hésite pas si tu veux que je te fasse un thé… ou un café.
Je me retourne pour aller à la machine à café, et attrape une capsule de capuccino pour me préparer ma boisson du matin. Peut-être que je devrais envoyer un message à Ewen… et dire que je ne vais pas pouvoir venir ce soir ? Ouais… Je pense que c’est mieux. La main posée sur la machine, mon esprit vagabonde, repensant à ce qu’on a fait hier soir, et j’avoue que ça me perturbe assez. Oui, j’ai bu de l’alcool, mais pas autant qu’à notre rencontre. J’aurais dû pouvoir mieux me contrôler… Mais il y a un truc chez lui… Je n’arrive pas à savoir si c’est son physique si attirant où si c’est autre chose… Mmh… Certainement son physique qui me rend si faible. Je n’ai qu’à voir son torse pour avoir envie de le toucher… J’inspire profondément. Il faut que je me reprenne, c’est censé être l’inverse, c’est lui qui ne devrait pas résister à l’envie de me toucher en me voyant !
Une fois mon café prêt, je l’apporte pour le déposer près de mon assiette, et avant de m’installer, j’interroge Erwan du regard pour savoir s’il veut que je lui en fasse un aussi.
J’attrape donc la poêle pour prendre la relève, lui indiquant d’aller se rhabiller pour éviter d’abîmer ma jupe. Ce n’est pas ma préférée, mais ce serait jeter l’argent par les fenêtres que de la jeter juste parce qu’elle ne me va plus à cause de sa plaisanterie. Ou alors je la lui donne~ Et il pourra la mettre à d’autres occasions ! Hihi ! Nan, je plaisante ! Alors que j’éteins le feu de la plaque de cuisson, déposant le bacon dans l’assiette libre avant de faire de même avec les œufs brouillés, son petit ton soucieux quand il acquiesce me fait doucement sourire. Mais reprenant soudainement un air charmeur et joueur, son doigt glisse sous mon menton pour attirer mon regard dans le sien.
- Mais avoue que je suis très attirant vêtu ainsi.
Il fait glisser les plumes de l’écharpe le long de ma joue et mon sourire s’élargit. Cet homme est un enfant. Actuellement, il me fait un peu penser à Johannes. Ce sourire, cette manière de séduire en taquinant, sans avoir honte de montrer sa fierté. Je crois que j’attire les hommes ayant de l’égo. Tu me diras, ce n’est pas si étonnant que ça.
Il s’éloigne et j’ai un petit rire.
- J’avoue, j’avoue. J’hésite même à t’emmener avec moi ce soir pour faire ma tournée des bars~ Je suis sûre que tu ferais carton plein~
Je me tourne vers lui, pendant qu’il cherche ses vêtements, et quand je croise son regard, je lui fais un clin d’œil. C’est une blague bien sûr. Jamais je ne l’emmènerai faire le trottoir avec moi. Il attirerait bien trop l’attention. Et puis, je sais qu’il est contre cette facette du monde. C’est un super-héros féministe après tout. Ce serait complètement incompréhensible qu’il accepte, même pour la blague.
Le petit-déjeuner étant prêt, je m’étire un peu, et grimace de douleur en sentant mes courbatures lancer. Maintenant que j’y pense… Je vais trinquer ce soir… Je passe ma main sur mon visage. Quelle erreur de le faire autant de fois hier, alors que je suis obligée d’enchaîner ce soir… Et les douleurs ne seront pas parties d’ici-là…
J’ouvre mon réfrigérateur pour sortir le beurre et les quelques pots de confiture que j’ai. Fraise… cerise… orange et mirabelle. Et pose le tout sur le bar qui me sert de table à manger. J’apporte les deux assiettes, prenant par réflexe celle où le bacon à un peu trop grillé.
- C’est prêt. N’hésite pas si tu veux que je te fasse un thé… ou un café.
Je me retourne pour aller à la machine à café, et attrape une capsule de capuccino pour me préparer ma boisson du matin. Peut-être que je devrais envoyer un message à Ewen… et dire que je ne vais pas pouvoir venir ce soir ? Ouais… Je pense que c’est mieux. La main posée sur la machine, mon esprit vagabonde, repensant à ce qu’on a fait hier soir, et j’avoue que ça me perturbe assez. Oui, j’ai bu de l’alcool, mais pas autant qu’à notre rencontre. J’aurais dû pouvoir mieux me contrôler… Mais il y a un truc chez lui… Je n’arrive pas à savoir si c’est son physique si attirant où si c’est autre chose… Mmh… Certainement son physique qui me rend si faible. Je n’ai qu’à voir son torse pour avoir envie de le toucher… J’inspire profondément. Il faut que je me reprenne, c’est censé être l’inverse, c’est lui qui ne devrait pas résister à l’envie de me toucher en me voyant !
Une fois mon café prêt, je l’apporte pour le déposer près de mon assiette, et avant de m’installer, j’interroge Erwan du regard pour savoir s’il veut que je lui en fasse un aussi.
Jeu 25 Mai - 15:50
- Paroles:
- Je parle en anglais en : #B71B89Je parle en français en : #B71B89Je parle en néerlandais en : #B71B89
Erwan Lloyd
Acteur à succès
- J’avoue, j’avoue. J’hésite même à t’emmener avec moi ce soir pour faire ma tournée des bars~ Je suis sûre que tu ferais carton plein~
Hm ? Je me retourne, interpellé par sa phrase et elle me fait un clin d’œil. M’emmener avec elle, hein ? J’ai un petit sourire amusé. Haaaaan nan la pauvre, je lui ferai de l ombre si je viens voyons ! Je lui affiche une expression joueuse, entrant dans son jeu en hochant la tête. Bien sûr que je ferai un carton plein !
- Ok mais seulement si tu me maquilles ! Et je te préviens, je vais te piquer tout tes clients !
Bien entendu que je rentre dans son jeu et que c’est des blagues. Je ne compte certainement pas l’accompagner dans son métier. Si l’histoire de fait savoir et s’ébruite s’en est finit de moi et ma réputation. Ça peut aller très vite la presse. Et l’image d’une personne peut passer de « piédestal » à « va crever » en deux temps trois mouvements. Il suffit d’une bonne tempête médiatique avec une vraie connerie de la personne… Ou même parfois c’est juste des coups montés. Mais bon, dès que les journaux s’en mêlent c’est souvent compliqué…
Enfin bref, l’idée de me voir maquiller comme Olivia me fait tout de même vachement rire. Je me demande si ça m’irait bien, d’ailleurs.
Bon après, j’avoue que j’aurais jamais imaginé blaguer sur ce sujet là. C’est pas trop dans mes habitudes. Mais avec Olivia… Je sais pas. Ça m’est venu naturellement.
Je continue ma recherche de vêtements et rassemble petit à petit l’ensemble. Ensuite je m’en vais me dissimuler dans la chambre d’amis -oui parce que bon même si y a certains rideaux tirés, les baies vitrés me mettent pas trop à l’aise- pour me changer. Mais je garde quand même l’écharpe. Elle va super bien avec mon look, après tout !
En ressortant, mon hôte m’informe que le petite déjeuné est prêt et je la rejoins.
- C’est prêt. N’hésite pas si tu veux que je te fasse un thé… ou un café.
Elle me laisse même pas le temps de répondre qu’elle s’en va à sa machine à café pour se faire une petite boisson. Hey beh, heureusement que j’en veux pas spécialement ce matin. Je pose mon menton dans ma paume de main, reposant mon coude sur la table pour la regarder s’affairer autour de sa machine. Elle est rigolote. C’est mignon comme elle veut bien faire en tant que hôte mais qu’elle fait pleins de petits trucs un peu bizarre et qui ferait criser ma tata de France. Enfin moi ça me dérange pas. C’est déjà assez surréaliste d’avoir passé la nuit chez elle et de me retrouver à partager le petit déjeuner.
Lorsqu’elle revient pour m’interroger du regard, je lui réponds dans un sourire.
- Hm… Thé à la menthe, t’as ?
J’aime les deux en réalité mais j’essaye de pas trop boire de café pour avoir bien ses effets quand j’ai besoin de rester éveillé à des heures indécentes.
- Oh ! Et si t’as du lait et un peu de miel ça serait goldé !
Y a pas d’heure pour boire du thé. Bon le seul truc qui me vaudrait un air de jugement de mes cher compatriote anglais c’est d’entendre que je veux foutre du lait et du miel dans un thé aromatisé à la menthe. Ouais pour eux c’est un vrai thé vert ou un truc du genre. Mais bon, que voulez vous ? Tata me faisait toujours des boissons chaudes aromatisés quand j’étais petits. Alors entre les tisanes aux remèdes miracles de son herboristerie ou bien les 25 paquets de thé et infusion en tout genre, autant dire que j’avais de quoi faire. Bref ! Ça serait sympa un petit goût sucré avec les œufs brouillés et le bacon -toujours plus d’insulte à ma patrie qui bouffe leur thé avec des gâteaux-, parce que non, je ne mangerais pas ce pain. Ah désolé mais ayant grandis avec le pain français, je peux pas en manger dans d’autre pays. C’est vraiment… pas à la hauteur de l’original on va dire. Donc même si ses pots de confitures ont l’air super bon et que j’adore les couleurs, je ne vais pas en profiter.
Olivia Maes
Mer 31 Mai - 23:22
Fiche de personnage : fiche personnage Espace personnel : espace personnel Âge : 26 ans Groupe : Maaiers
Olivia Maes
Femme au Foyer
Ne faites pas attention au bordel...
Feat. Erwan
-Ok mais seulement si tu me maquilles ! Et je te préviens, je vais te piquer tous tes clients !
J’ai bien entendu ? Je me tourne lentement vers lui, l’interrogeant du regard. Bien sûr que c’est une plaisanterie. Féministe comme il est, il ne pourrait jamais venir faire le trottoir avec moi ! Par contre… S’il y a quelque chose qui me tente bien et qu’il pourrait bien réellement faire, vu le personnage, c’est se laisser maquiller. Mmh… Je garde en tête~ Mais d’abord, mangeons !
Je lui informe que s’il veut une boisson, il n’a qu’à me demander et je m’affaire, me préparant tranquillement mon capuccino. Et à mesure que le liquide rempli mon mug, je réfléchis au fait que j’ai carrément mal partout et que je risque de trinquer sévère ce soir. Peut-être que je devrais envoyer un message à Ewen pour annuler me tournée de ce soir… ? Je crois que c’est la meilleure chose à faire… Il faut que je récupère mon téléphone pour l’appeler.
La machine à café m’informe que mon capuccino est prêt et j’attrape mon mug pour aller le déposer sur mon bar, et c’est quand je croise le regard d’Erwan, l’interrogeant silencieusement, qu’il me demande.
- Hm… Thé à la menthe, t’as ?
J’hoche la tête et me retourne pour aller vers le bon placard, l’ouvrant pour récupérer mon thé à la menthe, et ensuite attraper la bouilloire pour la remplir d’eau avant de la mettre à chauffer.
- Oh ! Et si t’as du lait et un peu de miel ça serait goldé !
Je me stoppe… plisse les yeux… et me retourne pour l’interroger du regard une nouvelle fois. Du lait ? Dans du thé ? Avec du miel ? Mets directement du sirop de menthe dans ton lait à ce stade !! Eurk… Bon, ne t’attarde pas là-dessus Olivia… C’est un Anglais… Vu comme ils boivent du thé tout le temps, partout et à toutes occasions, ça ne devrait pas t’étonner qu’ils le boivent de manière chelou. J’approche donc de mon réfrigérateur pour en sortir le lait, et attrape un miel d’acacia en passant, avant de tout poser devant lui.
- Pas de jugement !
Je souris en coin, ma phrase lui faisant comprendre que je le juge un peu quand même, mais pas de manière méchante. Ce sont les goûts et les couleurs, je suis certainement qu’il y a des choses que j’aime qu’il doit trouver répugnant. Enfin bon… Je m’installe donc pour enfin prendre mon petit déjeuner. Bon… Par contre, il y a quelque chose qu’il m’a dit qui n’est pas entré dans l’oreille d’une sourde. Et j’ai bien l’intention de m’amuser un peu. J’avoue que je n’ai jamais fait ça, et je suis bien intriguée, donc si je tombe sur un gars qui est prêt à accepter de se faire maquiller, vous vous doutez que je vais sauter sur l’occasion.
Et puis, avec son métier il a certainement l’habitude de se faire maquiller… La question maintenant… c’est est-ce qu’il s’est déjà fait maquiller comme, moi, je me maquille ? … Je ne pense pas~
Alors, entre deux bouchées, d’un ton nonchalant, j’aborde le sujet.
- Mh, il y a un truc que tu as dit qu’il m’intrigue… J’ai bien compris que pour l’histoire de m’accompagner et me voler tous mes clients c’était une blague… Mais… concernant le maquillage ? Tu serais vraiment partant ?
On s’est installé dans la salle de bain du bas, et même si je ne montre rien, au fond, je suis surexcitée. Bordel, j’ai l’impression d’être une gamine ! Je crois que ça doit être le rêve de toutes les filles de maquiller un mec. Surtout que ma toile n’est pas n’importe laquelle. C’est un beau gosse ! Connu qui plus est ! Je vais vraiment pouvoir m’amuser !!
J’attrape mes barrettes pour pouvoir dégager ses cheveux de son visage, et rapproche ma trousse de maquillage. Maintenant que je le regarde plus en détails… il a la peau tellement claire qu’il est presque à ma teinte !! Mmh… Un sourire se profile sur mon visage, anticipant le résultat final, mais je me reprends, pour reprendre ma concentration.
- Bon. Tu sais quoi faire ! Tu dois avoir l’habitude avec tes tournages ! Tu ne bouges pas, tu fais ce que je te dis, et je m’occupe de tout~
J’ai bien entendu ? Je me tourne lentement vers lui, l’interrogeant du regard. Bien sûr que c’est une plaisanterie. Féministe comme il est, il ne pourrait jamais venir faire le trottoir avec moi ! Par contre… S’il y a quelque chose qui me tente bien et qu’il pourrait bien réellement faire, vu le personnage, c’est se laisser maquiller. Mmh… Je garde en tête~ Mais d’abord, mangeons !
Je lui informe que s’il veut une boisson, il n’a qu’à me demander et je m’affaire, me préparant tranquillement mon capuccino. Et à mesure que le liquide rempli mon mug, je réfléchis au fait que j’ai carrément mal partout et que je risque de trinquer sévère ce soir. Peut-être que je devrais envoyer un message à Ewen pour annuler me tournée de ce soir… ? Je crois que c’est la meilleure chose à faire… Il faut que je récupère mon téléphone pour l’appeler.
La machine à café m’informe que mon capuccino est prêt et j’attrape mon mug pour aller le déposer sur mon bar, et c’est quand je croise le regard d’Erwan, l’interrogeant silencieusement, qu’il me demande.
- Hm… Thé à la menthe, t’as ?
J’hoche la tête et me retourne pour aller vers le bon placard, l’ouvrant pour récupérer mon thé à la menthe, et ensuite attraper la bouilloire pour la remplir d’eau avant de la mettre à chauffer.
- Oh ! Et si t’as du lait et un peu de miel ça serait goldé !
Je me stoppe… plisse les yeux… et me retourne pour l’interroger du regard une nouvelle fois. Du lait ? Dans du thé ? Avec du miel ? Mets directement du sirop de menthe dans ton lait à ce stade !! Eurk… Bon, ne t’attarde pas là-dessus Olivia… C’est un Anglais… Vu comme ils boivent du thé tout le temps, partout et à toutes occasions, ça ne devrait pas t’étonner qu’ils le boivent de manière chelou. J’approche donc de mon réfrigérateur pour en sortir le lait, et attrape un miel d’acacia en passant, avant de tout poser devant lui.
- Pas de jugement !
Je souris en coin, ma phrase lui faisant comprendre que je le juge un peu quand même, mais pas de manière méchante. Ce sont les goûts et les couleurs, je suis certainement qu’il y a des choses que j’aime qu’il doit trouver répugnant. Enfin bon… Je m’installe donc pour enfin prendre mon petit déjeuner. Bon… Par contre, il y a quelque chose qu’il m’a dit qui n’est pas entré dans l’oreille d’une sourde. Et j’ai bien l’intention de m’amuser un peu. J’avoue que je n’ai jamais fait ça, et je suis bien intriguée, donc si je tombe sur un gars qui est prêt à accepter de se faire maquiller, vous vous doutez que je vais sauter sur l’occasion.
Et puis, avec son métier il a certainement l’habitude de se faire maquiller… La question maintenant… c’est est-ce qu’il s’est déjà fait maquiller comme, moi, je me maquille ? … Je ne pense pas~
Alors, entre deux bouchées, d’un ton nonchalant, j’aborde le sujet.
- Mh, il y a un truc que tu as dit qu’il m’intrigue… J’ai bien compris que pour l’histoire de m’accompagner et me voler tous mes clients c’était une blague… Mais… concernant le maquillage ? Tu serais vraiment partant ?
***
On s’est installé dans la salle de bain du bas, et même si je ne montre rien, au fond, je suis surexcitée. Bordel, j’ai l’impression d’être une gamine ! Je crois que ça doit être le rêve de toutes les filles de maquiller un mec. Surtout que ma toile n’est pas n’importe laquelle. C’est un beau gosse ! Connu qui plus est ! Je vais vraiment pouvoir m’amuser !!
J’attrape mes barrettes pour pouvoir dégager ses cheveux de son visage, et rapproche ma trousse de maquillage. Maintenant que je le regarde plus en détails… il a la peau tellement claire qu’il est presque à ma teinte !! Mmh… Un sourire se profile sur mon visage, anticipant le résultat final, mais je me reprends, pour reprendre ma concentration.
- Bon. Tu sais quoi faire ! Tu dois avoir l’habitude avec tes tournages ! Tu ne bouges pas, tu fais ce que je te dis, et je m’occupe de tout~
Dim 4 Juin - 1:14
- Paroles:
- Je parle en anglais en : #B71B89Je parle en français en : #B71B89Je parle en néerlandais en : #B71B89
Erwan Lloyd
Acteur à succès
Olivia m’apporte mon thé avec le lait et le miel puis me dis qu’elle ne juge pas avec un petit sourire. Je roule les yeux au ciel en souriant. Pas de jugement, mon œil !
- Je vais te faire goûter, tu verras ! Ça va révolutionner ton p’tit dej’ !
Je rigole un peu. Bon j’en ai aucune idée mais ça serait tout de même une belle victoire qu’elle juge mon assaisonnement puis qu’elle le trouve grave bon au final ! Je récupère ma tasse et m’applique à y incorporer un nuage de lait puis une cuillère de miel. Une fois que c’est bien mélangé, je souffle sur le liquide avant d’y tremper les lèvres. Mmmmh ! Parfait ! Ça serait super avec les œufs et le bacon.
Durant tout le petit déjeuner, j’ai limite harceler Olivia pour qu’elle daigne goûter à ma boisson. C’est vilain de juger sans connaître après tout ! Et puis, je suis plutôt fier de moi puisqu’elle a accepté -sûrement pour que je lui foute la paix mais bon… Au final, j’ai un peu de mal à savoir ce qu’elle en pense, elle ne semble rien laisser paraître. Hmmmmm. Je scrute son visage à la recherche d’une réponse. Mouais. Moi je pense qu’elle garde son sérieux pour faire genre qu’elle aime pas seulement pour ne pas admettre que c’est super bon et qu’elle aime aussi ! Enfin, enfin, je finis par la laisser tranquille.
- Mh, il y a un truc que tu as dit qu’il m’intrigue…
Je relève la tête de mon assiette pour l’interroger du regard. Hm ?
- J’ai bien compris que pour l’histoire de m’accompagner et me voler tous mes clients c’était une blague…
Ah bah bien sûr que c’était une blague, je vous raconte même pas la réputation si un journaliste me chope dans une situation pareille…
- Mais… concernant le maquillage ? Tu serais vraiment partant ?
Hein ? Oh c’est vrai que j’ai dis ça. Mon regard d’abord étonné s’illumine soudainement d’une lueur joueuse.
- Ouais. Mais je te préviens… Tu vas être jalouse ~
***
Je regarde un peu autour de moi. On ne l’a pas visitée cette salle de bain hier. Elle est jolie en plus ! J’adore le tapis mauve et le cadre en bois à l’intérieur duquel tombe de longues lianes feuillues. Pendant qu’Olivia récupère tout ce qu’il faut, j’observe d’un œil distrait les petits éléments de déco par ci par là. Dire que c’est elle qui a fait son intérieur, c’est fou ! Je serai incapable de faire ça, je pense. En même temps je n’ai pas réellement eu d’occasion.
Lorsque je vois Olivia revenir dans mon champ de vision, je lève la tête vers elle et elle commence déjà à me tirer les cheveux en arrière. Je ferme les yeux, c’est hyper agréable de se faire tripoter les cheveux.
- Bon. Tu sais quoi faire ! Tu dois avoir l’habitude avec tes tournages !
Je rouvre les yeux pour hocher positivement la tête. C’est sûr que là dessus, je suis incollable. J’ai tellement l’habitude que c’est devenu naturel pour moi. Mais bon je pense que ça prendra peut-être un peu plus de temps que ce dont j’ai l’habitude si je me fie au maquillage qu’elle portait le soir de notre rencontre. Heureusement qu’on est samedi et que ma journée est libre. La chance !
- Tu ne bouges pas, tu fais ce que je te dis, et je m’occupe de tout~
J’ai un petit sourire en coin, incapable de retenir mon air joueur.
- Oh tu veux dire… comme le dernier round d’hier ?
Désoléééééé, elle était trop facile ! J’étais obligé de la faire. Enfin c’est pas comme si j’allais me mettre à gesticuler pour l’empêcher de travailler. Je sais me tenir tout de même. J’ai un petit rire avant de reprendre mon calme et je ferme les yeux en tendant le visage vers elle pour lui montrer que je suis prêt à ce qu’elle me maquille.
Olivia Maes
Mar 6 Juin - 12:35
Fiche de personnage : fiche personnage Espace personnel : espace personnel Âge : 26 ans Groupe : Maaiers
Olivia Maes
Femme au Foyer
Ne faites pas attention au bordel...
Feat. Erwan
Franchement, ça me dit rien qui vaille son thé à la menthe au lait. Rien que l’idée de mélanger du lait avec de l’eau me parait bizarre… du lait au goût de flotte… non merci. Déjà que j’ai du mal avec le lait au sirop de menthe… Il lève les yeux au ciel, me disant qu’il va me faire goûter et que ça va révolutionner mon petit déjeuner et je secoue la tête, désabusée. Je n’y crois pas une seconde. Prenant une gorgée de mon cappuccino, je l’observe faire sa préparation, plissant les yeux de dégoût. Aah… en plus le lait devient vert… On dirait qu’il a tourné. C’est immonde.
Alors que je mangeais tranquillement, il a passé le plus clair de son temps à essayer de me convaincre de goûter, et il m’a tellement harcelée que j’ai fini par accepter d’y tremper mes lèvres, non sans hésitation. Il est coriace ce mec… D’abord peu convaincue, je finis tout de même par goûter, et j’avoue que je suis surprise. Je ne m’attendais pas à ce goût-là. C’est du thé à la menthe, sucré, avec une texture un peu plus veloutée, très douce. C’est plutôt bon ! Mais je ne laisse rien paraître, faisant mine que je n’ai aucun avis sur sa boisson du matin. Mmh… Peut-être que je m’en referai à l’occasion. Mais il ne le saura pas.
Il me fixe, me scrute, essaye de décrypter mon visage, et je me contente d’hausser un sourcil et de lui rendre son mug, avant de lui proposer que je le maquille. J’ai l’impression d’être une enfant. C’est quelque chose que je n’ai jamais fait de ma vie. Après tout, j’étais enfant unique, et même dans ma famille d’accueil, j’étais seule. Et j’ai toujours été un peu curieuse de maquiller quelqu’un d’autre, et encore plus un mec. Et comme c’est pas tous les jours qu’on a un volontaire, je ne vais pas me faire prier~
Son regard s’illumine d’un petit air joueur et mon sourire s’élargit doucement quand il me confirme qu’il est partant. Et quand il ajoute que je vais être jalouse, je ne peux pas m’empêcher de rire doucement.
- On verra ça.
Tout est en place. Je suis prête ! Je vais pouvoir cocher une case dans ma liste des choses à faire avant de mourir. C’est peut-être stupide, mais quand tu es dans une mafia avec un couteau sous la gorge au moindre faux pas, tu vis au jour le jour, et tu fais en sorte de ne rien regretter. Bon, certes, je ne risque pas de mourir là, tout de suite. Mais avec la matriarche qu’on a, on ne sait jamais…
Je le vois observer ma décoration et je ne dis rien, ne faisant pas de commentaires et le laissant observer et se faire son avis ; de toute façon, ce n’est pas parce qu’il ne validerait pas ma déco, que je changerais tout. C’est comme ça, ça le reste. Je n’ai pas que ça à faire de tout refaire. Alors je me contente de réfléchir à ce que je vais pouvoir lui faire. Est-ce que je m’amuse et lui fais le total look prostituée que je me fais ? Ou est-ce qu’on part sur quelque chose de plus doux… de plus naturel ? J’avoue que je suis curieuse de voir ce que ça donnerait si je lui faisais la totale.
Je lui indique donc de ne pas bouger, et de faire ce que je lui dis et alors que je m’apprête à appliquer de la crème sur son visage son petit sourire en coin m’arrête dans mon élan.
- Oh tu veux dire… comme le dernier round d’hier ?
À ces mots, j’hausse un sourcil en souriant. Oh ? Monsieur fais donc allusion à la dernière fois qu’on l’a fait. Il y pense donc encore ? Ma main vient cueillir son visage, glissant contre son menton alors que j’approche mon visage avant de lui dire avec un ton joueur et un clin d’œil.
- Exactement~ Maintenant un peu de concentration s’il vous plait, M.Lloyd !
Il rit doucement, et ferme les yeux, m’indiquant qu’il est prêt et je le lâche pour reprendre là où je m’étais arrêtée, c’est-à-dire, la crème hydratante. Puis, pour être sûre de ne pas gâcher le teint que je lui ferais, je commence directement par les yeux. Et là, je sors le grand jeu, et attrape mes plus belles palettes. Il a les yeux verts… Autant jouer avec ça~ Un smokey avec un peu de tons verts pour rappeler la couleur de ses yeux et les faire ressortir~ Oui ce serait parfait ! Je commence donc par mettre les touches de noir, estompant bien pour que ça ne fasse pas un effet pâté. Concentrée, je ne parle pas beaucoup, ou seulement pour lui indiquer d’ouvrir, de fermer les yeux, de regarder en haut ou en bas. Une fois les yeux terminés, yeux qui ont dû me prendre bien 15 minutes par œil… ; écoutez, ce n’est pas pareil de se maquiller et maquiller les autres, et c’est une première pour moi ! - je m’occupe de son teint pour parfaire le tout. Puis je m’écarte et admire mon œuvre.
- Ouvre les yeux ?
Et quand je le vois, mon sourire s’élargit et je pose une main sur ma hanche.
- Damn~ Tu me donnes envie d’aller chercher une de mes perruques.
Alors que je mangeais tranquillement, il a passé le plus clair de son temps à essayer de me convaincre de goûter, et il m’a tellement harcelée que j’ai fini par accepter d’y tremper mes lèvres, non sans hésitation. Il est coriace ce mec… D’abord peu convaincue, je finis tout de même par goûter, et j’avoue que je suis surprise. Je ne m’attendais pas à ce goût-là. C’est du thé à la menthe, sucré, avec une texture un peu plus veloutée, très douce. C’est plutôt bon ! Mais je ne laisse rien paraître, faisant mine que je n’ai aucun avis sur sa boisson du matin. Mmh… Peut-être que je m’en referai à l’occasion. Mais il ne le saura pas.
Il me fixe, me scrute, essaye de décrypter mon visage, et je me contente d’hausser un sourcil et de lui rendre son mug, avant de lui proposer que je le maquille. J’ai l’impression d’être une enfant. C’est quelque chose que je n’ai jamais fait de ma vie. Après tout, j’étais enfant unique, et même dans ma famille d’accueil, j’étais seule. Et j’ai toujours été un peu curieuse de maquiller quelqu’un d’autre, et encore plus un mec. Et comme c’est pas tous les jours qu’on a un volontaire, je ne vais pas me faire prier~
Son regard s’illumine d’un petit air joueur et mon sourire s’élargit doucement quand il me confirme qu’il est partant. Et quand il ajoute que je vais être jalouse, je ne peux pas m’empêcher de rire doucement.
- On verra ça.
***
Tout est en place. Je suis prête ! Je vais pouvoir cocher une case dans ma liste des choses à faire avant de mourir. C’est peut-être stupide, mais quand tu es dans une mafia avec un couteau sous la gorge au moindre faux pas, tu vis au jour le jour, et tu fais en sorte de ne rien regretter. Bon, certes, je ne risque pas de mourir là, tout de suite. Mais avec la matriarche qu’on a, on ne sait jamais…
Je le vois observer ma décoration et je ne dis rien, ne faisant pas de commentaires et le laissant observer et se faire son avis ; de toute façon, ce n’est pas parce qu’il ne validerait pas ma déco, que je changerais tout. C’est comme ça, ça le reste. Je n’ai pas que ça à faire de tout refaire. Alors je me contente de réfléchir à ce que je vais pouvoir lui faire. Est-ce que je m’amuse et lui fais le total look prostituée que je me fais ? Ou est-ce qu’on part sur quelque chose de plus doux… de plus naturel ? J’avoue que je suis curieuse de voir ce que ça donnerait si je lui faisais la totale.
Je lui indique donc de ne pas bouger, et de faire ce que je lui dis et alors que je m’apprête à appliquer de la crème sur son visage son petit sourire en coin m’arrête dans mon élan.
- Oh tu veux dire… comme le dernier round d’hier ?
À ces mots, j’hausse un sourcil en souriant. Oh ? Monsieur fais donc allusion à la dernière fois qu’on l’a fait. Il y pense donc encore ? Ma main vient cueillir son visage, glissant contre son menton alors que j’approche mon visage avant de lui dire avec un ton joueur et un clin d’œil.
- Exactement~ Maintenant un peu de concentration s’il vous plait, M.Lloyd !
Il rit doucement, et ferme les yeux, m’indiquant qu’il est prêt et je le lâche pour reprendre là où je m’étais arrêtée, c’est-à-dire, la crème hydratante. Puis, pour être sûre de ne pas gâcher le teint que je lui ferais, je commence directement par les yeux. Et là, je sors le grand jeu, et attrape mes plus belles palettes. Il a les yeux verts… Autant jouer avec ça~ Un smokey avec un peu de tons verts pour rappeler la couleur de ses yeux et les faire ressortir~ Oui ce serait parfait ! Je commence donc par mettre les touches de noir, estompant bien pour que ça ne fasse pas un effet pâté. Concentrée, je ne parle pas beaucoup, ou seulement pour lui indiquer d’ouvrir, de fermer les yeux, de regarder en haut ou en bas. Une fois les yeux terminés, yeux qui ont dû me prendre bien 15 minutes par œil… ; écoutez, ce n’est pas pareil de se maquiller et maquiller les autres, et c’est une première pour moi ! - je m’occupe de son teint pour parfaire le tout. Puis je m’écarte et admire mon œuvre.
- Ouvre les yeux ?
Et quand je le vois, mon sourire s’élargit et je pose une main sur ma hanche.
- Damn~ Tu me donnes envie d’aller chercher une de mes perruques.
Dim 25 Juin - 16:01
- Paroles:
- Je parle en anglais en : #B71B89Je parle en français en : #B71B89Je parle en néerlandais en : #B71B89
Erwan Lloyd
Acteur à succès
- Exactement~, dit-elle en me faisant un petit clin d’œil joueur.
Mon sourire s’élargit un peu, amusé par la situation.
- Maintenant un peu de concentration s’il vous plait, M.Lloyd !
Je ris un peu avant de fermer les yeux.
- Bien madame !
Je me laisse donc totalement faire. J’avoue que dans mon métier ça fait partie de mes moments préférés. J’adore être maquillé, je trouve que ça fait de super papouille. Et puis les pinceaux sont tout doux. On dirait qu’une plume passe sur mes joues et mes paupières. Lorsqu’elle me demande d’ouvrir ou fermer les yeux, je m’exécute, attentif à ses indications pour l’aider un maximum. Et puis je commence à avoir un peu l’habitude vu qu’on me donne à peu près les mêmes indications tous les matins. Par contre c’est vrai que ça semble durer plus longtemps que lorsqu’on me maquille pour un tournage. Elle a passé beaucoup de temps sur les yeux, je suppose qu’il y a pas mal de paillettes impliqués. J’ai hâte de voir le résultat !
Au bout d’un moment, elle finit par s’écarter puis me demande d’ouvrir les yeux. Je me réhabitue un peu à la lumière et tombe sur le sourire d’Olivia, visiblement fière de son travail.
- Damn~ Tu me donnes envie d’aller chercher une de mes perruques.
Je fais un hairflip dans le vide puisque mes cheveux sont un peu trop court. Alors comme ça elle veut me mettre une perruque ? J’avoue que c’est drôle. Je suis un peu curieux honnêtement. Mais bon première étape, me regarder dans le miroir. Oh la vache, à ouaiiiiiis. Y en a des paillettes ! J’adore, ça me fait un de ses regard ! Je prends un peu la pose, comme ce que je peux faire pour des shooting et voir un peu ce que son maquillage rend en mouvement. J’adore. Faut vraiment que je propose à Henry de faire des photos avec ce type de maquillage, je suis sûre que ça rendrait trop bien ! Peut-être pour un shooting un peu pride, ça serait cool !
- Fais toi plaisir, ça ne pourra me rendre que plus fabulous !
Je pense que c’est la meilleure matinée depuis un moment… C’est rare de se réveiller aux côtés de quelqu’un depuis que je ne suis plus en couple et je dois avouer que c’est quelque chose qui me manque un peu. Je suis comme ça, j’aime être avec quelqu’un. La solitude ce n’est pas quelque chose qui me va vraiment même si parfois elle me suit un peu. Donc cette matinée, je la savoure comme un petit morceau de brioche avec un chocolat chaud durant un jour de pluie. J’aimerais que ça ne s’arrête jamais.
Olivia Maes
Dim 25 Juin - 16:42
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